1 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
1 ns un ordre nouveau. (Condamnation des partis, du Parlement , des moyens de propagande de masses, etc. Méfiance méthodique à l’éga
2 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
2 4.Ni droite ni gauche Le plus dur pour un parlement , c’est de conclure. Le plus dur pour la Révolution, c’est de commence
3 la Révolution commence par ce qui fait mourir un parlement  : par une décision, par un acte. Commencer la Révolution c’est compre
4 mais jusqu’aux moelles, que le monde n’est pas un parlement , qu’il ne s’agit pas pour nous d’aller nous asseoir quelque part, mai
5 hinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements et les partis n’avaient jamais eu d’existence que dans la cervelle d’
6 politique. D’où la condamnation, bien entendu, du Parlement . Le Parlement : une dizaine de programmes, représentés par autant de
7 ù la condamnation, bien entendu, du Parlement. Le Parlement  : une dizaine de programmes, représentés par autant de groupes fort i
8 par les experts. (C’est la seule opération que le Parlement puisse faire avec soin.) 4. — Le produit — infécond — de ce croisemen