1 e. Le 7 mai 1948, dans la Salle des chevaliers du Parlement néerlandais, s’ouvrait le Congrès de l’Europe. Nous étions cette fois

2 ministres, près de deux-cents députés aux divers parlements européens, des syndicalistes et des grands patrons, des socialistes e

3 ient élus « dans leur sein ou au-dehors » par les parlements des nations participantes. Ce projet fut mis au point très rapidement

4 à Paris, aux fins d’étudier la constitution d’un Parlement et d’un Conseil des ministres européens. Le 28 janvier 1949, la confé

5 uerre, est aujourd’hui discuté par la presse, les parlements , les ministères, comme quelque chose qu’il faut réaliser d’urgence, e

6 tation aussi large que possible non seulement des parlements (partis politiques), mais aussi des « forces vives » de chaque nation

7 met sous la dépendance partielle de l’État et du Parlement  ; ce statut est en voie de révision, dans le sens d’une libération de

8 et qui disposent des moyens nécessaires dans les parlements et dans la presse, de se conformer avec ensemble aux mots d’ordre lan

9 décide la politique de nos États ; que votent les parlements et même parfois les peuples ; et que l’Histoire s’écrira demain. L’ir