1 1924, Articles divers (1924–1930). Conférence de Conrad Meili sur « Les ismes dans la peinture moderne » (30 octobre 1924)
1 di soir, dans la salle du Lyceum, M. Conrad Meili parla des écoles qui représentent la peinture française, des débuts du xixe
2 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
2 ion de partager les conditions de vie et qui nous parlèrent l’un de la Réalité prolétarienne, l’autre de la Mentalité prolétarien
3 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
3 la fois et désinvolte de son récit. On a souvent parlé d’excès de lyrisme à propos des premiers ouvrages de Montherlant. Cet
4 . Le tragique de la vie ne lui échappe pas. Il en parle , il le chante avec pathétique. Mais c’est parce qu’il est poète : le
4 1926, Articles divers (1924–1930). Soir de Florence (13 novembre 1926)
5 é par des bœufs blancs. Comme une apparition. (Tu parlais de chromos, de romantisme… nous voici dans une réalité bien plus étra
6 te vaguement heureuse d’être pliée au vent qui ne parle jamais. Nous fûmes si près de choir dans ton silence. Nature ! qui no
5 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
7 en a près de 50, si les peintres dont nous allons parler méritent d’être appelés jeunes, c’est par leurs œuvres avant tout. D’
6 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
8 us êtes tout près de comprendre… Mon voisin avait parlé tout haut ; personne pourtant ne se détournait. Comment pouvais-je êt
9 e de cette pêche miraculeuse — c’est une façon de parler — à laquelle on se livre dans ces lieux de plaisir — autre façon de p
10 livre dans ces lieux de plaisir — autre façon de parler . On dit que j’ai vécu d’illusions, avouez que les miennes étaient de
11 s des anges au coin des ruelles, des oiseaux nous parlèrent , bientôt dissous dans le vent. Tout était reflet, passages, allusions
12 ers la simultanéité de ses manifestations. Gérard parle avec une liberté magnifique et angoissante. Il mêle tout dans le temp
13 sque plus rien ; à peine, de temps en temps, s’il parlait à voix basse à son homard, qui semblait d’ailleurs endormi. En passan
7 1928, Articles divers (1924–1930). Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même » (décembre 1928)
14 ramène en soi, n’ayant plus où se prendre » comme parle un de nos classiques. Repoussé par le monde parce qu’il n’est pas enc
8 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
15 , l’on dirait, qui ne connaît pas son auteur. Qui parle par sa bouche ? Il règne dans ses Hymnes une sérénité presque effraya
16 otima. » On rougirait à moins. — « Je ne puis pas parler de lui, ici à Francfort, écrivait Bettina, car aussitôt l’on se met à
9 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
17 ? ») d’aimables biographes : M. de Pourtalès, qui parle toujours excellemment du « cœur des autres » comme dit M. Gabriel Mar
10 1930, Articles divers (1924–1930). « Vos fantômes ne sont pas les miens… » [Réponse à l’enquête « Les vrais fantômes »] (juillet 1930)
18 re de mon univers. La vision « autre » dont vous parlez traduit simplement une variation dans mes relations avec le monde. En