1 1938, Articles divers (1938-1940). Le Relèvement de l’Allemagne (1918-1938) par Albert Rivaud (28 octobre 1938)
1 eichsnährstandf (office d’alimentation). Quand il parle des doctrines nazies, on doit reprocher à M. Rivaud de mêler trop sou
2 ne l’hitlérisme. Par ailleurs, en effet, quand il parle des méthodes nazies d’usage interne, en politique et en économie. M.
2 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
3 e ou d’un parti, fût-il baptisé « chrétien ». (Je parle idéalement : nous avons nous aussi une pénible « littérature protesta
3 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
4 s liens unissent Hitler à une foule à laquelle il parle . Essayez de vous représenter une salle immense qui est soudain plongé
5 sez-vous ? Je ne l’ai vu que le jour dont je vous parle . Je l’ai vu de près, à la sortie de la réunion, debout dans sa voitur
4 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
6 la, tout changerait ! » C’est ainsi que le peuple parlait du Roi avant la révolution de 1789. Au panégyrique et à la caricature
5 1939, Articles divers (1938-1940). Nicolas de Flue vu par Denis de Rougemont (8 juillet 1939)
7 à l’action ? Certainement, quand Nicolas de Flue parle , il parle en slogans, si on peut dire ainsi. Ses paroles sont très co
8 n ? Certainement, quand Nicolas de Flue parle, il parle en slogans, si on peut dire ainsi. Ses paroles sont très concentrées
9 comment faites-vous pour isoler le personnage qui parle , car de la place du public on ne voit pas très bien qui a la parole ?
10 bien qui a la parole ? C’est fort simple, un seul parle souvent, c’est Nicolas de Flue. On le met en vedette par des lumières
6 1939, Articles divers (1938-1940). Du mythe de Tristan et Iseut à l’hitlérisme (14 juillet 1939)
11 evenons au jardin de la NRF, où je suis venue lui parler de l’amour, ou plutôt de L’Amour et l’Occident, son dernier livre. Si
12 e concevoir en dehors d’elles. Denis de Rougemont parle lentement, en pensant ce qu’il dit. Parfois s’établissent entre nous
13 ure sérieuse. Il est rare, en effet, qu’on en ait parlé en France comme de problèmes sérieux, acquiesce l’écrivain. Mais il e
14 nt que l’étranger s’intéresse à une étude où l’on parle de l’amour sans ironie comme sans sentimentalisme. Et j’ai surtout re
15 uence qui se fait sentir aujourd’hui. Vous voulez parler de l’hitlérisme ? Il y a certainement une source commune à Hitler et
7 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
16 a tribu dicte des devoirs sacrés, dans la cité on parle de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la même mani
17 Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on parle de lui, qu’on le distingue… C’est là encore une assez bonne définitio
18 sme inspiré de la Réforme. Calvin ni Luther n’ont parlé de la personne en soi. Ils n’ont pas fait une théorie personnaliste,
19 ilité ou l’intérêt d’un tel problème. Mais ils ne parlent pas non plus de l’individu ou de la collectivité, et cependant toutes
20 s : Pologne, Hongrie et Portugal. (On ose à peine parler des Tchèques, déjà plus qu’à moitié colonisés.) En face de ce groupem
21 chose qu’il ne faut pas laisser grandir. On nous parle , avec les meilleures intentions du monde, d’une défense spirituelle d
22 la fatale confusion du temporel et du spirituel. Parler d’une Suisse chrétienne quand beaucoup de Suisses sont incroyants, ce
8 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
23 ne légitimité indiscutable. La propagande dont je parle dit autre chose : elle dit que certains États modernes n’ont pas été
24 eine d’être affirmées sans rhétorique. Je vous ai parlé déjà de notre « nature »5. Je vous parlerai la semaine prochaine de n
25 vous ai parlé déjà de notre « nature »5. Je vous parlerai la semaine prochaine de nos fameuses « libertés », puis de notre « ne
9 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. II : Sommes-nous libres ? (2 mars 1940)
26 cela au xviiie siècle. Les petits tyrans dont il parle étaient peut-être alors les petites oligarchies que la Révolution dev
27 eligieux, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se parlent pas, et souvent ne se saluent plus ! On dirait presque qu’ils croient
28 j’en suis à ronchonner. (La prochaine fois, nous parlerons d’une manière « positive », c’est promis !) « Si quelque chose aujour
29 as, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… w. « La Suisse q
10 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. IV : Notre « mission spéciale » (16 mars 1940)
30 mes, et solidement appuyé par l’arrière. Quand on parle d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux
11 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
31 fois, une espèce de journal d’attente, — comme on parle d’une salle d’attente. Entre deux trains, entre deux œuvres, mais sur
32 peine ai-je noté ceci, qu’un des experts se met à parler de la « personnalité » d’un produit commercial et de son « prestige »
12 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
33 ls. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je parlais aux Hollandais, en novembre de l’an dernier — et c’est fini — dont je
34 ovembre de l’an dernier — et c’est fini — dont je parlais aux Suisses en janvier de cette année — et cela fait déjà cinq mois p
13 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
35 fait oublier ces vérités. Aujourd’hui, elles nous parlent de nouveau. Les menaces actuelles nous réveillent, et nous ramènent à
14 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
36 Rougemont s’en va. Telle est la nouvelle dont on parlait sous le couvert depuis quelques jours et qui vient d’être rendue offi
15 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
37 elui des gogos enragés. 4. Paresse d’esprit. — Je parle ici par expérience : rien n’oblige un bureau de Berne à faire du cent
38 es obtenez, la révolution nationale dont certains parlent sera faite. Mais autrement, elle ne servira de rien. 5. Notre matéria
39 as, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui parlait ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… 6. Cultures. — C’e
40 s de Suisses11. Je les estime intolérables, s’ils parlent en connaissance de cause. (Le plus souvent, d’ailleurs, ils se conten
41 mande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas parler de neutralité en général, dans l’absolu et dans l’abstrait. Car tout
42 sottise. 12. Neutralité « éternelle ». — On nous parle aujourd’hui de « neutralité éternelle », et l’on va même jusqu’à nous
16 1940, Articles divers (1938-1940). L’homme au poignard enguirlandé (1940)
43 colas Manuel Deutsch. C’est un autre guerrier qui parle en ses Tragiques d’une nuit Où l’Amour et la Mort troquèrent leurs fl
17 1940, Articles divers (1938-1940). Henri le Vert ou l’âme alémanique (1940)
44 les distingue de nous autres Romands. Et quand je parle de lyrisme, je n’entends pas ce sentimentalisme vague et un peu lourd
45 rands romans de Jérémie Gotthelf. Et puisque j’ai parlé de fédéralisme, permettez-moi de terminer par une petite citation qui