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eichsnährstandf (office d’alimentation). Quand il
parle
des doctrines nazies, on doit reprocher à M. Rivaud de mêler trop sou
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ne l’hitlérisme. Par ailleurs, en effet, quand il
parle
des méthodes nazies d’usage interne, en politique et en économie. M.
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e ou d’un parti, fût-il baptisé « chrétien ». (Je
parle
idéalement : nous avons nous aussi une pénible « littérature protesta
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s liens unissent Hitler à une foule à laquelle il
parle
. Essayez de vous représenter une salle immense qui est soudain plongé
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sez-vous ? Je ne l’ai vu que le jour dont je vous
parle
. Je l’ai vu de près, à la sortie de la réunion, debout dans sa voitur
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la, tout changerait ! » C’est ainsi que le peuple
parlait
du Roi avant la révolution de 1789. Au panégyrique et à la caricature
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à l’action ? Certainement, quand Nicolas de Flue
parle
, il parle en slogans, si on peut dire ainsi. Ses paroles sont très co
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n ? Certainement, quand Nicolas de Flue parle, il
parle
en slogans, si on peut dire ainsi. Ses paroles sont très concentrées
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comment faites-vous pour isoler le personnage qui
parle
, car de la place du public on ne voit pas très bien qui a la parole ?
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bien qui a la parole ? C’est fort simple, un seul
parle
souvent, c’est Nicolas de Flue. On le met en vedette par des lumières
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evenons au jardin de la NRF, où je suis venue lui
parler
de l’amour, ou plutôt de L’Amour et l’Occident, son dernier livre. Si
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e concevoir en dehors d’elles. Denis de Rougemont
parle
lentement, en pensant ce qu’il dit. Parfois s’établissent entre nous
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ure sérieuse. Il est rare, en effet, qu’on en ait
parlé
en France comme de problèmes sérieux, acquiesce l’écrivain. Mais il e
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nt que l’étranger s’intéresse à une étude où l’on
parle
de l’amour sans ironie comme sans sentimentalisme. Et j’ai surtout re
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uence qui se fait sentir aujourd’hui. Vous voulez
parler
de l’hitlérisme ? Il y a certainement une source commune à Hitler et
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a tribu dicte des devoirs sacrés, dans la cité on
parle
de droits. Tous les membres de la tribu devaient agir de la même mani
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Alcibiade coupe la queue de son chien pour qu’on
parle
de lui, qu’on le distingue… C’est là encore une assez bonne définitio
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sme inspiré de la Réforme. Calvin ni Luther n’ont
parlé
de la personne en soi. Ils n’ont pas fait une théorie personnaliste,
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ilité ou l’intérêt d’un tel problème. Mais ils ne
parlent
pas non plus de l’individu ou de la collectivité, et cependant toutes
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s : Pologne, Hongrie et Portugal. (On ose à peine
parler
des Tchèques, déjà plus qu’à moitié colonisés.) En face de ce groupem
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chose qu’il ne faut pas laisser grandir. On nous
parle
, avec les meilleures intentions du monde, d’une défense spirituelle d
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la fatale confusion du temporel et du spirituel.
Parler
d’une Suisse chrétienne quand beaucoup de Suisses sont incroyants, ce
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ne légitimité indiscutable. La propagande dont je
parle
dit autre chose : elle dit que certains États modernes n’ont pas été
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eine d’être affirmées sans rhétorique. Je vous ai
parlé
déjà de notre « nature »5. Je vous parlerai la semaine prochaine de n
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vous ai parlé déjà de notre « nature »5. Je vous
parlerai
la semaine prochaine de nos fameuses « libertés », puis de notre « ne
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cela au xviiie siècle. Les petits tyrans dont il
parle
étaient peut-être alors les petites oligarchies que la Révolution dev
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eligieux, chez nous, ne se fréquentent pas, ne se
parlent
pas, et souvent ne se saluent plus ! On dirait presque qu’ils croient
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j’en suis à ronchonner. (La prochaine fois, nous
parlerons
d’une manière « positive », c’est promis !) « Si quelque chose aujour
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as, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui
parlait
ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… w. « La Suisse q
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mes, et solidement appuyé par l’arrière. Quand on
parle
d’une vocation de la Suisse vis-à-vis de l’Europe, nombreux sont ceux
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fois, une espèce de journal d’attente, — comme on
parle
d’une salle d’attente. Entre deux trains, entre deux œuvres, mais sur
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peine ai-je noté ceci, qu’un des experts se met à
parler
de la « personnalité » d’un produit commercial et de son « prestige »
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ls. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je
parlais
aux Hollandais, en novembre de l’an dernier — et c’est fini — dont je
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ovembre de l’an dernier — et c’est fini — dont je
parlais
aux Suisses en janvier de cette année — et cela fait déjà cinq mois p
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fait oublier ces vérités. Aujourd’hui, elles nous
parlent
de nouveau. Les menaces actuelles nous réveillent, et nous ramènent à
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Rougemont s’en va. Telle est la nouvelle dont on
parlait
sous le couvert depuis quelques jours et qui vient d’être rendue offi
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elui des gogos enragés. 4. Paresse d’esprit. — Je
parle
ici par expérience : rien n’oblige un bureau de Berne à faire du cent
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es obtenez, la révolution nationale dont certains
parlent
sera faite. Mais autrement, elle ne servira de rien. 5. Notre matéria
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as, est du côté de la tyrannie. » C’est Vinet qui
parlait
ainsi, il y a longtemps, tout au haut de la pente… 6. Cultures. — C’e
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s de Suisses11. Je les estime intolérables, s’ils
parlent
en connaissance de cause. (Le plus souvent, d’ailleurs, ils se conten
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mande à voir ce qui vaut le mieux. Il ne faut pas
parler
de neutralité en général, dans l’absolu et dans l’abstrait. Car tout
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sottise. 12. Neutralité « éternelle ». — On nous
parle
aujourd’hui de « neutralité éternelle », et l’on va même jusqu’à nous
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colas Manuel Deutsch. C’est un autre guerrier qui
parle
en ses Tragiques d’une nuit Où l’Amour et la Mort troquèrent leurs fl
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les distingue de nous autres Romands. Et quand je
parle
de lyrisme, je n’entends pas ce sentimentalisme vague et un peu lourd
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rands romans de Jérémie Gotthelf. Et puisque j’ai
parlé
de fédéralisme, permettez-moi de terminer par une petite citation qui