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si l’Europe avait déjà fait son union, voilà qui
parle
mieux que les grands orateurs, et ne soulève pas les mêmes méfiances.
2
tient de dénoncer dans notre plan particulier. On
parle
beaucoup, par exemple, d’« organiser les échanges culturels ». Observ
3
ts ou les gratte-ciel à nos pittoresques taudis ;
parlons
en égaux différents. Alors, entre les meilleurs Européens, voués aux
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tout d’abord une question très directe : Pourquoi
parler
de culture dans un congrès rassemblant des jeunesses politiques ? Les
5
esquelles les « réalités concrètes » dont on nous
parle
n’existeraient pas. C’est une culture. Ce n’est pas une somme d’insti
6
er 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait
parler
d’une crise des Nations unies, par conséquent de la politique mondial
7
CEC depuis sa naissance. Nous avons bien souvent
parlé
d’un « centre décentralisé ». En bonne doctrine fédéraliste, il serai
8
s adoptées dès le départ au CEC, et que nous n’en
parlons
pas en doctrinaires, mais sur la base d’une expérience quotidienne, a
9
ue d’autres à l’abri du sort. Mais si l’on devait
parler
un jour d’une « crise du CEC », comme on parle aujourd’hui d’une cris
10
t parler un jour d’une « crise du CEC », comme on
parle
aujourd’hui d’une crise de l’Unesco, gageons que cette crise ne provi
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entre les petits exécutifs spécialisés dont nous
parlions
et les instances gouvernementales se révèle là encore le plus pratiqu
12
fédéralisme européen perd sa seule raison d’être.
Parlons
donc d’autre chose, renversons quelques ministères, revenons à la vie
13
s des milieux fédéralistes militants, personne ne
parle
plus de la Constitution. On ne peut dire que le débat se soit éteint
14
ter à elle seule toutes ses difficultés, pourquoi
parlerait
-on d’unir l’Europe ? Trop de gens posent encore à notre union des con
15
ux, et trois sur quatre dépêches importantes vous
parlent
du « problème européen ». Il y a la CED et la CECA, bien sûr ; mais v
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ser l’union qui nous sauverait. Il est absurde de
parler
de la souveraineté d’une nation qui ne pourrait pas se défendre au-de
17
c l’alliée naturelle des steppes. Il y a là, pour
parler
comme certains journaux neutralistes, « une proposition constructive
18
putés en sursis, qui ont donc à peine le droit de
parler
au nom d’une seule ? C’est aux Français d’abord qu’on voudrait s’adre
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ns le journal. La recherche dont je voudrais vous
parler
est en réalité tout autre chose. C’est une passion. Et cela revient à
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ment tenus pour des causes de faiblesse : je veux
parler
d’une certaine incertitude ou inquiétude, d’un certain désordre perma
21
espèce d’inquiétude générale. Nous ne cessons de
parler
du « désarroi de l’époque ». Nous avons l’impression de vivre dans un
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des fractions importantes de ceux qui prétendent
parler
pour l’opinion, et qui disposent des moyens nécessaires dans les parl
23
u côté russe, la chose est claire : tous ceux qui
parleront
le feront au nom de Moscou et des principes fixés par le Politburo. M
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des principes fixés par le Politburo. Mais qui va
parler
pour l’Europe ? Les communistes occidentaux et leurs satellites intel
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t dans nos pays. Mais le fait est qu’il s’agit de
parler
avec l’URSS, monolithe de deux-cents-millions d’hommes et de femmes p
26
rons pas tout de suite une liberté totale d’aller
parler
chez eux comme ils parlent chez nous — comme M. Ehrenbourg, pendant q
27
liberté totale d’aller parler chez eux comme ils
parlent
chez nous — comme M. Ehrenbourg, pendant que j’écris ceci, parle à Ge
28
— comme M. Ehrenbourg, pendant que j’écris ceci,
parle
à Genève au cours des débats des Rencontres internationales. Mais rap
29
t leur imposant une doctrine avant de les envoyer
parler
aux Russes ! Plus ces penseurs seraient « représentatifs » d’une doct
30
e discipline de pensée se voit exigée de ceux qui
parlent
. Mais qui sait si cette discipline ne deviendrait pas, qu’on le veuil
31
Paris, a rempli de nombreuses missions en URSS et
parle
couramment le russe. w. « Lever de rideau culturel ? », Bulletin du
32
(décembre 1955)y Toute la presse occidentale a
parlé
des « 17 niets de Molotov » à Genève. La question des échanges cultur
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irigeants de l’URSS. Il n’y aurait plus lieu d’en
parler
, jusqu’à ce qu’une « détente » moins trompeuse nous soit proposée par
34
le et culturelle » serait utile. « M. Macmillan a
parlé
d’une réglementation de l’opinion publique en URSS… Cette sorte d’att
35
oumet alors le projet russe. Ce projet très court
parle
de supprimer toute discrimination dans les échanges commerciaux ; pou
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à accomplir pour être utiles à l’homme. Et si je
parle
de nous, écrivains soviétiques, je peux dire que nous voudrions sincè
37
ques éléments folkloriques et musicaux… (Focillon
parle
à juste titre d’un « orientalisme de pays froid ».) Dès le xiii e siè
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ité supranationale qui sera finalement capable de
parler
au nom des quelque 330 millions d’Européens vivant aujourd’hui à l’ou
39
e à courir son aventure. Au lieu d’initiation, on
parle
d’initiative. En résumé : à ce qu’on pourrait appeler l’in-ducation d
40
rmation n’aura pas été entrepris, il sera vain de
parler
« d’unir l’Europe » à des hommes qui ne savent pas quel est l’état du
41
organisation d’un dialogue Europe-Inde — pour ne
parler
que de ceux de nos projets qui, déjà, ont été conduits tout près de l
42
our que l’Europe se fasse ? Pour qu’on cesse d’en
parler
comme d’un beau rêve, alors qu’elle est une dure nécessité ? Pour qu’
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dominés par l’influence soviétique ? 5. Pourquoi
parle-t
-on d’union européenne ? 6. Citez trois organisations européennes créé
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par le milieu, sous prétexte qu’à la surface, on
parle
français d’un côté, allemand de l’autre.) Ensuite il faut offrir à ce
45
chaque organisme. L’information dont nous voulons
parler
n’est pas une activité au jour le jour, suivant pas à pas l’événement
46
l vous appartient d’influencer, si toutefois vous
parlez
à temps. Deux mots sur l’historique de cette rencontre. Lors de l’ass
47
tres de la culture, peut faire illusion : je veux
parler
des romanciers à succès, des lauréats de prix plus ou moins culturels
48
usion culturelle, de cette rumeur ou aura dont je
parlais
tout à l’heure. Il peut certes fausser le sens des valeurs réelles da
49
deuxième zone de diffusion de la culture, dont je
parlais
, c’est-à-dire aux moyens de vaste distribution (et peut-être d’assimi
50
produits de la culture proprement dite : je veux
parler
des mass médias. Les Américains désignent par ce terme la radio, la t
51
ord du seul point de vue de la méthode, sans même
parler
des désastreuses conséquences politiques qu’elle entraîna. Ici Brugm
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réalités spirituelles sont la « vraie vie » dont
parlait
Rimbaud, trois fois cité en épigraphe à ces essais, avec une efficaci
53
ngleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se met à
parler
de la culture tout court, non plus seulement de la culture du sol, ou
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sons plus : fait par ses œuvres. Car si l’on peut
parler
du Monde, de l’unité du « genre humain », comme chacun le fait aujour
55
changé. Mais quelle est-elle ? Nous continuons à
parler
de méthode d’éducation et de pédagogie, sans déclarer leurs fins nouv
56
n aventure particulière. Au lieu d’initiation, on
parle
d’initiative. Ces deux termes marquent le début et la fin d’une évolu
57
contraire qu’on observe en général. (De celui qui
parle
bien, les autres élèves disent : « Il raffine ! ») 2° La plupart des
58
n du But Vous l’aurez remarqué : je n’ai guère
parlé
de méthodes. J’ai plutôt insisté sur le But — la personne — car à mon
59
principes généraux et des cadres ; ce manuel nous
parle
réellement de civisme, là où les nôtres se contentent de parler d’ins
60
ent de civisme, là où les nôtres se contentent de
parler
d’institutions. Est-ce à dire qu’aux USA tout est pour le mieux dans
61
tenant venez vous asseoir ici. Bon Dieu ! il faut
parler
de la suite ! Et d’abord, garçon ! deux fines à l’eau ! » À cette « s
62
re une vocation très différente. Les deux garçons
parlaient
de leur avenir, et soudain Joseph s’écrie : « Comme je voudrais que l
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lement amoureux », le frappe par sa capacité de «
parler
abondamment sur des thèmes futiles », et Retinger y voit un trait de
64
e prussienne, les enfants polonais qui voudraient
parler
leur langue se trouvent privés d’instruction publique, la Prusse ayan
65
tre une puissance mais contre trois ! Personne ne
parle
plus au nom de la Pologne, et l’opinion mondiale, depuis longtemps, a
66
s seuls Polonais à fréquenter sa maison, et à lui
parler
de sa patrie. Un soir, Conrad, songeant à ses difficultés financières
67
e, a compris. Il décroche l’appareil et demande à
parler
au Général. Il explique brièvement qu’il lui faut un visa. « Venez me
68
ner. Retinger insiste auprès d’un secrétaire pour
parler
à l’ambassadeur en personne. D’autres fonctionnaires, de plus haut ra
69
ent être échangés. Eden, Sikorski et Maïski ayant
parlé
, il se leva et dit d’une voix grave : « Ceci est un grand événement.
70
, non point parce qu’il l’avait bien exposée — il
parlait
très mal en public, et aussi rarement que possible — mais parce qu’il
71
rd. J’arrangeai l’entrevue dans un café. Retinger
parla
d’un congrès sur l’unité européenne, qui allait se tenir en mai. C’ét
72
ée prochaine, je serai mort » — et avec autorité,
parla
d’autre chose. L’éminence grise Son idée d’une Pologne indépend
73
, s’apercevait bientôt que la grande idée dont on
parlait
était celle de ce petit homme sans apparence et silencieux ; que le g
74
saient partie, mais les résultats finissaient par
parler
d’eux-mêmes. Lors d’une réunion du groupe de Bilderberg, à l’heure du
75
t tellement importante qu’il vaut mieux ne pas en
parler
trop clairement. Puis il réunit tout son monde dans une belle salle,
76
n vue de tâches communes ceux qui veulent agir et
parler
en tant qu’Européens, membres d’un même ensemble culturel, et non pas
77
un grand congrès de plus. Dans un congrès, on ne
parle
pas à l’Autre, on parle au public, qui n’est personne. Si nous voulon
78
s. Dans un congrès, on ne parle pas à l’Autre, on
parle
au public, qui n’est personne. Si nous voulons un vrai dialogue entre
79
ème qui est l’industrialisation, la technique. Je
parlais
dans mon introduction de cette espèce d’uniformisation superficielle,
80
it M. Liscano, et qui est universel. Nous pouvons
parler
d’hommes de culture dans n’importe quelle civilisation, nous savons e
81
ut avoir en vue cette culture de l’universel dont
parlait
d’Arboussier et dont parle Senghor. Cela, c’est la formule fédéralist
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de l’universel dont parlait d’Arboussier et dont
parle
Senghor. Cela, c’est la formule fédéraliste, j’y reviens : l’union da
83
grands savants d’aujourd’hui le confirment : j’en
parlais
encore il y a trois semaines avec Robert Oppenheimer, créateur de Los
84
Quant à l’argent et aux devoirs de l’argent, dont
parlait
si justement et si éloquemment Jean Ballard, directeur des Cahiers du
85
cultures les interlocuteurs responsables dont on
parlait
plus haut, avec lesquels engager le dialogue. De même qu’on ne sait o
86
és dans leurs rapports avec l’ensemble ; ceux qui
parlent
d’œuvres d’art ou de pensée créées un jour ou l’autre par des Europée
87
tantes industries implantées dans la région. Tous
parlaient
au nom de leur expérience professionnelle et d’une réflexion quotidie
88
son de conserver autant que possible le caractère
parlé
et improvisé de ces débats : ils présentent, dans l’ensemble, une pho
89
lgique, sous prétexte que les gens, à la surface,
parlaient
des langues un peu différentes et avaient été conquis par des rois ou
90
et, chacun des groupes exerçant une même activité
parlait
la même langue, p. ex. les architectes entre eux, ceux qui roulaient
91
excellaient dans leur activité spéciale, plus ils
parlaient
en jargon barbare (tanto rudius nunc et barbarius loquuntur). Si bien
92
iversités. Tout le monde sait ici de quoi je veux
parler
: nous assistons en fait à une double explosion au sein des instituti
93
ue tout simplement il ne comprendrait pas de quoi
parle
le physicien, et a fortiori ne saurait pas si le rapport entre les co
94
Là vivent ces « hommes de synthèse » dont je vous
parlais
tout à l’heure : professeurs de tous âges et de toutes spécialités, e
95
institut de synthèse serait idéalement ce dont on
parle
un peu partout, plus ou moins bien, depuis 1957, date du traité de Ro
96
argées de proposer des solutions pratiques. Je ne
parlerai
ici que des premières, celles qui vont se mettre à l’ouvrage cet aprè
97
, fût-ce au prix de l’âme des peuples. Je ne vous
parlerai
pas ce matin des trois commissions finales qui auront à étudier une s
98
ter les œuvres cotées des professionnels, ou d’en
parler
. Or une culture n’est pas vivante et n’est pas saine, si elle reste
99
qui a fait Racine, c’est à cause de Racine qu’on
parle
du Grand Siècle, pour désigner une période des plus sombres de l’hist
100
: est-ce que cela a du succès ? est-ce qu’on en a
parlé
à la TV ?). Le concept même de littérature est donc spécifiquement eu
101
« antiquités » communes. Trois Indiens dont l’un
parle
urdu, l’autre canada, un troisième tamil, ne peuvent s’entendre qu’en
102
ne peuvent s’entendre qu’en anglais et Nehru leur
parlait
en anglais. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idéogrammes. D’o
103
ustice de la confusion entre langue et nation. On
parle
encore sept langues en France, et le français est la langue maternell
104
e de demain soit un affreux méli-mélo, où l’on ne
parle
plus que l’esperanto ou le « volapuk » des utopistes détestés, je pro
105
nter dans le colloque l’idée européenne. Invité à
parler
tout au début, j’improvisai sur le thème que voici : Il peut sembler
106
sous-sol, sous prétexte qu’à la surface les gens
parlaient
allemand d’un côté, français de l’autre. La CECA, puis la CEE ont per
107
centres de décision régionaux dont tout le monde
parle
, et qu’ils acquièrent de la force : lorsqu’ils auront pris en fait (s
108
Ainsi : là où, dans le monde stato-national, on
parlait
d’abord de territoires et de superficies, on parle ici d’abord de pôl
109
lait d’abord de territoires et de superficies, on
parle
ici d’abord de pôles, de polarisations ; là où l’on parlait frontière
110
i d’abord de pôles, de polarisations ; là où l’on
parlait
frontières, on parle d’ajustements variables définis par des aires d’
111
polarisations ; là où l’on parlait frontières, on
parle
d’ajustements variables définis par des aires d’influences ; là où l’
112
est une notion relative et très précise, quand on
parle
par exemple de l’autonomie de vol d’un appareil, ou de l’autonomie de
113
967. 72. II est évident que les « nations » dont
parle
Malraux sont en réalité les États-nations tels que les a formés le xi
114
». On souriait aussi en 1939 lorsqu’un hurluberlu
parlait
de l’indépendance des Indes. Celle de l’Écosse ne saurait surprendre
115
ne n’est pas une entité économique viable. Et qui
parle
breton à Rennes ? » « Les ethnies et les économies ne coïncident pres
116
notre sujet. 96. Si le Languedoc et la Provence
parlaient
encore généralement leurs langues, la proportion serait à peine de de
117
« système » dont certains de leurs aînés leur ont
parlé
à partir de Mai 68, et qui pousse la perversité jusqu’à ne pas existe
118
élections libres. Et quand un philosophe qui veut
parler
aux masses monte sur un tonneau devant les usines Renault, il réunit
119
pas là notre définition de la politique. Quand on
parle
d’« élargir la CEE pour englober la politique », que veut-on dire ? Q
120
ait donc « autre chose » ? Mais quelle chose ? On
parle
de « politique » dans les journaux comme s’il allait de soi que c’est
121
ue. Dans les frontières de la France actuelle, on
parle
huit langues : breton, flamand, allemand, italien, occitan, catalan,
122
ni Français ni Espagnols. Quant aux Alpes : on y
parle
des deux côtés des dialectes italiens au sud ; français à la hauteur
123
ple symbolique : les gens d’Aoste doivent pouvoir
parler
directement avec ceux de Chamonix — comme le permet aujourd’hui le tu
124
tel qu’ils l’ont apprise à l’école — et ceux qui
parlent
d’autonomies régionales ou communales sont à la fois de doux rêveurs
125
hés habituels après de telles rencontres. Nous ne
parlerons
ni d’étape décisive, ni de tournant de l’histoire, ni même de victoir
126
. C’est à cause de cela, finalement, que je vous
parle
de l’Europe, de son union, et plus encore, des régions. Tout le probl
127
chef de l’État, au lieu de saluer l’événement, ne
parlaient
que des dangers de la réforme, et précisaient surtout ce qu’elle ne d
128
et lesdits intérêts. Personne, que je sache, n’a
parlé
des devoirs de la France, si tous ont parlé de ses droits. Personne n
129
, n’a parlé des devoirs de la France, si tous ont
parlé
de ses droits. Personne n’a invoqué la solidarité — pourtant factuell
130
us du fait de la frontière, ou, à plus proprement
parler
, du fait de la bi- ou tripartition d’un virtuel ensemble naturel ou e
131
e eux, avec l’aire du franco-provençal, qui y fut
parlé
, écrit et chanté du ixe siècle jusqu’aux débuts du xixe . (Pictet de
132
aisonnement que voici : La crise mondiale — dont
parlent
tous les mass médias, depuis la crise du pétrole — résulte d’une mauv
133
il serait superflu d’avoir une politique et d’en
parler
— la politique étant définie en ce point comme l’ensemble des mesures
134
ques de la liberté. Roma locuta, — l’ordinateur a
parlé
, la cause est jugée. On oublie de nous dire qu’il n’est que la voix d
135
que tout autre de l’expansion à outrance, je veux
parler
de la menace de guerre. Elle est de nature à modifier tous nos paramè
136
olution marxiste que Mao appellera révolution. Il
parlera
d’abord de « bond en avant » (marquant ainsi sa volonté de rupture av
137
passé, non plus d’évolution harmonieuse). Puis il
parlera
de « révolution culturelle », marquant ainsi que la modernité ne saur
138
puis en se retirant en quelques années : je veux
parler
du stato-nationalisme. Il semble bien que Mao en ait vu le danger et