1 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
1 si l’Europe avait déjà fait son union, voilà qui parle mieux que les grands orateurs, et ne soulève pas les mêmes méfiances.
2 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Contre la culture organisée (avril 1952)
2 tient de dénoncer dans notre plan particulier. On parle beaucoup, par exemple, d’« organiser les échanges culturels ». Observ
3 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue Europe-Amérique (juin-juillet 1952)
3 ts ou les gratte-ciel à nos pittoresques taudis ; parlons en égaux différents. Alors, entre les meilleurs Européens, voués aux
4 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Culture et politique européenne (octobre 1952)
4 tout d’abord une question très directe : Pourquoi parler de culture dans un congrès rassemblant des jeunesses politiques ? Les
5 esquelles les « réalités concrètes » dont on nous parle n’existeraient pas. C’est une culture. Ce n’est pas une somme d’insti
5 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
6 er 1953)h La démission de M. Trygve Lie a fait parler d’une crise des Nations unies, par conséquent de la politique mondial
7 CEC depuis sa naissance. Nous avons bien souvent parlé d’un « centre décentralisé ». En bonne doctrine fédéraliste, il serai
8 s adoptées dès le départ au CEC, et que nous n’en parlons pas en doctrinaires, mais sur la base d’une expérience quotidienne, a
9 ue d’autres à l’abri du sort. Mais si l’on devait parler un jour d’une « crise du CEC », comme on parle aujourd’hui d’une cris
10 t parler un jour d’une « crise du CEC », comme on parle aujourd’hui d’une crise de l’Unesco, gageons que cette crise ne provi
11 entre les petits exécutifs spécialisés dont nous parlions et les instances gouvernementales se révèle là encore le plus pratiqu
6 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en avril 1953 (avril 1953)
12 fédéralisme européen perd sa seule raison d’être. Parlons donc d’autre chose, renversons quelques ministères, revenons à la vie
7 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en juin 1953 (mai-juin 1953)
13 s des milieux fédéralistes militants, personne ne parle plus de la Constitution. On ne peut dire que le débat se soit éteint 
14 ter à elle seule toutes ses difficultés, pourquoi parlerait -on d’unir l’Europe ? Trop de gens posent encore à notre union des con
15 ux, et trois sur quatre dépêches importantes vous parlent du « problème européen ». Il y a la CED et la CECA, bien sûr ; mais v
8 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en août 1953 : Lettre aux Six (juillet-août 1953)
16 ser l’union qui nous sauverait. Il est absurde de parler de la souveraineté d’une nation qui ne pourrait pas se défendre au-de
9 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
17 c l’alliée naturelle des steppes. Il y a là, pour parler comme certains journaux neutralistes, « une proposition constructive
18 putés en sursis, qui ont donc à peine le droit de parler au nom d’une seule ? C’est aux Français d’abord qu’on voudrait s’adre
10 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
19 ns le journal. La recherche dont je voudrais vous parler est en réalité tout autre chose. C’est une passion. Et cela revient à
20 ment tenus pour des causes de faiblesse : je veux parler d’une certaine incertitude ou inquiétude, d’un certain désordre perma
21 espèce d’inquiétude générale. Nous ne cessons de parler du « désarroi de l’époque ». Nous avons l’impression de vivre dans un
11 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Habeas Animam (été 1955)
22 des fractions importantes de ceux qui prétendent parler pour l’opinion, et qui disposent des moyens nécessaires dans les parl
12 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
23 u côté russe, la chose est claire : tous ceux qui parleront le feront au nom de Moscou et des principes fixés par le Politburo. M
24 des principes fixés par le Politburo. Mais qui va parler pour l’Europe ? Les communistes occidentaux et leurs satellites intel
25 t dans nos pays. Mais le fait est qu’il s’agit de parler avec l’URSS, monolithe de deux-cents-millions d’hommes et de femmes p
26 rons pas tout de suite une liberté totale d’aller parler chez eux comme ils parlent chez nous — comme M. Ehrenbourg, pendant q
27 liberté totale d’aller parler chez eux comme ils parlent chez nous — comme M. Ehrenbourg, pendant que j’écris ceci, parle à Ge
28 — comme M. Ehrenbourg, pendant que j’écris ceci, parle à Genève au cours des débats des Rencontres internationales. Mais rap
29 t leur imposant une doctrine avant de les envoyer parler aux Russes ! Plus ces penseurs seraient « représentatifs » d’une doct
30 e discipline de pensée se voit exigée de ceux qui parlent . Mais qui sait si cette discipline ne deviendrait pas, qu’on le veuil
31 Paris, a rempli de nombreuses missions en URSS et parle couramment le russe. w. « Lever de rideau culturel ? », Bulletin du
13 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi nous persévérons (décembre 1955)
32 (décembre 1955)y Toute la presse occidentale a parlé des « 17 niets de Molotov » à Genève. La question des échanges cultur
33 irigeants de l’URSS. Il n’y aurait plus lieu d’en parler , jusqu’à ce qu’une « détente » moins trompeuse nous soit proposée par
14 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Que s’est-il passé à Genève ? (décembre 1955)
34 le et culturelle » serait utile. « M. Macmillan a parlé d’une réglementation de l’opinion publique en URSS… Cette sorte d’att
35 oumet alors le projet russe. Ce projet très court parle de supprimer toute discrimination dans les échanges commerciaux ; pou
15 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Propositions (décembre 1955)
36 à accomplir pour être utiles à l’homme. Et si je parle de nous, écrivains soviétiques, je peux dire que nous voudrions sincè
16 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
37 ques éléments folkloriques et musicaux… (Focillon parle à juste titre d’un « orientalisme de pays froid ».) Dès le xiii e siè
17 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Relance européenne ? (février 1956)
38 ité supranationale qui sera finalement capable de parler au nom des quelque 330 millions d’Européens vivant aujourd’hui à l’ou
18 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Former des Européens (avril-mai 1956)
39 e à courir son aventure. Au lieu d’initiation, on parle d’initiative. En résumé : à ce qu’on pourrait appeler l’in-ducation d
40 rmation n’aura pas été entrepris, il sera vain de parler « d’unir l’Europe » à des hommes qui ne savent pas quel est l’état du
19 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Ce n’est pas au pied du mur… (juin-juillet 1956)
41 organisation d’un dialogue Europe-Inde — pour ne parler que de ceux de nos projets qui, déjà, ont été conduits tout près de l
20 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
42 our que l’Europe se fasse ? Pour qu’on cesse d’en parler comme d’un beau rêve, alors qu’elle est une dure nécessité ? Pour qu’
21 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La Suisse et l’Europe après 1945 (avril 1957)
43 dominés par l’influence soviétique ? 5. Pourquoi parle-t -on d’union européenne ? 6. Citez trois organisations européennes créé
22 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La méthode culturelle, ou l’Europe par l’éducation des Européens (mai 1958)
44 par le milieu, sous prétexte qu’à la surface, on parle français d’un côté, allemand de l’autre.) Ensuite il faut offrir à ce
45 chaque organisme. L’information dont nous voulons parler n’est pas une activité au jour le jour, suivant pas à pas l’événement
23 1958, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une université européenne [Introduction] (juillet 1958)
46 l vous appartient d’influencer, si toutefois vous parlez à temps. Deux mots sur l’historique de cette rencontre. Lors de l’ass
24 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Éducation et loisirs : les mass médias (mai 1959)
47 tres de la culture, peut faire illusion : je veux parler des romanciers à succès, des lauréats de prix plus ou moins culturels
48 usion culturelle, de cette rumeur ou aura dont je parlais tout à l’heure. Il peut certes fausser le sens des valeurs réelles da
49 deuxième zone de diffusion de la culture, dont je parlais , c’est-à-dire aux moyens de vaste distribution (et peut-être d’assimi
50 produits de la culture proprement dite : je veux parler des mass médias. Les Américains désignent par ce terme la radio, la t
25 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Henri Brugmans, Les Origines de la civilisation européenne (septembre 1959)
51 ord du seul point de vue de la méthode, sans même parler des désastreuses conséquences politiques qu’elle entraîna. Ici Brugm
26 1959, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Luis Diez del Corral, El rapto de Europa (septembre 1959)
52 réalités spirituelles sont la « vraie vie » dont parlait Rimbaud, trois fois cité en épigraphe à ces essais, avec une efficaci
27 1960, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Trois initiales, ou raison d’être et objectifs du CEC (1959-1960)
53 ngleterre — Newman, Matthew Arnold —, on se met à parler de la culture tout court, non plus seulement de la culture du sol, ou
28 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La règle d’or, ou principe de l’éducation européenne (1960-1961)
54 sons plus : fait par ses œuvres. Car si l’on peut parler du Monde, de l’unité du « genre humain », comme chacun le fait aujour
55 changé. Mais quelle est-elle ? Nous continuons à parler de méthode d’éducation et de pédagogie, sans déclarer leurs fins nouv
56 n aventure particulière. Au lieu d’initiation, on parle d’initiative. Ces deux termes marquent le début et la fin d’une évolu
57 contraire qu’on observe en général. (De celui qui parle bien, les autres élèves disent : « Il raffine ! ») 2° La plupart des
58 n du But Vous l’aurez remarqué : je n’ai guère parlé de méthodes. J’ai plutôt insisté sur le But — la personne — car à mon
29 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Guide européen de l’enseignement civique [introduction] (1960-1961)
59 principes généraux et des cadres ; ce manuel nous parle réellement de civisme, là où les nôtres se contentent de parler d’ins
60 ent de civisme, là où les nôtres se contentent de parler d’institutions. Est-ce à dire qu’aux USA tout est pour le mieux dans
30 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
61 tenant venez vous asseoir ici. Bon Dieu ! il faut parler de la suite ! Et d’abord, garçon ! deux fines à l’eau ! » À cette « s
62 re une vocation très différente. Les deux garçons parlaient de leur avenir, et soudain Joseph s’écrie : « Comme je voudrais que l
63 lement amoureux », le frappe par sa capacité de «  parler abondamment sur des thèmes futiles », et Retinger y voit un trait de
64 e prussienne, les enfants polonais qui voudraient parler leur langue se trouvent privés d’instruction publique, la Prusse ayan
65 tre une puissance mais contre trois ! Personne ne parle plus au nom de la Pologne, et l’opinion mondiale, depuis longtemps, a
66 s seuls Polonais à fréquenter sa maison, et à lui parler de sa patrie. Un soir, Conrad, songeant à ses difficultés financières
67 e, a compris. Il décroche l’appareil et demande à parler au Général. Il explique brièvement qu’il lui faut un visa. « Venez me
68 ner. Retinger insiste auprès d’un secrétaire pour parler à l’ambassadeur en personne. D’autres fonctionnaires, de plus haut ra
69 ent être échangés. Eden, Sikorski et Maïski ayant parlé , il se leva et dit d’une voix grave : « Ceci est un grand événement.
70 , non point parce qu’il l’avait bien exposée — il parlait très mal en public, et aussi rarement que possible — mais parce qu’il
71 rd. J’arrangeai l’entrevue dans un café. Retinger parla d’un congrès sur l’unité européenne, qui allait se tenir en mai. C’ét
72 ée prochaine, je serai mort » — et avec autorité, parla d’autre chose. L’éminence grise Son idée d’une Pologne indépend
73 , s’apercevait bientôt que la grande idée dont on parlait était celle de ce petit homme sans apparence et silencieux ; que le g
74 saient partie, mais les résultats finissaient par parler d’eux-mêmes. Lors d’une réunion du groupe de Bilderberg, à l’heure du
75 t tellement importante qu’il vaut mieux ne pas en parler trop clairement. Puis il réunit tout son monde dans une belle salle,
31 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le dialogue des cultures [interventions] (avril 1962)
76 n vue de tâches communes ceux qui veulent agir et parler en tant qu’Européens, membres d’un même ensemble culturel, et non pas
77 un grand congrès de plus. Dans un congrès, on ne parle pas à l’Autre, on parle au public, qui n’est personne. Si nous voulon
78 s. Dans un congrès, on ne parle pas à l’Autre, on parle au public, qui n’est personne. Si nous voulons un vrai dialogue entre
79 ème qui est l’industrialisation, la technique. Je parlais dans mon introduction de cette espèce d’uniformisation superficielle,
80 it M. Liscano, et qui est universel. Nous pouvons parler d’hommes de culture dans n’importe quelle civilisation, nous savons e
81 ut avoir en vue cette culture de l’universel dont parlait d’Arboussier et dont parle Senghor. Cela, c’est la formule fédéralist
82 de l’universel dont parlait d’Arboussier et dont parle Senghor. Cela, c’est la formule fédéraliste, j’y reviens : l’union da
32 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [interventions] (juillet 1963)
83 grands savants d’aujourd’hui le confirment : j’en parlais encore il y a trois semaines avec Robert Oppenheimer, créateur de Los
84 Quant à l’argent et aux devoirs de l’argent, dont parlait si justement et si éloquemment Jean Ballard, directeur des Cahiers du
33 1962, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Principes et méthodes du dialogue entre les cultures (avril 1962)
85 cultures les interlocuteurs responsables dont on parlait plus haut, avec lesquels engager le dialogue. De même qu’on ne sait o
34 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Deux-mille volumes sur l’Europe (février 1963)
86 és dans leurs rapports avec l’ensemble ; ceux qui parlent d’œuvres d’art ou de pensée créées un jour ou l’autre par des Europée
35 1963, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pour une métropole régionale Aix-Marseille-Étang de Berre [Avant-propos] (juillet 1963)
87 tantes industries implantées dans la région. Tous parlaient au nom de leur expérience professionnelle et d’une réflexion quotidie
88 son de conserver autant que possible le caractère parlé et improvisé de ces débats : ils présentent, dans l’ensemble, une pho
36 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stage d’Oosterbeek (septembre 1964)
89 lgique, sous prétexte que les gens, à la surface, parlaient des langues un peu différentes et avaient été conquis par des rois ou
37 1964, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Université et universalité dans l’Europe d’aujourd’hui (décembre 1964)
90 et, chacun des groupes exerçant une même activité parlait la même langue, p. ex. les architectes entre eux, ceux qui roulaient
91 excellaient dans leur activité spéciale, plus ils parlaient en jargon barbare (tanto rudius nunc et barbarius loquuntur). Si bien
92 iversités. Tout le monde sait ici de quoi je veux parler  : nous assistons en fait à une double explosion au sein des instituti
93 ue tout simplement il ne comprendrait pas de quoi parle le physicien, et a fortiori ne saurait pas si le rapport entre les co
94 Là vivent ces « hommes de synthèse » dont je vous parlais tout à l’heure : professeurs de tous âges et de toutes spécialités, e
95 institut de synthèse serait idéalement ce dont on parle un peu partout, plus ou moins bien, depuis 1957, date du traité de Ro
38 1965, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). L’Europe et le monde [Introduction] (février 1965)
96 argées de proposer des solutions pratiques. Je ne parlerai ici que des premières, celles qui vont se mettre à l’ouvrage cet aprè
97 , fût-ce au prix de l’âme des peuples. Je ne vous parlerai pas ce matin des trois commissions finales qui auront à étudier une s
39 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Civisme et culture (notamment artistique) (mai 1967)
98 ter les œuvres cotées des professionnels, ou d’en parler . Or une culture n’est pas vivante et n’est pas saine, si elle reste
40 1967, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vingt langues, une littérature (mai 1967)
99 qui a fait Racine, c’est à cause de Racine qu’on parle du Grand Siècle, pour désigner une période des plus sombres de l’hist
100 : est-ce que cela a du succès ? est-ce qu’on en a parlé à la TV ?). Le concept même de littérature est donc spécifiquement eu
101 « antiquités » communes. Trois Indiens dont l’un parle urdu, l’autre canada, un troisième tamil, ne peuvent s’entendre qu’en
102 ne peuvent s’entendre qu’en anglais et Nehru leur parlait en anglais. Les Chinois recourent à l’échange muet d’idéogrammes. D’o
103 ustice de la confusion entre langue et nation. On parle encore sept langues en France, et le français est la langue maternell
104 e de demain soit un affreux méli-mélo, où l’on ne parle plus que l’esperanto ou le « volapuk » des utopistes détestés, je pro
41 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
105 nter dans le colloque l’idée européenne. Invité à parler tout au début, j’improvisai sur le thème que voici : Il peut sembler
106 sous-sol, sous prétexte qu’à la surface les gens parlaient allemand d’un côté, français de l’autre. La CECA, puis la CEE ont per
107 centres de décision régionaux dont tout le monde parle , et qu’ils acquièrent de la force : lorsqu’ils auront pris en fait (s
108 Ainsi : là où, dans le monde stato-national, on parlait d’abord de territoires et de superficies, on parle ici d’abord de pôl
109 lait d’abord de territoires et de superficies, on parle ici d’abord de pôles, de polarisations ; là où l’on parlait frontière
110 i d’abord de pôles, de polarisations ; là où l’on parlait frontières, on parle d’ajustements variables définis par des aires d’
111 polarisations ; là où l’on parlait frontières, on parle d’ajustements variables définis par des aires d’influences ; là où l’
112 est une notion relative et très précise, quand on parle par exemple de l’autonomie de vol d’un appareil, ou de l’autonomie de
113 967. 72. II est évident que les « nations » dont parle Malraux sont en réalité les États-nations tels que les a formés le xi
114 ». On souriait aussi en 1939 lorsqu’un hurluberlu parlait de l’indépendance des Indes. Celle de l’Écosse ne saurait surprendre
42 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
115 ne n’est pas une entité économique viable. Et qui parle breton à Rennes ? » « Les ethnies et les économies ne coïncident pres
116 notre sujet. 96. Si le Languedoc et la Provence parlaient encore généralement leurs langues, la proportion serait à peine de de
43 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
117 « système » dont certains de leurs aînés leur ont parlé à partir de Mai 68, et qui pousse la perversité jusqu’à ne pas existe
118 élections libres. Et quand un philosophe qui veut parler aux masses monte sur un tonneau devant les usines Renault, il réunit
119 pas là notre définition de la politique. Quand on parle d’« élargir la CEE pour englober la politique », que veut-on dire ? Q
120 ait donc « autre chose » ? Mais quelle chose ? On parle de « politique » dans les journaux comme s’il allait de soi que c’est
44 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aspects culturels de la coopération dans les régions frontalières (été 1972)
121 ue. Dans les frontières de la France actuelle, on parle huit langues : breton, flamand, allemand, italien, occitan, catalan,
122 ni Français ni Espagnols. Quant aux Alpes : on y parle des deux côtés des dialectes italiens au sud ; français à la hauteur
123 ple symbolique : les gens d’Aoste doivent pouvoir parler directement avec ceux de Chamonix — comme le permet aujourd’hui le tu
45 1972, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Confrontation des régions transfrontalières [Nos conclusions] (été 1972)
124 tel qu’ils l’ont apprise à l’école — et ceux qui parlent d’autonomies régionales ou communales sont à la fois de doux rêveurs
125 hés habituels après de telles rencontres. Nous ne parlerons ni d’étape décisive, ni de tournant de l’histoire, ni même de victoir
46 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Stratégie de l’Europe des régions (printemps 1974)
126 . C’est à cause de cela, finalement, que je vous parle de l’Europe, de son union, et plus encore, des régions. Tout le probl
47 1974, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Les grandes béances de l’histoire (printemps 1974)
127 chef de l’État, au lieu de saluer l’événement, ne parlaient que des dangers de la réforme, et précisaient surtout ce qu’elle ne d
128 et lesdits intérêts. Personne, que je sache, n’a parlé des devoirs de la France, si tous ont parlé de ses droits. Personne n
129 , n’a parlé des devoirs de la France, si tous ont parlé de ses droits. Personne n’a invoqué la solidarité — pourtant factuell
48 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Pourquoi des régions ? (printemps-été 1975)
130 us du fait de la frontière, ou, à plus proprement parler , du fait de la bi- ou tripartition d’un virtuel ensemble naturel ou e
131 e eux, avec l’aire du franco-provençal, qui y fut parlé , écrit et chanté du ixe siècle jusqu’aux débuts du xixe . (Pictet de
132 aisonnement que voici : La crise mondiale — dont parlent tous les mass médias, depuis la crise du pétrole — résulte d’une mauv
49 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
133 il serait superflu d’avoir une politique et d’en parler — la politique étant définie en ce point comme l’ensemble des mesures
134 ques de la liberté. Roma locuta, — l’ordinateur a parlé , la cause est jugée. On oublie de nous dire qu’il n’est que la voix d
135 que tout autre de l’expansion à outrance, je veux parler de la menace de guerre. Elle est de nature à modifier tous nos paramè
50 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Rôle de la modernité dans les relations Europe-Monde (hiver 1975-1976)
136 olution marxiste que Mao appellera révolution. Il parlera d’abord de « bond en avant » (marquant ainsi sa volonté de rupture av
137 passé, non plus d’évolution harmonieuse). Puis il parlera de « révolution culturelle », marquant ainsi que la modernité ne saur
138 puis en se retirant en quelques années : je veux parler du stato-nationalisme. Il semble bien que Mao en ait vu le danger et