1 1945, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique de la vie quotidienne (19 octobre 1945)
1 ent dont je tiens pour possible et même facile de parler fort correctement sans y être jamais allé : la plupart des lieux comm
2 l’enceinte démesurée du club. ⁂ Je ne vous ai pas parlé d’actualités brûlantes, dans cette préface à quelques articles sur l’
3 ches surprenantes de la diplomatie américaine, de parler tout d’abord et surtout de ce qu’on ne dit pas dans les dépêches, de
2 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
4 aise. Les couples se séparent un peu. Personne ne parle . Suit un tango où ils se glissent joue à joue, avec n’importe qui, co
5 ur. Je ne pense pas que le mot soit trop fort. Je parle de la majorité. Je connais beaucoup d’exceptions. Mais si les vétéran
6 des places publiques. Ils demandent qu’on ne leur parle plus des indigènes européens, ces agités, ces nerveux, ces tricheurs.
3 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Hollywood n’a plus d’idées (13 décembre 1945)
7 n garçon bien correct et bien banal. On essaie de parler musique, Mozart et Stravinsky — deux des principales victimes de son
8 des studios de New York s’accroît sans cesse. On parle d’un nouveau centre de production qui se créerait bientôt du côté de
4 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Les enfants américains réclament des bombes atomiques (20 décembre 1945)
9 t déjà les pasteurs et les prêtres se préparent à parler du message de Noël « aux hommes de bonne volonté », répétant sans scr
5 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Deux presses, deux méthodes : l’Américain expose, le Français explique (4 avril 1946)
10 asse que Durand n’est qu’un radical. De quoi donc parlait -on ? Qu’allons-nous faire ? Ce n’est pas que les journaux américains
11 en écrivant ce qui précède. J’ai préféré ne point parler de la « presse Hearst » et des journaux de McCormick, qui règnent sur
6 1946, Carrefour, articles (1945–1947). Une bureaucratie sans ronds-de-cuir (23 mai 1946)
12 re. » Ce fonctionnaire sait à peu près de quoi il parle , — et je dis à peu près pour dire comme lui. Car son travail consiste
13 au premier jour. J’ai fait partie de la troupe et parle en connaissance de cause. L’Office d’information de guerre (OWI) qui
7 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
14 ’est, à mon sens, toute la question. Lorsque nous parlons d’impérialisme, en Europe, nous pensons à une volonté de dominer affi
15 de blé, d’autre part. Quand l’Amérique envoie, on parle d’impérialisme ; quand elle n’envoie pas, on parle d’égoïsme et d’hyp
16 arle d’impérialisme ; quand elle n’envoie pas, on parle d’égoïsme et d’hypocrisie puritaine. Et il arrive même trop souvent q
17 uritaine. Et il arrive même trop souvent que l’on parle des deux à la fois. Je voudrais insister sur ce point. Ceux qui se mé
18 , j’entendais l’autre jour un diplomate américain parler de l’attitude hostile des Soviétiques à l’égard de toutes les mesures
8 1947, Carrefour, articles (1945–1947). Fédération ou dictature mondiale ? (9 avril 1947)
19 de son comité. La presse américaine en a beaucoup parlé et ne cesse de discuter le sujet. En Europe, au contraire, il m’appar
9 1947, Carrefour, articles (1945–1947). « Jean-Paul Sartre vous parle… et ce qu’en pensent… » (29 octobre 1947)
20 « Jean-Paul Sartre vous parle … et ce qu’en pensent… » (29 octobre 1947)l m Émission plus ambiguë
21 , « [Réponse à une enquête] Jean-Paul Sartre vous parle … et ce qu’en pensent… », Carrefour, Paris, 29 octobre 1947, p. 7. m.
10 1947, Carrefour, articles (1945–1947). La France est assez grande pour n’être pas ingrate (26 novembre 1947)
22 e, se conduit mal à l’égard des États-Unis. Je ne parle pas des discours officiels, mais des conversations et de beaucoup d’a
23 rope est une fiction. Tout le monde le sait, n’en parlons plus. Quant à l’indépendance morale et politique que nous devons affi