1
la portée immédiate de ce que j’entends quand je
parle
de conscience civique. Lorsque l’Allemagne totalitaire envahit l’Autr
2
a résistance civique et toute civile dont je vous
parlais
, et voilà la conscience de notre force véritable. Si nous avons le dr
3
ise en défi, par désespoir. Mais là encore, je ne
parle
pas d’une compassion sentimentale. Je parle d’une attitude virile et
4
je ne parle pas d’une compassion sentimentale. Je
parle
d’une attitude virile et décidée, d’une volonté de libérer ces peuple
5
de la vie du « Frère Claus » qui est exalté : on
parle
surtout de ses miracles, de son ascèse, de ses visions, et même parfo
6
est alors que se placent les événements dont nous
parlaient
nos manuels. Une dernière Diète se réunit à Stans. Tout accord se rév
7
mmunautés d’Amis de Dieu dont Hattinger lui avait
parlé
? Et la première visite qu’il reçut au Ranft ne fut-elle pas précisém
8
alentendu menaçant. La bataille dont je vais vous
parler
n’est pas une bataille politique. Les adversaires ne sont nullement l
9
oute naturelle. Le banquier dont je viens de vous
parler
aurait eu beaucoup de peine à concevoir qu’il y avait disharmonie, co
10
relle nous a dressés pour ce genre de mission. On
parle
un peu partout de fédérer l’Europe. Cela ne se fera pas en un jour, n
11
ls. Ils ont encore ce bref délai de grâce dont je
parlais
aux Hollandais, en novembre de l’an dernier — et c’est fini —, dont j
12
vembre de l’an dernier — et c’est fini —, dont je
parlais
aux Suisses en janvier de cette année, et cela fait déjà cinq mois pa
13
L’Église et la Suisse (août 1940)g h Je vous
parlerai
ce matin de l’Église visible et non pas de l’Église en général. Je vo
14
isible et non pas de l’Église en général. Je vous
parlerai
des Églises telles que nous les voyons en Suisse ; et de la Suisse, t
15
de soi entre les membres d’une famille. Et je ne
parle
même pas du « partage » spirituel, qui devait être le pain quotidien
16
entum ! À ces Schweizer Christen dont je viens de
parler
j’opposerai cette déclaration prophétique d’un homme dont la pensée m
17
nne aux tribuns politiques le privilège de savoir
parler
à la foule, de savoir la toucher par des paroles directes. Vous me di
18
dans un sermon, et le pasteur disait : « Laissons
parler
la Bible seule, car nous, nous ne sommes pas convaincants. » Parole p
19
lement qu’on nourrisse ma foi. J’attends qu’on me
parle
avec une calme autorité, et non pas que l’on prenne au sérieux mes do
20
ête à croire, et elle demande à la prédication de
parler
à sa foi, non à son doute, avec la tranquille et familière assurance
21
ner l’actualité de son enseignement ? Pourquoi ne
parlerait
-elle pas de politique, si elle le fait sur la seule base de la Bible
22
ienne une vraie communauté, c’est que l’Église ne
parle
pas le langage d’un seul groupe social, ou d’une seule classe ; ou le
23
asteur ou même théologien célèbre, — mais qu’elle
parle
uniquement et simplement le langage de la Bible, qui appartient à tou
24
posera pour nous aussi un jour ou l’autre. Je ne
parlerai
pas non plus du rôle des laïques dans la paroisse, qui pourrait être
25
e de la liturgie protestante. C’est un laïque qui
parle
ici, je le répète. Ce n’est pas un docteur de l’Église ! Les théologi
26
el. Je ne sais pas si cela provient du fait qu’on
parle
un peu trop facilement du Bon Dieu, chez nous, et qu’il subsiste dans
27
la chaire, de ce que Dieu « nous a permis de lui
parler
tout simplement, d’homme à homme »… Je reste persuadé, pour ma part,
28
te persuadé, pour ma part, que nous devons plutôt
parler
d’homme à Dieu, et que nous ferions bien de nous pénétrer de cette vé
29
le est en plein essor) ; confession de foi (on en
parle
beaucoup) ; doctrine des sacrements… 9. Je n’entends pas prendre pos
30
libre de se gouverner elle-même, comme lorsqu’on
parle
de « l’indépendance » de la Suisse. 10. Canton de Genève. g. Rouge
31
rope, la situation est différente. M. Churchill a
parlé
à Strasbourg de créer une armée européenne. M. Pleven a fait voter un
32
s soin de souligner la complexité du problème. Je
parlais
de « ce mélange d’intérêt propre et d’intérêt européen » qui a toujou
33
ésoudre de conflits intérieurs dramatiques, on ne
parle
pas de « sacrifices » plus ou moins « joyeusement consentis », de « t
34
out amour. Mais la vocation dont je voudrais vous
parler
, c’est la vocation particulière qui s’adresse à un individu et fait d
35
ant. Il me faut affronter l’invraisemblable (dont
parlait
Kierkegaard), un risque absolument sans précédent puisqu’il est insti