1
t à hue et à dia. Au lieu d’un directeur qui nous
parle
à mi-voix, ces appels pathétiques à la radio. Le monde moderne retent
2
ons amis antisémites ? Au fait, je ne voulais pas
parler
du peuple massacré, mais de ses massacreurs. Quelques-uns des América
3
amental dont il convient de tenir compte quand on
parle
du « problème allemand ». Ils mentent avec sincérité, et nous mentons
4
n seul atome. Il en est d’autres, dont nous avons
parlé
abondamment ces derniers jours : les maisons à hélicoptères vont réta
5
ée. » Le général Marshall ajoute : « Les gens qui
parlent
d’une guerre purement technique oublient le fait qu’une pareille guer
6
Le général Marshall l’aurait-il oublié, lorsqu’il
parle
tout tranquillement d’« un processus qui se poursuit » ? La discussio
7
’un régime. Une idée. Et une arme. (Je n’ai guère
parlé
que de ces trois sujets dans mes chroniques précédentes.) Ce régime,
8
que le sort de l’humanité, dont les chefs d’État
parlent
tant… J’ai fini par trouver une place dans un taxi. Trois militaires,
9
coup de Suisses s’étonnent de voir des résistants
parler
avec humanité de leurs bourreaux… Cependant, je rencontre aussi quelq
10
Et c’est cela que je crains qu’on oublie, à trop
parler
Ruhr, garanties, réarmement. Dans l’état où menace de la laisser un p
11
, n’aurait été qu’un bain de pieds. D’autres nous
parlent
d’une contamination des atomes d’uranium nageant dans l’Océan. Ou de
12
’était vrai, il n’y aurait pas de guerres. (Je ne
parle
pas de tel ou tel pays, mais de l’ensemble de l’humanité.) Et mainten
13
s’agissait de « démocratiser » l’Allemagne. On en
parlait
depuis des années. Divers moyens avaient été proposés ou essayés, tel
14
ratie me paraît être le droit d’opposition. Et je
parle
d’une opposition non seulement tolérée, ou respectée, mais nécessaire