1 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
1 iel du monde ; le plus riche, au point qu’il peut parler d’égal à égal avec beaucoup d’États ; le plus parfait aussi. Son succ
2 t rares dans son livre. En général, il se borne à parler de problèmes techniques où son triomphe est facile. C’est le technici
3 encore plus grand, et de meilleure qualité. Je ne parle pas de l’Amérique. 2. Victor Cambon, préface à Henry Ford, Ma vie et
2 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
4 s mêmes, desséchant les sources de notre foi. Qui parlait donc d’un « humanisme scientifique » ? Nous avons été pris de vitesse
5 nt homme, c’est avoir accès au divin. Que sert de parler d’humanisme « chrétien » ? L’humanisme est de l’homme, le christianis
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
6 neuve perpétuellement de la vérité religieuse. Il parle des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateur qui cher
7 convertir ces idolâtres, ces fétichistes, à leur parler de Luther et de la Vierge de Lourdes, à leur révéler les culottes de
8 , clame-t-on de toutes parts aux chrétiens. Assez parlé de Vérité, ce sont des réussites qu’il nous faut. Saluons enfin le rè
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
9 Préface d’un si brillant catalogue. Parce qu’ils parlent un peu pour nous et parce qu’ils nous parlent, nous avons demandé à c
10 ils parlent un peu pour nous et parce qu’ils nous parlent , nous avons demandé à ces artistes de venir dans notre cercle. Hériti
11 s raisonnables, nous faisions des projets dont on parlait , la nuit, dans les chambres où les curiosités et les enthousiasmes en
12 xistence d’un « art protestant ». En effet, on ne parlait ici que d’« artistes protestants ». Mais cela n’empêche pas de recher
5 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
13 tous les catholiques qu’elle rencontre et qui lui parlent de leur foi se distinguent par une humanité charmante, « une façon na
14 ’est peut-être à l’endroit de cette œuvre où l’on parle le plus directement de Dieu que Dieu est le plus absent. Car nous y s
15 aring. En voici la conclusion. (C’est Blanche qui parle au père Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous demande seu
16 t absurde, voire aux yeux de la foi scandaleux de parler de conversion d’un protestantisme au catholicisme ou l’inverse. On ne
17 laire religieux. 19. Soulignons qu’un pasteur ne parlerait pas autrement. 20. Pages 495-499. h. Rougemont Denis de, « [Compte
6 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
18 e monde, l’énorme asile de fous dont Eiichi avait parlé à son père — mort maintenant —, tourmenté par l’emprise du militarism
7 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
19 bête. Il est merveilleusement intelligent. On n’y parle strictement que de psychologie et des ruses de l’art, sans que ne s’o
20 d, un homme qui ne vous lâche plus. Il a beaucoup parlé de lui-même. Mais là où d’autres produisent l’impression pénible de s
8 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
21 qu’il est un écrivain protestant est une façon de parler que beaucoup contesteront, Gide sans doute le premier. 27. Paul Bour
9 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
22 un cours sur la technique du passage à l’absolu, parle de noumènes, d’immanence, de contingence, et l’on ne voit pas, dit M.
10 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
23 la fois plus tonifiants et plus actuels, je veux parler de la vogue récente des essais, genre assurément fort ancien, mais au
24 ssai sur la France, de E. R. Curtius, dont il fut parlé ici même, ou le Dieu est-il Français, de F. Sieburg, donneront une id
11 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
25 la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous parle plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’expression plus juste
26 . C’est à tout cela que l’on pense lorsqu’on nous parle du « désarroi actuel ». Croit-on vraiment que tout cela soit si nouve
27 ésarroi » soit seulement « actuel » et ne veut-on parler de « désarroi » que lorsque les valeurs boursières et la tranquillité
28 villes européennes de grands panneaux-réclame qui parlent un langage clair. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les cho
29 lleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous parle tant depuis quelques années dans les jeunes groupes révolutionnaires
30 collectif, mais c’est peut-être votre orgueil qui parle  ? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne v
12 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
31 ls font — nous seuls savons ce qu’ils font »). On parle aussi de l’« amour de ses ennemis » et l’on « sue à grosses gouttes »
13 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notice biographique [Kierkegaard] (août 1934)
32 yait parcourir la rue la plus animée de la ville, parler , rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles, des balayeur
14 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
33 des autres. Certes, on y a pensé. Les plus hardis parlent déjà de rendre sa place à « l’esprit »… Mais, quel esprit ? Et qui l’
34 ent. Qu’est-ce que l’esprit ? Donc, on nous parle de sauver l’esprit. Qu’est-ce que l’esprit ? « L’esprit, dit Kierkega
35 la dépense ? Il faudrait bien savoir de quoi l’on parle , et ce n’est peut-être possible que si l’on sait bien où l’on va. À q
36 st celui qui répond à la foi, cet appel. Quand on parle de romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne parle jamais que d
37 e romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne parle jamais que de révolte, mais d’une révolte, en fin de compte, imaginai
38 e notre choix, ou un moment de notre vie ? Ils en parlent bien aisément…) Certains des plus lucides entrevoient le péril que ce
39 lecteur. » Kierkegaard savait bien que lorsqu’on parle à tous ou contre tous, chacun croit qu’il s’agit des autres, et perso
40 res, et personne ne se sent atteint, mais si l’on parle au solitaire de son angoisse, c’est de la mienne. Kierkegaard s’adres
15 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
41 ce, tout au moins, presque personne encore n’en a parlé . Ce qui n’est pas très étonnant, d’ailleurs. Il s’agit d’une œuvre al
16 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
42 ritique nietzschéenne, je trouve ceci : Nietzsche parle sans autorité. Il a tendance à confondre l’autorité et la violence. M
43 ul critique la vie des chrétiens de son temps, il parle avec autorité, tandis que les critiques de Nietzsche feront toujours
17 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
44 pourrait suggérer ce titre : nous ne voulons pas parler d’une « théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies exis
45 tions intolérables d’une Europe qui s’obstinait à parler de justice et de droit en restant capitaliste et nationaliste, et qui