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iel du monde ; le plus riche, au point qu’il peut
parler
d’égal à égal avec beaucoup d’États ; le plus parfait aussi. Son succ
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t rares dans son livre. En général, il se borne à
parler
de problèmes techniques où son triomphe est facile. C’est le technici
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encore plus grand, et de meilleure qualité. Je ne
parle
pas de l’Amérique. 2. Victor Cambon, préface à Henry Ford, Ma vie et
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s mêmes, desséchant les sources de notre foi. Qui
parlait
donc d’un « humanisme scientifique » ? Nous avons été pris de vitesse
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nt homme, c’est avoir accès au divin. Que sert de
parler
d’humanisme « chrétien » ? L’humanisme est de l’homme, le christianis
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neuve perpétuellement de la vérité religieuse. Il
parle
des religions avec une incroyable légèreté, — en littérateur qui cher
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convertir ces idolâtres, ces fétichistes, à leur
parler
de Luther et de la Vierge de Lourdes, à leur révéler les culottes de
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, clame-t-on de toutes parts aux chrétiens. Assez
parlé
de Vérité, ce sont des réussites qu’il nous faut. Saluons enfin le rè
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Préface d’un si brillant catalogue. Parce qu’ils
parlent
un peu pour nous et parce qu’ils nous parlent, nous avons demandé à c
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ils parlent un peu pour nous et parce qu’ils nous
parlent
, nous avons demandé à ces artistes de venir dans notre cercle. Hériti
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s raisonnables, nous faisions des projets dont on
parlait
, la nuit, dans les chambres où les curiosités et les enthousiasmes en
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xistence d’un « art protestant ». En effet, on ne
parlait
ici que d’« artistes protestants ». Mais cela n’empêche pas de recher
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tous les catholiques qu’elle rencontre et qui lui
parlent
de leur foi se distinguent par une humanité charmante, « une façon na
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’est peut-être à l’endroit de cette œuvre où l’on
parle
le plus directement de Dieu que Dieu est le plus absent. Car nous y s
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aring. En voici la conclusion. (C’est Blanche qui
parle
au père Michaël.) Vous comprenez tout à présent. Je vous demande seu
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t absurde, voire aux yeux de la foi scandaleux de
parler
de conversion d’un protestantisme au catholicisme ou l’inverse. On ne
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laire religieux. 19. Soulignons qu’un pasteur ne
parlerait
pas autrement. 20. Pages 495-499. h. Rougemont Denis de, « [Compte
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e monde, l’énorme asile de fous dont Eiichi avait
parlé
à son père — mort maintenant —, tourmenté par l’emprise du militarism
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bête. Il est merveilleusement intelligent. On n’y
parle
strictement que de psychologie et des ruses de l’art, sans que ne s’o
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d, un homme qui ne vous lâche plus. Il a beaucoup
parlé
de lui-même. Mais là où d’autres produisent l’impression pénible de s
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qu’il est un écrivain protestant est une façon de
parler
que beaucoup contesteront, Gide sans doute le premier. 27. Paul Bour
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un cours sur la technique du passage à l’absolu,
parle
de noumènes, d’immanence, de contingence, et l’on ne voit pas, dit M.
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la fois plus tonifiants et plus actuels, je veux
parler
de la vogue récente des essais, genre assurément fort ancien, mais au
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ssai sur la France, de E. R. Curtius, dont il fut
parlé
ici même, ou le Dieu est-il Français, de F. Sieburg, donneront une id
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la peur qui s’est emparée des hommes. On ne nous
parle
plus que du « désarroi actuel ». Il n’est pas d’expression plus juste
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. C’est à tout cela que l’on pense lorsqu’on nous
parle
du « désarroi actuel ». Croit-on vraiment que tout cela soit si nouve
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ésarroi » soit seulement « actuel » et ne veut-on
parler
de « désarroi » que lorsque les valeurs boursières et la tranquillité
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villes européennes de grands panneaux-réclame qui
parlent
un langage clair. Jamais il ne fut plus facile de reconnaître les cho
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lleurs qu’est-ce que cette personne, dont on nous
parle
tant depuis quelques années dans les jeunes groupes révolutionnaires
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collectif, mais c’est peut-être votre orgueil qui
parle
? Sur quelle vérité supérieure se fonde votre personnalisme ? Je ne v
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ls font — nous seuls savons ce qu’ils font »). On
parle
aussi de l’« amour de ses ennemis » et l’on « sue à grosses gouttes »
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yait parcourir la rue la plus animée de la ville,
parler
, rire et discuter avec des bourgeois, des jeunes filles, des balayeur
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des autres. Certes, on y a pensé. Les plus hardis
parlent
déjà de rendre sa place à « l’esprit »… Mais, quel esprit ? Et qui l’
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ent. Qu’est-ce que l’esprit ? Donc, on nous
parle
de sauver l’esprit. Qu’est-ce que l’esprit ? « L’esprit, dit Kierkega
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la dépense ? Il faudrait bien savoir de quoi l’on
parle
, et ce n’est peut-être possible que si l’on sait bien où l’on va. À q
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st celui qui répond à la foi, cet appel. Quand on
parle
de romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne parle jamais que d
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e romantisme, d’anarchie, d’individualisme, on ne
parle
jamais que de révolte, mais d’une révolte, en fin de compte, imaginai
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e notre choix, ou un moment de notre vie ? Ils en
parlent
bien aisément…) Certains des plus lucides entrevoient le péril que ce
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lecteur. » Kierkegaard savait bien que lorsqu’on
parle
à tous ou contre tous, chacun croit qu’il s’agit des autres, et perso
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res, et personne ne se sent atteint, mais si l’on
parle
au solitaire de son angoisse, c’est de la mienne. Kierkegaard s’adres
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ce, tout au moins, presque personne encore n’en a
parlé
. Ce qui n’est pas très étonnant, d’ailleurs. Il s’agit d’une œuvre al
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ritique nietzschéenne, je trouve ceci : Nietzsche
parle
sans autorité. Il a tendance à confondre l’autorité et la violence. M
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ul critique la vie des chrétiens de son temps, il
parle
avec autorité, tandis que les critiques de Nietzsche feront toujours
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pourrait suggérer ce titre : nous ne voulons pas
parler
d’une « théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies exis
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tions intolérables d’une Europe qui s’obstinait à
parler
de justice et de droit en restant capitaliste et nationaliste, et qui