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talité, à contrainte par la force matérielle : on
parle
des « violences policières ». On la considère comme une passion basse
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ases dans sa tête sur ce sujet dont le journal ne
parle
jamais. Ou bien, sur tel autre sujet, il vous rend ce que d’autres —
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ses nécessairement inadéquates. Mais laissez donc
parler
les gens longtemps, souvent, à bâtons rompus, et sur n’importe quel s
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sa désunion. J’entends bien que tout le monde n’a
parlé
que d’union, mais sur un ton qui, de toute évidence, en excluait la p
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à outrance, et même au-delà. Mais la presse n’en
parlera
pas, cela va de soi, c’est le seul but commun à tous les partis exist
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la veut sérieusement. Mais comme tout le monde en
parle
, et non sans émotion, j’en conclus que beaucoup y rêvent. C’est ce rê
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et le national-socialisme : c’est que le premier
parlait
des droits du citoyen, tandis que le second ne parle que de ses devoi
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it des droits du citoyen, tandis que le second ne
parle
que de ses devoirs. Serais-je déjà contaminé par l’optimisme de comm
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riers sont au fond des braves types, on peut leur
parler
sans relever le menton… Un « opposant ». — Je me promène avec un de
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es annonçaient pour le surlendemain : « Le Führer
parle
! » On plantait des mâts sur les places. On installait des haut-parle
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rer. Sept heures. Personne ne s’impatiente, ni ne
parle
. Huit heures. Les dignitaires du Reich apparaissent, annoncés par les
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avoir pourquoi cela s’est réalisé. Car on ne nous
parle
jamais que du comment. Et les « explications » qu’on nous fournit se
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ard d’un jeu politique de surface ; où les élites
parlent
un langage que les masses sont en mesure d’entendre, mais non pas de
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enne, un écrivain de nos amis se sentit pressé de
parler
, non point pour appeler les démocrates aux armes, mais simplement pou