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ne voyage pour personne. Je ne prétends pas même
parler
au nom de ma génération, ne m’étant pas livré à l’enquête préalable q
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e que je dirai de plus beau… Oh ! oh ! oh ! il va
parler
, de grâce mettez-lui les mains sur la bouche ! Donnez-lui sa choucrou
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auvre utopiste, etc. Ce sont les positivistes qui
parlent
ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur réponds : 1° qu’ils ne peu
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ons. Revenons au civil. Au village, quand on vous
parle
avec respect et trémolo d’un môssieu très instruit, vous êtes presque
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ible tant que la loi est la même pour tous. Je ne
parle
pas des manuels d’histoire, dont il est aujourd’hui démontré qu’ils d
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plantes de serre dans ces jardins d’enfants. On y
parle
de « l’enfant » comme on parle d’un produit chimique : On remarque ch
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ns d’enfants. On y parle de « l’enfant » comme on
parle
d’un produit chimique : On remarque chez l’enfant… Dans ce milieu l’e
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ondre aux besoins de l’époque. Pauvre époque ! On
parle
sans cesse de ses besoins. Il est vrai qu’elle est anormalement insat
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la jalousie rancie armée de pédantisme, et je ne
parle
pas du décor, des odeurs, de la poussière, des petites habitudes sord
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ire des haltères et rester pacifiste. NOTE C Vous
parlez
de la grande vulgarité de mes attaques. Ce qui est vulgaire, au plein