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dien » ni le vin, ni les graines et semences dont
parlent
les paraboles évangéliques, ni les relations de filiation ou de justi
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mp, d’ailleurs divisé, des agnostiques. Déjà l’on
parle
de mystiques sans Dieu, des saints sans Dieu. Malraux se demande si l
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gnorance générale fait remonter la rumeur dont je
parle
, J.-P. Sartre. L’argument majeur de ce philosophe ne porte pas, bien
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evêtir l’évangélisation de notre époque ? Comment
parler
à tous ces gens autour de nous qui ont décidé que le mot Dieu n’a plu
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impossible et intenable que nous devons cependant
parler
. Je voudrais bien que dans les réflexions qui suivent, vous ne sentie
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re, inauguration, etc., s’appliquent en général à
parler
comme n’importe qui, pour se faire bien voir, pour se faire « accepte
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ù l’on adore en fait la transcendance, et où l’on
parle
à notre temps de ses problèmes, mais au nom de ce qui les transcende.
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ccès, des sanctuaires mais toujours ouverts. J’ai
parlé
des églises d’abord, et c’est normal, car « le Jugement va commencer
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détruire par nos mains ce siècle et l’ici-bas. Je
parle
de la bombe atomique. À peine les hommes avaient-ils décrété l’autono
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r d’autres. Sa parole n’aura de poids que si elle
parle
au nom de sa propre théologie, et en rattachant ce qu’elle dit de la
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les hommes se divisèrent parce qu’ils se mirent à
parler
des langues différentes. Notre situation est pire : nous prononçons t
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. Les jeunes pasteurs français et suisses dont je
parlais
plus haut sentent très bien qu’en rétablissant un cadre liturgique da
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n’eût été qu’un berger bègue si l’Éternel n’avait
parlé
par lui. Voici qui est digne de remarque : le seul détail précis que
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le consulte son bois Et c’est son bâton qui lui
parle
! Car l’esprit de prostitution égare Et ils se prostituent loin d
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mêmes coutumes ; car on n’entend point parmi nous
parler
diversement de Dieu, comme il arrive parmi les autres peuples, non se
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vent de comptes rendus d’amateurs qui cherchent à
parler
des livres « comme tout le monde » et à faire oublier leur « spéciali
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rrive qu’un pasteur ou un prêtre juge opportun de
parler
d’un livre, j’attends, à la fois comme fidèle et comme écrivain, qu’i
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la fois comme fidèle et comme écrivain, qu’il en
parle
en théologien, et non pas en homme cultivé, en moraliste ou en artist
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teurs « chrétiens » ou « religieux » que ceux qui
parlent
de Dieu et traitent de sujets religieux. Ici encore, « ce ne sont pas
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nté de Dieu, en écrivant, ce n’est pas simplement
parler
de Dieu et de sa volonté, ni même en parler avec cette simplicité tro
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ement parler de Dieu et de sa volonté, ni même en
parler
avec cette simplicité trop aisément atteinte aux dépens du mystère, e
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n de l’artistebc On m’a demandé, récemment, de
parler
de la « Mission de l’Art en tant qu’expression créatrice de l’esprit
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ne est, je crois, plutôt récent. Cette manière de
parler
de l’acte humain en le comparant, ou même en l’égalant à l’acte divin
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as une notion ni un terne biblique. La Bible nous
parle
de vérité, de justice, de liberté, et d’amour, mais peu ou point de b
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donc pas renier l’art. Constater que la Bible ne
parle
guère de beauté, ce n’est pas dire un seul instant que la Bible exclu
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appel venu d’ailleurs ? D’où vient la voix ? Qui
parle
? Moi, ou l’Autre ? Telle est la situation que crée dans l’homme l’in
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r laquelle je reviendrai tout à l’heure. Comme je
parlais
à l’éditeur d’un magazine américain d’un article où je voulais décrir
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ore l’idée de tomber amoureux quand on ne leur en
parlera
plus. Soulignons à ce propos que passion et romance, ces créations ar
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née par les nouvelles réalités sociales. Ceux qui
parlent
de notre époque seraient utiles s’ils exprimaient des valeurs qui cor
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onstitution qui renforce encore l’étatisme, et ne
parle
même plus de sa suppression future. Au contraire, il fait fusiller ce
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uture. Au contraire, il fait fusiller ceux qui en
parlent
. On vous répond que c’est une nécessité de la tactique, dûment prévue
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vérité tous les six mois. Mais alors de quoi donc
parle-t
-on lorsqu’on parle de communisme ? Où le prendre ? En quoi peut résid
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ois. Mais alors de quoi donc parle-t-on lorsqu’on
parle
de communisme ? Où le prendre ? En quoi peut résider l’identité d’une
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L’attitude chrétienne devant le « monde » On
parle
avec raison de « doctrine » marxiste, d’» idéologie », de « tactique
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rait introduire une confusion irrémédiable que de
parler
dans le même sens d’une « doctrine » du christianisme. Le chrétien, e
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« idéologie » ; ni une tactique, cela va de soi.
Parlons
plutôt d’une attitude. Et d’une attitude totale. (Je dirais bien tota
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oments indivisibles de la « transformation » dont
parle
Paul. L’un n’est pas concevable, sérieusement, sans l’autre. « Toute
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ée, de sa vie corporelle ! Précisons, car nous ne
parlons
pas de vérités « purement théologiques » comme le dirait un incroyant
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ver d’abord sa peau, renverser les tyrans ? Ainsi
parlent
le bon sens, et le marxisme. Mais si l’Apôtre avait placé la lutte su
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.) Sur quoi repose cette transformation dont vous
parlez
? Sur une foi que ma raison refuse, et qu’elle m’ordonne d’ignorer. J
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s), organisées (parfois trop bien organisées). On
parle
, à tort ou à raison, d’États chrétiens, ou de nations, de forces, de
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œuvres (œuvres pies et action concrète). 27. Je
parle
, bien entendu, de la religion telle que Marx la voyait, telle qu’elle
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t au-dedans de vous ! » (Luc, 17, 20-25.) 38. Je
parle
ici, l’on m’entend bien, de ce que doit être un chrétien conséquent.
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ns le journal. La recherche dont je voudrais vous
parler
est en réalité tout autre chose. C’est une passion. Et cela revient à
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ment tenus pour des causes de faiblesse : je veux
parler
d’une certaine incertitude ou inquiétude, d’un certain désordre perma
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espèce d’inquiétude générale. Nous ne cessons de
parler
du « désarroi de l’époque ». Nous avons l’impression de vivre dans un
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pourrait suggérer ce titre : nous ne voulons pas
parler
d’une « théologie œcuménique », synthèse utopique des théologies exis
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tions intolérables d’une Europe qui s’obstinait à
parler
de justice et de droit en restant capitaliste et nationaliste, et qui
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m de la réaction ou de la révolution, ils ne nous
parlaient
plus que d’une Crise de l’Esprit, d’une Décadence de l’Occident, d’un
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Subitement Marx attaque de sa voix grasseyante :
parlons
d’argent, c’est le secret du drame social. Mais Freud un peu plus tar
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et du drame social. Mais Freud un peu plus tard :
parlons
du sexe, c’est le secret du drame individuel. Et voilà le choc de la
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vriers hongrois réfugiés en Autriche et libres de
parler
. Il n’en reste pas moins frappant de constater que l’avenir, aux yeux
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Soviétiques et aux Américains additionnés. Je ne
parle
que des chiffres, non de la qualité. Alors les prophéties lugubres d’
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faux dans ce langage ; tout n’est que manière de
parler
abusivement prise à la lettre, et donc fautive. Les machines envahiss
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ma campagne, pour obtenir le téléphone ! Vous me
parlez
de l’esclavage du téléphone ? Mais a-t-on jamais vu qu’un appareil, p
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e rappeler le décalage de la conscience dont j’ai
parlé
. Le mal dénoncé en son temps par Karl Marx et Proudhon, que l’on n’éc
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humain… Mais il y a trop à dire, et d’autres vont
parler
. Je n’étais pas venu pour conclure, mais pour ouvrir des portes. bu