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l’une après l’autre, parce que toute la presse ne
parlait
plus que de l’Europe — de cette Europe qui pourtant n’est pas faite.
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ieu et de l’homme n’est en fait qu’une manière de
parler
, ou plus exactement : d’écrire. En même temps se répand dans le grand
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e sort de l’an 2000 se joue dans nos écoles. J’ai
parlé
de la Campagne d’éducation civique européenne, lancée par le CEC, et
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président de la Journée de l’industrie allemande,
parla
d’économie en pessimiste réfléchi. Et le président fédéral conclut, e
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gosier, notre langue et nos lèvres et que « ça »
parle
à travers nous, — comment peuvent-ils signer des manifestes contre l’
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nalement, que je suis venu une fois de plus, ici,
parler
de l’Europe, de son union, et de la création des régions qui rendra s
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nise… …il serait sacrilège de l’oublier, et de
parler
comme si nous étions n’importe où. En me promenant hier soir j’ai rep
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ans ce beau décor de la Fondation Cini, on nous a
parlé
d’un fédéralisme plus problématique, plus empêtré dans les inerties p
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, due au culte de la croissance. (Mais on ne peut
parler
de tout à la fois, même avec la maîtrise d’un Jean Rey.) Alors que l’
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ns rigoureusement complémentaires). Tout le monde
parle
aujourd’hui de régions. Le général de Gaulle en a parlé très bien, da
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aujourd’hui de régions. Le général de Gaulle en a
parlé
très bien, dans un fameux discours de Lyon, en 1969, je crois, où il
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s hommes de l’État. » Quand nous avons commencé à
parler
de régions, nous les fédéralistes de la première heure, dans les anné
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on continental et même mondial. Et de fait, on ne
parle
de régions que depuis qu’on essaie d’abaisser les barrières entre Éta
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systématique, ou « la Révolution » mythique dont
parlent
tant d’intellectuels dans les pays hautement industrialisés. S’il pou
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nt déterminés par une constitution fédérale. On y
parle
autant de langues qu’en Suisse, c’est-à-dire quatre. On y pratique au