1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 bre boisée… Confort paysan, seul authentique. Aux parois , des versets bibliques, lettres d’argent et myosotis, autour de la ph
2 it s’engouffrer dans les rochers, à la base d’une paroi verticale, noircie d’eau. J’avais pu lire sur les longs wagons bruns 
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 uleur orangée, aérienne qu’on voit aux crêtes des parois rocheuses alors que la vallée s’emplit d’une ombre froide. Et j’étais
4 a lumière éclatant très haut dans le ciel sur des parois violemment découpées, c’est un climat que je connais… Mais il y a plu
5 mé, diversement coupés et étagés, asphalte plane, parois de verre et angles droits, circulation horizontale et verticale, inte
6 mais maintenant il le sait. Il s’appuie contre la paroi , le cœur battant… À partir de ce moment, il a compris qu’il ne lui re
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
7 a foule, refusés… Un ronron sourd fait vibrer les parois et le plancher de la cabine. Le petit ventilateur pivotant sur son ax
4 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
8 . On les range dans une chambre le long d’une des parois . À l’autre extrémité de la pièce se dresse un grand meuble à tiroirs.
5 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
9 s grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflées ou légèrement obliques. Seule la Banque est en pierres blanc