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n pensant et les Romands recouvrent l’usage de la
parole
, puis on va se dégourdir sur un ballon ou bien l’on poursuit hors du
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violence. Jeunes tempêtes, lavez, bousculez ! La
parole
est aux instincts combatifs et dominateurs par quoi l’homme ne se dis
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nger se mit à discourir. Et dans mon ivresse, ses
paroles
peignaient des tableaux mouvants où je me voyais figurer comme une so
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amais revu l’étranger. Quelquefois je songe à ses
paroles
— ou peut-être n’étaient-ce que celles de mes folies ? Je me répète :