1
u même canonisés, une sécurité spirituelle que la
Parole
de Dieu désigne comme une lâcheté. Car en présence de l’athéisme mili
2
aut insister là-dessus. Le monde s’est emparé des
paroles
du Christ et il les a complètement perverties. On nous a présenté cet
3
aire : il veut l’originalité. « Voilà pourquoi la
Parole
de Dieu est telle qu’on y trouve quelque passage qui dise le contrair
4
e peut être lui-même que par le droit divin de la
Parole
qui le distingue. Suprême humilité du solitaire ! Il ne saurait se co
5
atégorie du solitaire », de l’homme qui vit de la
Parole
seulement, entre les temps, dans l’instant éternel. Le solitaire p
6
t, dans l’autre sens du terme, « assujetti » à la
Parole
qui vit en lui. C’est dans ce sens que la formule de Kierkegaard est
7
ppeler « La condition humaine ». Et plusieurs des
paroles
de Pillau, — les plus belles peut-être — pourraient s’appliquer au de
8
de la fidélité. Les blancs seuls savent tenir une
parole
, se sacrifier à une cause désespérée, tenir le coup, malgré les trahi
9
, selon les termes de l’Apôtre ; opposition de la
Parole
vivante à la tradition codifiée ; sens de la décision totale entre un
10
ons à lui, il est en nous lorsque l’Esprit dit la
Parole
dans notre cœur. Quelle étrange illusion nous ferait croire qu’une dé
11
ois acceptés le Credo et son fondement qui est la
Parole
dite en nous par l’Esprit et attestée par l’Écriture, — or, cette Par
12
l’Esprit et attestée par l’Écriture, — or, cette
Parole
est Christ lui-même, — il me paraît que l’opinion de Luther n’est pas
13
t, tandis que nous adorons une Providence dont la
Parole
vivante s’est incarnée : « Emmanuel ! » — Dieu avec nous ! 68. À l
14
ses d’Asie, possédant chacune leur ange ? Ou à la
parole
« Soyez un comme le Père et moi sommes un », qui établit le modèle mê