1 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
1 ssance aux ordres imprévisibles et concrets de la Parole . Point de « synthèse », point de « consolation » ailleurs qu’en Dieu 
2 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Poésie dialectique (juillet 1933)
2 es et la nouveauté inénarrable de l’instant où la Parole lui est adressée ; enfin, excitant en lui l’espoir infini au sein du
3 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
3 . Il n’y a plus ici d’opération réelle que par la Parole de Dieu : acte de la Parole, que l’homme ne peut saisir que dans la f
4 ion réelle que par la Parole de Dieu : acte de la Parole , que l’homme ne peut saisir que dans la foi ; choix de l’élection, c’
5 i qu’encourt l’homme jeté par la révélation de la Parole dans une situation absolument nouvelle, dans un instant dont nulle mo
4 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
6 moi une « deuxième personne », un tu sujet d’une parole qui m’advient6. On voudrait nous faire croire aujourd’hui que le conf
5 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
7 à nouveau l’Église chrétienne comme le lieu où la Parole est prêchée, on voit des pasteurs qui, chaque dimanche pourtant, prêc
6 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
8 Les trois temps de la Parole (mai 1935)i On sait avec quelle insistance Kierkegaard revient, da
9 écisément de la notion de contemporanéité avec la Parole de Dieu. Essayons de résumer sa description extrêmement précise et vi
10 ement précise et vigoureuse des trois temps de la Parole de Dieu. Nous la trouvons aux pages 148 à 155 du premier tome (en cou
11 e (notre temps). Ce sont là les trois temps de la Parole . Jésus-Christ est la Parole de Dieu (Jean i). Les écrits des prophète
12 les trois temps de la Parole. Jésus-Christ est la Parole de Dieu (Jean i). Les écrits des prophètes et des apôtres — l’Ancien
13 le Nouveau Testament — sont les témoignages de la Parole . Enfin, la prédication de l’Église procède de ces témoignages et renv
14 renvoie, au-delà d’elle-même, à travers eux, à la Parole même de Dieu. « Autre est le temps du parler direct et originel de Di
15 se même, le temps de la prédication dérivée de la parole des prophètes et des apôtres, orientée vers cette parole et recevant
16 des prophètes et des apôtres, orientée vers cette parole et recevant d’elle sa norme. » Or, ces temps différents ne sont pas d
17 distinguent les temps de l’homme en dehors de la Parole de Dieu, et qui dépend ici de la distinction propre aux temps de la P
18 pend ici de la distinction propre aux temps de la Parole . » Autrement dit, ces trois temps ne sont pas dans le prolongement hi
19 ir, ni le sang n’auraient pu lui faire dire cette parole (Matt. 16, 17). C’est Dieu lui-même qui agit en lui à ce moment, qui
20 seul que nous pouvons devenir contemporains de sa Parole . Nicodème a beau vivre en même temps que le Christ : il ne le reconna
21 temps à ce temps des apôtres, ou à ce temps de la Parole faite chair. ⁂ On dira qu’il ne s’agit là que d’un schéma. Certes, et
22 d’éloquence, nous rendre « contemporains » de la Parole ou de ses témoins bibliques ; 2° qu’ils ne peuvent avoir d’utilité qu
23 n d’Oberammergau ! 19. C’est le rôle que joue la parole peinte par Grünewald à côté du Jean-Baptiste de la Crucifixion d’Isse
24 ucun juif ne l’a été. i. « Les trois temps de la Parole  », Hic et Nunc, Paris, n° 9-10, mai 1935, p. 152-158.
7 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
25 il reste simplement le message existentiel de la Parole de Dieu ! Il me semble que c’est assez !   — Ici s’engagea un débat e
26 eur identité et alla même jusqu’à citer certaines paroles de Kierkegaard à l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du pa
27 Il nous sembla qu’il murmurait machinalement les paroles que je venais de lire. Nous perçûmes enfin quelques mots : il monolog
28 moi j’étais devant Celui… Celui qui m’a coupé la parole , durement : « En vérité, en vérité, je te le dis ! »… Ô mes amis, qui
29 ent inconscients de l’insondable gravité de leurs paroles , — et Mme Nicodème d’autre part, dont je craignais qu’elle n’approuvâ
30 si. Mais nous vivons dans un monde troublé, où la parole n’a plus le même sens pour tous. C’est pourquoi nous multiplions les
31 stement n’avait presque rien dit, prit soudain la parole comme nous allions nous séparer ; et je ne suis pas loin de croire qu
32 ce que sont ce Baptême et cette Cène. Certes, ces paroles nous condamnent dans la mesure où nous les prononçons sans foi, hors
8 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
33 possibles, qui se ramènent au seul danger que la Parole ne parle pas, que l’Esprit soit mal entendu, c’est-à-dire que la foi
34 z cela sérieusement, si vous croyez à cette autre parole qui est comme un commentaire de la première : « Ma grâce te suffit »3