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ssance aux ordres imprévisibles et concrets de la
Parole
. Point de « synthèse », point de « consolation » ailleurs qu’en Dieu
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es et la nouveauté inénarrable de l’instant où la
Parole
lui est adressée ; enfin, excitant en lui l’espoir infini au sein du
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. Il n’y a plus ici d’opération réelle que par la
Parole
de Dieu : acte de la Parole, que l’homme ne peut saisir que dans la f
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ion réelle que par la Parole de Dieu : acte de la
Parole
, que l’homme ne peut saisir que dans la foi ; choix de l’élection, c’
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i qu’encourt l’homme jeté par la révélation de la
Parole
dans une situation absolument nouvelle, dans un instant dont nulle mo
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moi une « deuxième personne », un tu sujet d’une
parole
qui m’advient6. On voudrait nous faire croire aujourd’hui que le conf
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à nouveau l’Église chrétienne comme le lieu où la
Parole
est prêchée, on voit des pasteurs qui, chaque dimanche pourtant, prêc
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écisément de la notion de contemporanéité avec la
Parole
de Dieu. Essayons de résumer sa description extrêmement précise et vi
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ement précise et vigoureuse des trois temps de la
Parole
de Dieu. Nous la trouvons aux pages 148 à 155 du premier tome (en cou
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e (notre temps). Ce sont là les trois temps de la
Parole
. Jésus-Christ est la Parole de Dieu (Jean i). Les écrits des prophète
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les trois temps de la Parole. Jésus-Christ est la
Parole
de Dieu (Jean i). Les écrits des prophètes et des apôtres — l’Ancien
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le Nouveau Testament — sont les témoignages de la
Parole
. Enfin, la prédication de l’Église procède de ces témoignages et renv
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renvoie, au-delà d’elle-même, à travers eux, à la
Parole
même de Dieu. « Autre est le temps du parler direct et originel de Di
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se même, le temps de la prédication dérivée de la
parole
des prophètes et des apôtres, orientée vers cette parole et recevant
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des prophètes et des apôtres, orientée vers cette
parole
et recevant d’elle sa norme. » Or, ces temps différents ne sont pas d
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distinguent les temps de l’homme en dehors de la
Parole
de Dieu, et qui dépend ici de la distinction propre aux temps de la P
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pend ici de la distinction propre aux temps de la
Parole
. » Autrement dit, ces trois temps ne sont pas dans le prolongement hi
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ir, ni le sang n’auraient pu lui faire dire cette
parole
(Matt. 16, 17). C’est Dieu lui-même qui agit en lui à ce moment, qui
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seul que nous pouvons devenir contemporains de sa
Parole
. Nicodème a beau vivre en même temps que le Christ : il ne le reconna
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temps à ce temps des apôtres, ou à ce temps de la
Parole
faite chair. ⁂ On dira qu’il ne s’agit là que d’un schéma. Certes, et
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d’éloquence, nous rendre « contemporains » de la
Parole
ou de ses témoins bibliques ; 2° qu’ils ne peuvent avoir d’utilité qu
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n d’Oberammergau ! 19. C’est le rôle que joue la
parole
peinte par Grünewald à côté du Jean-Baptiste de la Crucifixion d’Isse
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ucun juif ne l’a été. i. « Les trois temps de la
Parole
», Hic et Nunc, Paris, n° 9-10, mai 1935, p. 152-158.
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il reste simplement le message existentiel de la
Parole
de Dieu ! Il me semble que c’est assez ! — Ici s’engagea un débat e
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eur identité et alla même jusqu’à citer certaines
paroles
de Kierkegaard à l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du pa
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Il nous sembla qu’il murmurait machinalement les
paroles
que je venais de lire. Nous perçûmes enfin quelques mots : il monolog
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moi j’étais devant Celui… Celui qui m’a coupé la
parole
, durement : « En vérité, en vérité, je te le dis ! »… Ô mes amis, qui
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ent inconscients de l’insondable gravité de leurs
paroles
, — et Mme Nicodème d’autre part, dont je craignais qu’elle n’approuvâ
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si. Mais nous vivons dans un monde troublé, où la
parole
n’a plus le même sens pour tous. C’est pourquoi nous multiplions les
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stement n’avait presque rien dit, prit soudain la
parole
comme nous allions nous séparer ; et je ne suis pas loin de croire qu
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ce que sont ce Baptême et cette Cène. Certes, ces
paroles
nous condamnent dans la mesure où nous les prononçons sans foi, hors
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possibles, qui se ramènent au seul danger que la
Parole
ne parle pas, que l’Esprit soit mal entendu, c’est-à-dire que la foi
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z cela sérieusement, si vous croyez à cette autre
parole
qui est comme un commentaire de la première : « Ma grâce te suffit »3