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rence Sterne et du recteur Krooks sur Judas et la
Parole
est à cet égard d’une saveur particulièrement riche et complexe. (« …
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les bavards ne tirent pas d’eux-mêmes toutes les
paroles
qu’ils profèrent ; ils les reçoivent des prophètes ; s’il n’y avait p
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ès le matin à travers le pays, et offre à tous la
Parole
, « ayant l’aspect d’une brochure à couverture bleue », où les événeme
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t proche, il faut en témoigner. À tous il tend la
Parole
« morte aux pages », mais voici que de toutes parts les Signes parais
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u fait pour la grandeur et la pureté, et pour des
paroles
comme « Si ton œil te fait tomber dans le péché, arrache-le et jette-
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e la femme, par exemple, à la fin du Miroir de la
Parole
) une appréhension si totale du réel que notre langue, je le crains, n
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exsangues, c’est rénover l’action cosmique de la
parole
. Comment cela ? « Le mot appelle, provoque en nous l’état de co-naiss
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ur, et répète l’ordre qui l’a créée, s’appelle la
parole
. » Nous voici donc « chargés du rôle d’origine ». L’homme est « le sc
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porte à conséquence, tout appelle, et d’abord la
parole
! Mais l’usure des mots les édente, notre langage est débrayé. Commen
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paysages qui ne sont pas mon état d’âme, mais une
parole
à déchiffrer. L’humilité m’apporte des nouvelles du monde. Ainsi je m
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t au suivant, une nuit l’annonce à l’autre. Cette
parole
traverse tous les climats, jusqu’aux confins du monde, et l’on perçoi
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id-Neel, Immortalité et Réincarnation, 1961. 65.
Parole
attribuée au Bouddha, dans la tradition des Théravadins (hynayânistes