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eille, de leur voix trop naturelle, voix de jour.
Paroles
aussitôt oubliées, mais je sais que la nuit va s’éteindre. L’un m’a s
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tenues par un long souffle vif. J’observe que les
paroles
autant que les gestes sont gouvernées par la seule logique d’un rythm
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ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
paroles
. Je vois des chevauchées sous le soleil, des campements nocturnes où
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que chose, écoute, attends… Peut-être que déjà la
parole
fut dite et reçue quelque part en nous-mêmes, dans la brume où nous s