1 e l’Évangile de Jean : Au commencement était la Parole , et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… En elle était

2 e Jean : Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… En elle était la vie, et la

3 it la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… En elle était la vie, et la vie était la lumière des homm

4 nt ? Non, car voici la suite du passage : Et la Parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de

5 que venu du Père (I, 14-15). L’incarnation de la Parole dans le monde — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel est l’événemen

6 car moi-même je suis embarrassé pour éclaircir ma parole obscure. » Ici se poserait la plus grave question, mais elle demeure

7 illeur chevalier du monde » ou, selon ses propres paroles , « un grand baron adoré du monde entier »100. Et l’on sait d’autre pa

8 me. Et leurs silences furent plus réels que leurs paroles . Il ne s’agit donc, ici, que de tenir compte des éléments hérités de

9 au Jour comme le fait l’Évangile de Jean. Mais la Parole du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de la Nuit : elle n’a pas

10 n mal votre désir s’apaise par un coup d’œil, une parole , une chanson, — si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre !

11 iolé le tabou : il a tout dit, tout avoué par les paroles de son livret, et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de

12 évidence largement déclarée par la musique et les paroles de l’opéra. Par l’opéra, le mythe connaît son achèvement. Mais ce « t

13 caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres paroles . Ses flèches et ses coups sont les bienfaits et les dons. Sa rencontr

14 « Droits de butin, droit d’attaque, fidélité à la parole donnée sont régis par des règles semblables à celles qui gouvernent l

15 , dit l’autre, il a donné cette même main avec sa parole . » Quant aux idées politiques inspirées au Moyen Âge par la conceptio

16 ns, faire la cour à une femme c’est l’étourdir de paroles flatteuses : ainsi nos hommes politiques quand ils courtisent une ass

17 eune fille éblouissante » qui l’accueille par ces paroles  : « Je suis toi-même ! » Ainsi de la fidélité du mythe, et de Tristan

18 sume la vie, mais ici-bas, dans l’obéissance à la Parole . ⁂ Et qu’aurions-nous alors à craindre du désir ? Cela seulement : qu

19 autre chose qu’une suite d’extravagances. Chaque parole et chaque geste du héros devaient correspondre à des symboles détermi