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», le chœur chante à bouche fermée, soutenant la
parole
du récitant. Seuls les mots imprimés en italique sont articulés par l
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e ! (Silence, puis plusieurs mains se lèvent.) La
parole
est au Landamman ! Le Landamman. — Cet homme est un bon citoyen.
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rgent que tu t’es fait nommer ! Le juge. — La
parole
est à notre pasteur. Le curé. — Je témoigne que l’accusé est une
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! Le juge. — C’est trop tard. Tu n’as pas la
parole
! (Aux juges.) Vous avez entendu la cause. Que ceux qui jugent en fav
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force ! 2e pèlerin. — Tu nous payes de bonnes
paroles
, et nos enfants crient pour avoir du pain ! Tous. — Du pain ! Du
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vincibles. Quand le pauvre loue Dieu et vit de sa
parole
, la victoire sur le monde est à lui ! Le pèlerin. — Est-ce là ton
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consentir pour le salut de la patrie commune ! La
parole
est au délégué des villes. Waldmann (lisant son discours). — Cons
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commun drapeau ! J’ai dit. Le président. — La
parole
est au représentant des campagnes. Altinghausen. — Nos pères ont
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-tu signer ? Nicolas. — Ce sont là de faibles
paroles
, si Dieu lui-même ne les signe dans leurs cœurs ! Va, bon frère, et h
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aux idoles, À l’or, à la puissance, aux funestes
paroles
, Pour un instant de foi, Dieu le délivrerait, En un instant de joie r