1 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
1 s était de restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu. Jamais ils n’ont admis d’être présentés comme des novateurs.
2 place de l’exposition simple et fidèle de la pure Parole de Dieu. » Du point de vue qui nous intéresse ici, je dirai que l’œuv
3 que « les choses vieilles sont passées » selon la parole de l’Apôtre. Elle n’admet pas la conversion spirituelle, à partir de
2 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
4 appels ne portent plus. Les hommes échangent des paroles en plus grand nombre que jamais, et ne se disent rien qui compte. Or
5 ais, et ne se disent rien qui compte. Or quand la parole se détruit, quand elle n’est plus le don qu’un homme fait à un homme,
3 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
6 a Confédération reste fondée sur la fidélité à la parole jurée, le nom l’indique, et surtout en allemand : Eidgenossenschaft,
4 1940, Mission ou démission de la Suisse. Appendice, ou « in cauda venenum » Autocritique de la Suisse
7 est-on neutre ? Si c’est vis-à-vis du Christ, la parole évangélique nous apprend que cette neutralité est suprêmement désavan
8 s utiliser comme des proverbes généraux certaines paroles du Christ qui n’ont de sens que par rapport à sa Personne, à son Roya