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eils revoirs rend souvent malaisé l’échange de la
parole
, mais donne aussi parfois, au tout premier regard, une lucidité sans
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n. Nous ne voulons pas d’un régime de terreur, de
parole
asservie, d’épuration à froid, de discipline d’acier (c’est le nom de
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x : « Bousculez-nous ! » Nous sommes d’accord. La
parole
est maintenant aux peuples, à l’opinion qui se réveille, aux citoyens
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ne foule d’incroyants répétant avec lui les mêmes
paroles
, se sentirait fort mal à l’aise : il se demanderait quelle peur les p
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ls qui prétendraient y parler seuls la liberté de
parole
et de propagande peut être absolument déniée, comme on retire ses jet