1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 leurs services. « Les Suisses ne se payent pas de paroles  ! », écrivait Montluc. 4. Le fédéralisme, en effet, n’est pas seulem
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
2 ens montent ensuite sur l’estrade pour prendre la parole , discuter, suggérer des amendements. Quelques-uns de ces amendements
3 artisanes. Je suis frappé aussi de la facilité de parole des orateurs, qui s’expriment avec aisance, brièvement, souvent avec
4 e. Ce mémorable progrès, tout nous le révèle. Les paroles , les écrits, les fêtes nationales, les sociétés littéraires et savant
3 1953, La Confédération helvétique. Le peuple suisse et le monde
5 quement, enfin, il est un Suisse. Laissons ici la parole à un auteur français qui a su dire mieux que tout autre comment on vo
6 moral, la Suisse a répondu en actes, mieux qu’en paroles . Durant la dernière guerre, elle a accueilli sur son petit territoire