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de l’Évangile de Jean : Au commencement était la
Parole
, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu… en elle était
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de Jean : Au commencement était la Parole, et la
Parole
était avec Dieu, et la Parole était Dieu… en elle était la vie, et la
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it la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la
Parole
était Dieu… en elle était la vie, et la vie était la lumière des homm
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dant ? Non, car voici la suite du passage : Et la
Parole
a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de
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ue venu du Père. (I, 14-15.) L’incarnation de la
Parole
dans le monde — de la Lumière dans les Ténèbres —, tel est l’événemen
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car moi-même je suis embarrassé pour éclaircir ma
parole
obscure. » Ici se poserait la plus grave question, mais elle demeure
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voir citer ici que des fragments de chansons — de
paroles
de chansons ! — souvent très pauvrement traduites, et privées de tout
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illeur chevalier du monde » ou, selon ses propres
paroles
, « un grand baron adoré du monde entier118. » Et l’on sait d’autre pa
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me. Et leurs silences furent plus réels que leurs
paroles
. Il ne s’agit donc, ici, que de tenir compte des éléments hérités de
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au Jour comme le fait l’Évangile de Jean. Mais la
Parole
du Jour, pour eux, n’a pas revêtu la forme de la Nuit : elle n’a pas
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n mal votre désir s’apaise par un coup d’œil, une
parole
, une chanson – si ce plaisir est jà si grand… quel sera l’autre !
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iolé le tabou : il a tout dit, tout avoué par les
paroles
de son livret, et plus encore par sa musique. Il a chanté la Nuit de
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évidence largement déclarée par la musique et les
paroles
de l’opéra. Par l’opéra, le mythe connaît son achèvement. Mais ce « t
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caresses et n’a d’autres menaces que ses tendres
paroles
. Ses flèches et ses coups sont les bienfaits et les dons. Sa rencontr
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« Droit de butin, droit d’attaque — fidélité à la
parole
donnée sont régis par des règles semblables à celles qui gouvernent l
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, dit l’autre, il a donné cette même main avec sa
parole
. » Quant aux idées politiques inspirées au Moyen Âge par la conceptio
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ns, faire la cour à une femme c’est l’étourdir de
paroles
flatteuses : ainsi nos hommes politiques quand ils courtisent une ass
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eune fille éblouissante » qui l’accueille par ces
paroles
: « Je suis toi-même ! » Ainsi de la fidélité du mythe, et de Tristan
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sume la vie, mais ici-bas, dans l’obéissance à la
Parole
. ⁂ Et qu’aurions-nous alors à craindre du désir ? Il perd sa puissanc