1 1978, Articles divers (1978-1981). 20 questions à Denis de Rougemont (22 février 1978)
1 ’État-nation. Cet État-nation — ils sont 175 à se partager la planète — qui ne cherche qu’à servir son prestige et pas du tout l
2 1978, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire ou la méditation apocalyptique d’un optimiste (février-mars 1978)
2 t aujourd’hui. Le communisme comme le capitalisme partagent la même religion fondamentale de la croissance, de la productivité, d
3 1978, Articles divers (1978-1981). Un autre avenir pour la planète (février 1978)
3 ont prisonnières de leurs promesses et d’ailleurs partagent leurs superstitions, la croissance indéfinie par exemple. On s’en sor
4 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
4 sont communs, mais cette région est actuellement partagée entre trois pays. Chaque gouvernement entend gérer à sa façon ce sect
5 1978, Articles divers (1978-1981). De l’Europe des États coalisés à l’Europe des peuples fédérés (mai 1978)
5 e l’Europe du Sud-Est aient été « répartis » et «  partagés  » entre les Super-Grands en protectorats, satellites, zones à souvera
6 1979, Articles divers (1978-1981). « Nous subsisterons unis, ou nous périrons séparés ! » (avril-mai 1979)
6 ne nécessairement la superstructure. Une illusion partagée aussi d’ailleurs par les bourgeois capitalistes… et par les socialist
7 1979, Articles divers (1978-1981). Formule d’une Europe parallèle ou rêverie d’un fédéraliste libertaire (1979)
7 eut la faire sur la base de ces États-nations qui partagent aujourd’hui la planète en un peu plus de cent-cinquante compartiments
8 1980, Articles divers (1978-1981). Énergie solaire et autonomie (1980)
8 ceux qui sont ici ce matin, et non des moindres, partageaient à l’époque mes illusions, et je les retrouve aujourd’hui au premier r
9 1981, Articles divers (1978-1981). Robert Aron, Fragments d’une vie [préface] (1981)
9 s acceptions tous ; quant au nietzschéisme, qu’il partageait d’ailleurs avec la plupart des membres du Comité, ce n’était pas celu