1 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
1 ample et puissante respiration purificatrice, le parti de la Santé, comme l’écrivait Philippe Lamour. Peu nous chaut une pur
2 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
2 l’action publique. On ne connaît pas en France de parti protestant comparable aux nombreux groupements catholiques à fins pol
3 , que le chrétien prenne position en présence des partis politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
4 présence des partis politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau, prendre parti. Comme le
5 non pas sur une mystique de race, de classe ou de parti , mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
6 nouveauté de leur point de départ. Alors que les partis aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
7 pliqués de bien pires erreurs dans n’importe quel parti , aussi bien à gauche qu’à droite22. Avec cette différence qu’au sein
8 u’à droite22. Avec cette différence qu’au sein de partis si nombreux, sa voix n’aurait aucun effet… Dans la perspective que no
9 le : les jeunes protestants n’ont pas à fonder un parti . Leur foi n’est pas de celles que l’on met en systèmes. Le fût-elle,
10 ur très petit nombre les empêcherait d’imposer ce parti à l’ensemble de la nation. Le temps n’est pas aux rêves, et ce n’est
11 e » publiquement et en tant que chrétien, dans un parti parlementaire. Je crois que seul le lieu que nous avons choisi pour n