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elles ne sont pas au service d’une cause ou d’un
parti
, fût-il baptisé « chrétien ». (Je parle idéalement : nous avons nous
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ar les lois économiques, les forces relatives des
partis
et des classes avant 1933, les circonstances politiques de l’Europe,
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ce des brutalités commises par les sous-ordres du
parti
, il arrive bien souvent qu’un Allemand dise : « Si le Führer savait c
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ême vice que les orthodoxies que vous condamnez :
parti
qui veut se faire aussi grand que le tout. Que ce soit le parti de la
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se faire aussi grand que le tout. Que ce soit le
parti
de la Raison, ou de la Liberté, ou de l’Humanité, etc. Aussi vrai que
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t, ne se connaissait plus que comme race, peuple,
parti
, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et collective
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ez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le
parti
des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiend
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ses meilleures forces créatrices. Mais dès que le
parti
protestant relève la tête, en tous pays, nous le voyons adopter une p
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e peut être que par l’Église seule, et non par un
parti
, et non par l’État fédéral. Une « Suisse chrétienne », ce serait une
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s, qui accaparent toute l’attention. Je suis donc
parti
du texte lui-même, du mouvement intérieur du dialogue, pour aboutir o
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de ce passage). L’auteur est l’un des chefs d’un
parti
que l’on devine ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe
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dispensables. Quand il y va de tout, oublions nos
partis
, car ils ne représenteront jamais qu’une partie de la vérité. N’atten
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de notre groupement : réunir — non point dans un
parti
, car nous nous défendons de vouloir l’être jamais — ce qui doit logiq
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tants de tous les groupements qui ne sont pas des
partis
. Nous attachons, vous le voyez, une très grande importance au fait d’
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es hommes de 35 ans et moins ne sont pas dans les
partis
, parce que la politique leur a paru jusqu’à présent un jeu déplaisant
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mble, il est absurde de nommer « fédéraliste » un
parti
qui n’a d’autre programme que la défense des intérêts locaux contre l
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a maladie collectiviste de notre État. À quand le
parti
de la santé fédéraliste ? Il ne sera ni de gauche ni de droite. Car s
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r les mœurs politiques françaises. L’idée même de
parti
, d’ailleurs, est antisuisse, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste
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e, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste. Tout
parti
politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui v
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diculement, à avoir des idées sur tout. Les seuls
partis
qu’une fédération puisse tolérer sont les partis à programme restrein
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partis qu’une fédération puisse tolérer sont les
partis
à programme restreint, représentant une région, ou un groupe d’activi
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entre experts, se compléter, collaborer. Mais les
partis
unitaires actuels représentent des tendances trop vagues : ils ne pou
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e… Mais rien n’y fait, notre presse continue, nos
partis
continuent, nos arguments ne changent pas d’un demi-ton, nos philofas
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s sommes sûrs de la nécessité de notre Ligue… Les
partis
ne veulent rien entendre. Mais le peuple répond. Tant pis pour les po