1 1938, Articles divers (1938-1940). Réponse à l’enquête « Littérature et christianisme » (20 novembre 1938)
1 elles ne sont pas au service d’une cause ou d’un parti , fût-il baptisé « chrétien ». (Je parle idéalement : nous avons nous
2 1939, Articles divers (1938-1940). Un quart d’heure avec M. Denis de Rougemont : Hitler, grand-prêtre de l’Allemagne (11 janvier 1939)
2 ar les lois économiques, les forces relatives des partis et des classes avant 1933, les circonstances politiques de l’Europe,
3 1939, Articles divers (1938-1940). Qui est Hitler ? (24 février 1939)
3 ce des brutalités commises par les sous-ordres du parti , il arrive bien souvent qu’un Allemand dise : « Si le Führer savait c
4 1939, Articles divers (1938-1940). Il y a toujours des directeurs de conscience en Occident (juin 1939)
4 ême vice que les orthodoxies que vous condamnez : parti qui veut se faire aussi grand que le tout. Que ce soit le parti de la
5 se faire aussi grand que le tout. Que ce soit le parti de la Raison, ou de la Liberté, ou de l’Humanité, etc. Aussi vrai que
5 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
6 t, ne se connaissait plus que comme race, peuple, parti , corporation, famille ou sous tout autre forme générale et collective
7 ez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le parti des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiend
8 ses meilleures forces créatrices. Mais dès que le parti protestant relève la tête, en tous pays, nous le voyons adopter une p
9 e peut être que par l’Église seule, et non par un parti , et non par l’État fédéral. Une « Suisse chrétienne », ce serait une
6 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
10 s, qui accaparent toute l’attention. Je suis donc parti du texte lui-même, du mouvement intérieur du dialogue, pour aboutir o
7 1940, Articles divers (1938-1940). Le petit nuage (avril 1940)
11 de ce passage). L’auteur est l’un des chefs d’un parti que l’on devine ; écœuré, il vient de démissionner (la scène se passe
8 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
12 dispensables. Quand il y va de tout, oublions nos partis , car ils ne représenteront jamais qu’une partie de la vérité. N’atten
9 1940, Articles divers (1938-1940). Un fondateur de la Ligue du Gothard part pour quatre mois aux États-Unis : M. Denis de Rougemont nous dit… (23 août 1940)
13 de notre groupement : réunir — non point dans un parti , car nous nous défendons de vouloir l’être jamais — ce qui doit logiq
14 tants de tous les groupements qui ne sont pas des partis . Nous attachons, vous le voyez, une très grande importance au fait d’
15 es hommes de 35 ans et moins ne sont pas dans les partis , parce que la politique leur a paru jusqu’à présent un jeu déplaisant
10 1940, Articles divers (1938-1940). Autocritique de la Suisse (août 1940)
16 mble, il est absurde de nommer « fédéraliste » un parti qui n’a d’autre programme que la défense des intérêts locaux contre l
17 a maladie collectiviste de notre État. À quand le parti de la santé fédéraliste ? Il ne sera ni de gauche ni de droite. Car s
18 r les mœurs politiques françaises. L’idée même de parti , d’ailleurs, est antisuisse, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste
19 e, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste. Tout parti politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui v
20 diculement, à avoir des idées sur tout. Les seuls partis qu’une fédération puisse tolérer sont les partis à programme restrein
21 partis qu’une fédération puisse tolérer sont les partis à programme restreint, représentant une région, ou un groupe d’activi
22 entre experts, se compléter, collaborer. Mais les partis unitaires actuels représentent des tendances trop vagues : ils ne pou
23 e… Mais rien n’y fait, notre presse continue, nos partis continuent, nos arguments ne changent pas d’un demi-ton, nos philofas
11 1940, Articles divers (1938-1940). La Ligue du Gothard : raisons d’espérer (13 septembre 1940)
24 s sommes sûrs de la nécessité de notre Ligue… Les partis ne veulent rien entendre. Mais le peuple répond. Tant pis pour les po