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nt, que je passe pour un homme de gauche dans les
partis
de droite et pour un homme de droite dans les partis de gauche. Je ne
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tis de droite et pour un homme de droite dans les
partis
de gauche. Je ne suis jamais pour ou contre un parti. Je suis contre
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is de gauche. Je ne suis jamais pour ou contre un
parti
. Je suis contre le totalitarisme et pour la démocratie réelle, qui es
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; de Reynaud qui l’a renvoyé sous la pression du
parti
de l’armistice… Et je doute si personne aujourd’hui parle un français
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s. Ces derniers sont centrés sur des questions de
partis
et de partis pris locaux et ancestraux nommés « doctrines », qui ont
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rs sont centrés sur des questions de partis et de
partis
pris locaux et ancestraux nommés « doctrines », qui ont à peu près le
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us soupçonnons bien qu’en dehors de ce jeu de nos
partis
il y a la vie sérieuse, la vie réelle du monde, d’immenses transforma
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uelle de l’Occident. En Hollande, par exemple, le
parti
socialiste personnaliste a tiré sa doctrine de ses ouvrages et de ceu
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al. Et nous devrons constamment rappeler aux deux
partis
que le fédéralisme véritable n’est ni dans l’une ni dans l’autre de c
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aires, en effet, sont fondés sur l’hégémonie d’un
parti
ou d’une nation, sur l’esprit de système, sur l’écrasement des minori
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l’état présent de l’opinion et des rivalités des
partis
, ils courraient le risque d’être accusés de trahison s’ils transigeai
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ns un pays donné ne peut et ne doit servir que le
parti
au pouvoir. Ainsi, Faulkner, Hemingway et Miller, nolens volens, serv
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cule d’accuser les éditeurs américains de « tirer
parti
» du pessimisme d’un Miller ou d’un Faulkner, pour faire de leurs liv
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on n’ait plus le droit de les juger mauvais si le
Parti
les déclare orthodoxes. La balance n’est pas égale. Car d’un côté l’o
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v). Nous ne voulons pas de la dictature d’un seul
parti
; qui ne représente qu’un quart du corps électoral dans les pays où i
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de plus pressé que de s’asservir aux dogmes d’un
parti
. Tout ce qu’a perdu la religion, c’est la politique qui le gagne. Adm
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s savants donner des gages d’apparente loyauté au
parti
le plus menaçant, comme autrefois Descartes en donnait à l’Église, af
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les haut-parleurs contrôlés par l’État ou par le
parti
au pouvoir, qui sont la radio et la presse. Seuls ces moyens sont à l
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es, beaucoup d’intellectuels s’inscrivent dans un
parti
et c’est là ce qu’ils appellent s’engager. Mais c’est en fait, pour l
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s Européens soient unanimes à tenir activement le
parti
de cette Europe, de ses complexités vitales, de sa culture. Une analy
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ouveaux acquéreurs vont en tirer un bien meilleur
parti
, pour l’avantage du plus grand nombre ? Que valent nos craintes ? Qu’
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voici qu’on l’enferme aujourd’hui dans la cage du
parti
ou de l’État. À vrai dire, il ne l’a pas volé. Le bon moyen d’éviter
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bon moyen d’éviter ces excès d’engagement dans le
Parti
, d’oppression par l’État, ce n’est pas du tout de prêcher ce qu’on ap
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même, on vit Hitler, on voit Staline, écraser les
partis
à l’intérieur, puis se comporter vis-à-vis de l’Occident, en tant que
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à-vis de l’Occident, en tant que nation, comme le
parti
le plus irréductible. Le fédéralisme, au contraire, veut unir et non
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ticisme, s’applique aux mystiques de l’État et du
Parti
divinisé, aux idéaux purement profanes et séculiers que nous proposen
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, l’opinion libre et la presse les gênent, et les
partis
— surtout de gauche, et l’imprévu de l’invention dans les arts ou de
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s notre monde : c’est que nous avons chez nous un
parti
stalinien, qui prend ses ordres à Moscou, mais aucun parti trumanien
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linien, qui prend ses ordres à Moscou, mais aucun
parti
trumanien qui voterait selon les directives envoyées par la Maison-Bl
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vise à l’autarcie totalitaire sous la férule d’un
parti
unique, redoute les curieux, épure les opposants, annexe ses voisins