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ement des marxistes. Ils croient qu’une fois leur
Parti
au pouvoir, c’est-à-dire maître de l’État — c’est ce qu’ils appellent
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ascine actuellement l’attention de la presse, des
partis
, de l’opinion publique, n’est pas tellement différent du danger des s
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e recréer une communauté par en haut, par un seul
parti
, une seule idéologie, beaucoup trop simple et s’imposant comme un cad
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er une internationale des jeunesses en rupture de
partis
, rupture de chauvinismes, rupture de marxismes et de fascismes. (Il y
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ère écrire, au seuil du numéro : « Nous sommes le
parti
de l’esprit avant d’être le parti de la révolution. » Au numéro 4, Al
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Nous sommes le parti de l’esprit avant d’être le
parti
de la révolution. » Au numéro 4, Alexandre Marc donne une importante
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e, considéré, décoré même. Depuis qu’il a pris le
parti
de la paix, toutes les polices le pourchassent y compris la police su
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’aime aucun problème extrême, et par suite, aucun
parti
extrémiste. La politique suisse vit de compromis. Le Suisse est un bo
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lle européenne, l’autonomie des régions, dans les
partis
de gauche autant que dans les partis de droite. C’est une question d’
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ns, dans les partis de gauche autant que dans les
partis
de droite. C’est une question d’attitude, de mentalité, et non pas de
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ndon de tous leurs droits à l’État, au chef ou au
Parti
qui s’en est emparé. Quant à ceux qui optent pour la Liberté, ils pen
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ationale — vers des fins choisies par un chef, un
Parti
, ou au contraire par l’ensemble des citoyens après une libre discussi
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s. En Hollande, à la Libération, il y eut même un
parti
« socialiste personnaliste » au pouvoir. À ce moment-là, n’avez-vous
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en France. De plus, j’ai toujours eu horreur des
partis
. Ce qui ne m’a pas empêché de militer un peu partoutap afin de conjur
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’était-ce pas ainsi qu’il désignait les hommes de
parti
qui risquaient de s’interposer entre lui-même et sa passion ? Tout ce
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it à des désastres politiques. Nous avons pris le
parti
de l’homme, multiple et libre, face aux « systèmes ». L’esprit jac
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ions dans une démocratie libérale dirigée par les
partis
et qui paraissait fatalement glisser soit vers une complète anarchie,
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ues de la droite, qu’est-ce qui la différencie du
Parti
communiste français ? Il y a un véritable chassé-croisé des valeurs e
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es d’énergie ? Là encore, soit dit en passant, le
parti
communiste a opéré un virage à 180 degrés. Mais sur le fond, quelle q
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asards objectifs », comme dit Breton, et tiré bon
parti
de leur convergence avec l’événement historique, pour aboutir à notre
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mme seul moyen de prévenir la colonisation par un
Parti
ou par une monnaie. Enfin, un rapport économique, dû à Daniel Serruys
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rastructure matérielle selon Marx. Il suffit d’un
parti
nationaliste prenant le pouvoir quelques années plus tard dans l’un d
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sace-Lorraine ; mais s’il adhère en 1931 au jeune
Parti
des démocrates populaires — qui sera le MRP de la Libération —, n’est
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ration —, n’est-ce pas surtout parce que c’est le
parti
qui affirme le plus clairement une politique extérieure certes « réso
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au sens kierkegaardien) mais pour l’Église (ou le
Parti
), l’ordre et la gloire de l’Institution. Entre les deux, le calvinism