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en avril 1932, contre l’agitateur Hitler, chef du
Parti
national-socialiste des ouvriers allemands (NSDAP, selon le sigle all
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ut humain. Il n’y a en fait que la puissance d’un
parti
sur sa propre nation, systématiquement amputée de tout ce qui pourrai
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tiquement, d’abandon de leurs droits à l’État, au
parti
ou au chef qui s’en est emparé. Quant à ceux qui optent pour la liber
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ationale — vers des fins choisies par un chef, un
parti
ou, au contraire, par l’ensemble des citoyens après une libre discuss
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de la paix, nous assure-t-on. « Les deux buts du
Parti
, écrit Orwell, sont de conquérir toute la surface de la Terre et d’ét
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lement justifiée la fameuse devise adoptée par le
Parti
unique : la Guerre, c’est la Paix. Voilà donc le premier grand But a
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contre le productivisme, contre la politique des
partis
et des trusts à l’Ouest. Mais aussi contre toutes les formes d’État t
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oblèmes de l’homme et non pas des états-majors de
partis
ou d’États ; les problèmes du travail et du chômage, de la centralisa
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rière politique comme chef de l’extrême gauche du
parti
socialiste italien ; que Hitler venait de créer un mouvement socialis
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, il nous a dénoncés comme fascistes sur ordre du
Parti
. Le totalitaire, c’était lui. Voilà qui peut ramener à de justes mesu
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ut n’y est que masques ! Montaigne prend alors le
parti
de l’être vrai, de son identité foncière aux prises avec le mensonge
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ale, c’était celle de Karl Barth, membre actif du
parti
socialiste (ce que je n’ai jamais été), mais enfin cela indiquait une
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on existence, l’URSS a été dotée par les chefs du
Parti
communiste de quatre constitutions différentes. La Constitution de
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dictature de la classe ouvrière et la primauté du
parti
communiste ». Or, ceci annule cela, avec une vigilance sans défaut, c
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ne peuvent être proposés à l’élection que par le
Parti
. Le chapitre II sur l’Organisation de l’État définit l’Union des répu
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a pratique, et compte tenu du rôle omniprésent du
Parti
à tous les échelons de l’organisation et du mode d’élection des pouvo
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autres couches de travailleurs s’unissent dans le
Parti
communiste de l’URSS, qui est l’avant-garde des travailleurs dans leu
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nt que ce privilège de noyau dirigeant accordé au
Parti
relativise, pour dire le moins, les autres droits. Quant aux devoirs,
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sociations de travailleurs : aux organisations du
Parti
communiste, aux syndicats et coopératives, aux organisations de la je
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donner toute proposition de candidats à l’aval du
Parti
communiste, « noyau dirigeant de toutes les organisations de travaill
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affirmer plus expressément la primauté de fait du
Parti
communiste, et de subordonner l’État fédératif au Parti centralisé, d
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communiste, et de subordonner l’État fédératif au
Parti
centralisé, dès qu’on en vient aux décisions opérationnelles. Quelque
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rs de l’État », comme le confirme l’art. 6 : « le
Parti
communiste est la force qui dirige et oriente la société soviétique,