1 dans le jeu politique des États souverains et des partis , quand il s’agit de surmonter les égoïsmes que les États et les parti

2 it de surmonter les égoïsmes que les États et les partis , précisément, sont chargés de défendre, et qui nous ruinent, ils sent

3 est plus même discutée, c’est d’abord l’esprit de parti dans ses multiples manifestations, qu’il s’agisse des partis politiqu

4 ses multiples manifestations, qu’il s’agisse des partis politiques proprement dits, ou des nationalismes hérités d’un autre â

5 bien définis aux passions et aux préjugés de leur parti , de leur nation ou de leur classe. Il y a là quelque chose de neuf, p

6 ts lutte en retraite, médiocrement soutenu par le parti . Ses vedettes se taisent ou rompent avec lui, ses hebdomadaires péric

7 s problèmes d’arithmétique électorale pour chaque parti de chaque pays, et « voilà la réalité »… Si l’Europe n’est que cela,

8 si l’on veut construire l’Europe sur la base des partis politiques, il faut renvoyer les « problèmes culturels » à plus tard.

9 ndant des siècles non point par la réalité de ses partis politiques mais bien par la vertu de ses inventions, non seulement po

10 ulture. Ce n’est pas une somme d’institutions, de partis et de préjugés tombés du ciel ou donnés par la nature, c’est une mani

11 de la construction européenne par le seul jeu des partis et des groupes d’intérêts économiques se plaignent du manque de passi

12 unesse montre peu d’intérêt pour la politique des partis , moins encore pour la politique européenne. Elle cherche ailleurs. Si

13 groupes d’intérêts privés, et finalement certains partis . Admettons que le projet soit retenu. La délégation nationale votera

14 ajouter aux problèmes harrassants de la lutte des partis , de l’économie, de la défense, et de la politique générale, — il est

15 , et avec elle non seulement nos nations et leurs partis , et les intérêts bien ou mal compris de leurs électeurs, mais tout ce

16 ris de leurs intérêts. Ces forces s’appellent les partis . Et si les Européens méprisent leurs intérêts, c’est au nom d’idéolog

17 , aujourd’hui, la politique signifie la lutte des partis et non pas la volonté de puissance et encore moins la recherche d’une

18 transcende à la fois la nation et l’individu, les partis et leurs parlements, les idéologies et leurs journaux, les intérêts e

19 d’aujourd’hui et ses péripéties, les querelles de partis , de nations ou de classes. Dans ce sens, le CEC ne s’occupe pas de po

20 émeute, discours « retentissant », décision d’un parti , voyage d’un homme d’État, triomphe des Verts ou des Bleus aux électi

21 ment historique d’envergure n’ait été le fait des partis de gauche ou de droite, ni des politiciens, ni des parlements. Un doc

22 sinessmen. Un grandiose hurluberlu — aux yeux des partis — a sauvé l’Angleterre et l’Occident. Une morale religieuse a permis

23 s du siècle dernier. (Ce n’est pas l’agitation du parti communiste, mais un certain enseignement de l’histoire qui a tué la C

24 italisme « bourgeois et impérialiste », et de son parti unique, nous serions obligés de nous récuser : rien de tel n’existe c

25 é, les Européens étant tous choisis en dehors des partis communistes et de leurs filiales, et ne représentant chacun qu’eux-mê

26 des manœuvres diplomatiques, des compromis entre partis traditionnels. On demande donc que la question européenne soit posée

27 quinzaine de sénateurs appartenant aux principaux partis , a convoqué à Bruxelles, les 13 et 14 janvier, une conférence d’étude

28 çu la permission de paraître en URSS. Aux USA, le parti communiste est interdit.   ah. « Europe-URSS : en attendant le dial

29 -à-dire de marxisme-léninisme et de propagande du Parti , qui n’occupent que 6 % des études, 27 % étant consacrés aux sciences

30 les besoins de la collectivité interprétés par le Parti et son État, qui déterminent l’éducation, ou pour mieux dire, le dres

31 emande de voter pour un candidat inconnu, dont le parti promet la lune et quelques mesures techniques beaucoup moins claires.

32 e communisme est partout en recul. Et l’idée d’un parti européen prend corps. Que manque-t-il donc encore pour que l’Europe s

33 industriel, député ou journaliste, militant d’un parti ou fonctionnaire de l’État — il ira répétant des « vérités évidentes 

34 — nous entourent et nous guettent, prêts à tirer parti de nos divisions. ⁂ « Faire l’Europe, c’est d’abord faire des Europée

35 régional, de la Chambre italienne, de l’OECE, des partis politiques, de plusieurs rédactions de revues et de deux instituts de

36 et qui exige des choix sans équivoque, voire des partis pris polémiques. On ne fait rien de grand sans passion, c’est-à-dire

37 xcluent pas, mais s’impliquent mutuellement. Nos partis , routiniers à gauche autant qu’à droite, en sont restés à une logique

38 s une démocratie qui « joue ». Mais ce sont vingt partis , dix-huit États, et d’innombrables groupes économiques, et toutes leu

39 niversités existantes. Ceux qui auront à en tirer parti (pour la recherche ou l’application) les assimileront au mieux par la

40 guerre en 1914.) Pour nous, qui ne sommes d’aucun parti nationaliste, s’il fallait prendre position dans le débat, nous dirio

41 ielle est la rançon de notre indépendance de tous partis , intérêts nationaux, groupements d’États ou même super-États. Nous en

42 -à-dire de marxisme-léninisme et de propagande du Parti , qui n’occupent que 6 % des études, 27 % étant consacré aux sciences

43 les besoins de la collectivité interprétés par le Parti et son État, qui déterminent l’éducation. On revient au dressage util

44 d’autres moyens pratiques (campagnes électorales, partis , presse, mass médias), elles réussissent à informer et à former des c

45 es conditions de la communauté locale, choisir un parti ou un candidat, servir dans un jury, écrire à son député, etc. J’insi

46 cience ! En URSS : civisme égale obéissance au Parti La Russie soviétique n’a pas de ministère central de l’Éducation (

47 ant l’éducation sont discutées par les congrès du Parti et promulguées par le Soviet suprême et le Conseil des ministres de l

48 ant à l’étude des mécanismes et de la doctrine du Parti . En classe 10 et dernière : 3 heures sur le thème : « Le Socialisme e

49 inement. L’archevêque Bilczewski et les chefs des partis politiques lui demandent de gagner au plus vite la France et l’Anglet

50 e l’indépendance polonaise « sans aucun esprit de parti et avec toute la hardiesse dont il sera capable ». On lui remet des d

51 à la variété des forces animant la vie publique : partis , confessions religieuses, syndicats, pressure groups, etc. Mais surto

52 es magnats de la presse, et les leaders de divers partis . Il fait paraître deux ouvrages sur La Pologne et l’équilibre europée

53 iste de Pologne, bien qu’il ne soit pas membre du parti  ; diverses démarches dans le cadre de l’Internationale socialiste ; e

54 de faire pénétrer « l’idée européenne » dans les partis démo-chrétiens et sociaux-démocrates de France, d’Allemagne et d’Ital

55 s lancées par des groupes extrémistes, et par les partis socialistes de France, d’Angleterre et de Belgique, qu’effrayait la s

56 i fonds ni meubles, ni régiments mobilisables, ni parti influent, ni grand mouvement social. Il fallait inventer les moyens d

57 doctrine marxiste unique imposée sans discussion, parti unique sans opposition, impérialisme sans mauvaise conscience, etc. L

58 és soit par l’unification doctrinale qu’impose le Parti à des peuples très divers, soit par le brassage continuel d’une popul

59 ue figure le marxisme-léninisme (ou, au moins, le Parti qui l’interprète). L’Europe seule se voit obligée de rechercher sans

60 ment aux modèles collectifs imposés par décret du Parti au pouvoir. Éduquer un enfant, au sens européen, ce n’est pas seuleme

61 position de l’Odyssée au xxe siècle, et Picasso, parti de Toulouse-Lautrec, tantôt remonte au dessin des vases grecs, tantôt

62 n qu’il suit ou qu’il a rejetée, ou ses prises de parti idéologiques et politiques, ou encore sa formation professionnelle, e

63 tion que préparent ses universités et deux de ses partis de gauche et de droite, le centre étant acquis depuis longtemps. Elle

64 ailleurs massivement meurtrière — quand c’est un parti qui s’en empare au nom du peuple, comme ce fut le cas des jacobins pu

65 d’une fédération qui les protège. C’est ce second parti qu’ont adopté en 1848 nos vingt-cinq petits États suisses et bien leu

66 politiques. Les candidats de l’opposition et deux partis , le PSU à gauche, les Indépendants à droite, demandent déjà des assem

67 a frustrées. 73. Déjà, le député aux communes du parti séparatiste écossais annonce que « d’ici trois ans » son pays aura so

68 ue la rivalité des sectes ou factions dénommées «  partis politiques », et n’a strictement rien à voir avec la définition corre

69 e à leur dénominateur commun : la bureaucratie du Parti régnant. Bismarck reste le maître « objectif » de Lénine. Après quoi,

70 D’ailleurs, la bonne ou mauvaise foi des gens de parti ne change rien à leur action concrète. Je ne renvoie pas dos à dos ce

71 contact, en prenant ses bains de foule. Mais les partis qui invoquent les masses ne rassemblent jamais que des minorités, com

72 iplinés et réalistes : vous voulez ce que veut le Parti , et qu’il appelle dictature du Prolétariat. C’est vouloir quelque cho

73 a pas varié sur ce point : la classe ou plutôt le parti que la révolution met en mesure de manipuler les mécanismes de produc

74 sous l’étiquette « culturelle » fait attaquer le Parti qui, sous sa direction, avait tenté d’appliquer Marx. Mais le contrai

75 problèmes ? » Oui, si la politique est le jeu des partis et des États-nations étiquetés de gauche et de droite, capitalistes,

76 x, plus ou moins passionnants, de la rivalité des partis à l’intérieur des États-nations, et du prestige moral et militaire qu

77 le ?) Enfin M. Sanguinetti, secrétaire général du parti gaulliste UDR, convaincu que les militants autonomistes en France son

78 glise et du cléricalisme seront le socialisme, le Parti et l’appareil bureaucratique. Et que les socialismes au pouvoir ne vo