1 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
1 mais significatif. En Italie, de 1920 à 1922, le parti socialiste était le plus important : 35 % des électeurs. Les fasciste
2 l’expédition. Il écrit en effet à la Centrale du Parti  : « L’expédition de Sarzana n’est qu’un épisode normal : il devait su
3 n vérité des solutions et des doctrines d’un seul parti , d’une seule tendance, et la plus animale de l’homme. Seule a le droi
2 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
4 ion d’annexer Nicolas de Flue à je ne sais quel «  parti de la Réforme » ! Elles ne visent qu’à faire mieux connaître une gran
5 e les catholiques l’exaltent. Tel est l’esprit de parti , même parmi les chrétiens ! Que de richesses les réformés n’ont-ils p
3 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
6 il n’est pas question, ici, de confondre l’un des partis avec la cause de la culture, l’autre étant le parti de l’anti-culture
7 tis avec la cause de la culture, l’autre étant le parti de l’anti-culture. Ce genre d’opposition est très tentant, je l’avoue
8 es autres, uniquement les autres, ceux d’un autre parti , ceux d’une autre nation… Nous faisons tous comme les petits enfants
9 , à la publicité des grandes firmes et des grands partis politiques. À ce moment se produit fatalement ce que j’appellerai un
10 ut faire quelque chose, qu’il entre dans un grand parti , dans une grande organisation. Mais alors, il subit une discipline qu
11 tre formulés dès maintenant comme un programme de parti politique. Ils doivent mûrir, et lentement se dégager de l’ensemble d
4 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
12 es membres de l’Église qu’ils ne sont liés à leur parti , ou à leur classe, ou à leurs intérêts professionnels. Je me demande
13 s rapports avec l’État comme s’il s’agissait d’un parti ou d’une fondation de bienfaisance avec des traditions de famille et
14 horter les fidèles à renoncer à leurs préjugés de partis , ou à leurs intérêts de classe ; ou pour montrer à notre peuple sa mi
5 1941, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Autocritique de la Suisse (février 1941)
15 il n’est pas absurde de nommer « fédéraliste » un parti qui n’a d’autre programme que la défense des intérêts locaux contre l
6 1950, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Europe unie et neutralité suisse (novembre-décembre 1950)
16 re abstention du conflit. Si la Suisse avait pris parti , à ce moment-là, elle se fût déchirée en deux : une partie tenant pou