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elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un
parti
de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
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inent à porter un titre désormais irrecevable. Ce
parti
peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
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onc renoncer à chercher dans les choses, dans les
partis
, dans l’État ou dans la nation un principe de grandeur qui n’est plus
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n’en jamais avoir, qui est sans doute le pire des
partis
pris. La littérature romanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et n
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lement abêtis par l’école, par la presse, par les
partis
et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon le
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ques, ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les
partis
, voilà qui rend un son que nous reconnaissons. Voilà qui appelle enfi
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les réalités immédiates ?38 Les clercs ont pris
parti
: les uns avec la foule, les autres avec Pilate. Les uns trahissant g
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qui sont bien méchants, savent à merveille tirer
parti
contre l’esprit de la liberté qu’il leur laisse. Ils le vénèrent offi
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ils sont en assez grand nombre pour constituer un
parti
, préparent les voies d’un fascisme culturel, de droite ou de gauche,
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vilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un
parti
, d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n’est pas invraisemblable : abdi
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nous possédons sur l’état d’esprit des membres du
Parti
communiste d’une part, sur la puissance de l’inquisition intellectuel
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ntellectuelle, morale et policière exercée par ce
Parti
d’autre part, nous permettent d’affirmer que, de gré ou de force, le
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appel permanent des fins dernières conçues par le
Parti
: l’établissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel.
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ervateur étranger que je suis, mais aux chefs des
partis
dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la passion avec laquelle ils parl
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la misère et le chômage, nous avons supprimé les
partis
et leurs luttes épuisantes et stériles. Le corps social était malade,
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norent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni
partis
, ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession,
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ignation. Crime contre la culture. Car c’était le
parti
communiste qui avait pris soin de cette œuvre d’art, après la fuite d
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é approuvé à l’unanimité par le Comité central du
Parti
communiste français, le 16 octobre 1936. C’est donc un manifeste, et
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11), sur « l’indépendance financière absolue » du
Parti
(p. 16) — curieusement appuyées par ce mot d’ordre qu’on lit p. 10 :
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hure se termine ainsi : « C’est à l’Esprit que le
Parti
communiste français… fait confiance pour l’aider à résoudre les probl
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rochure de Vaillant-Couturier fera plus de mal au
parti
stalinien que les livres de Gide et de Céline. P.-S. — On a corrigé
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x plus profonds que le jeu apparent et confus des
partis
ou des classes. Si Kierkegaard a été découvert, dans ce pays, très pe
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d’ennemis à gauche parce que la gauche, c’est le
parti
de la Raison et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce mari-là
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ts de lumière » ! 21 avril Voici les affiches des
partis
, pour la campagne d’élections municipales. Quelle bouillabaisse de te
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roite n’ose pas dire son nom dans ce canton.) Les
partis
de gauche ont fait liste commune : cela s’appelle le front antifascis
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le caractérisé par certaines formes, par certains
partis
pris, et par un certain ordre d’objets qu’elle se choisit, est aussi
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e point asservis aux disciplines extérieures d’un
parti
, ne considèrent pas l’acte d’écrire comme un divertissement sans cons
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ions de l’homme, de l’État, et des religions, des
partis
pris spirituels bien plus puissants que les armées. 75. Par exemple
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es enfants, puis les élever jusqu’au moment où le
Parti
s’en chargera (c’est-à-dire pendant 6 ou 7 ans). De là, on passe à de
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oite qui abandonne Boileau pour Rimbaud, c’est un
parti
nouveau. Pourquoi faut-il qu’elle conclue une enquête sur le capitali
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rès vive des auteurs de ce Manifeste à l’égard du
Parti
national Breton et de ses doctrines corporatistes et paternalistes. A
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evables isolément. Et tous les trois supposent un
parti
pris96, une attitude fondamentale de créateur. Ainsi, dans la plus hu
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⁂ Une dernière fois pourtant nous reprendrons un
parti
de sobriété. Les mariés ne sont pas des saints, et le péché n’est pas
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tion au sens devenu courant, de « préjugé », de «
parti
imité ». 97. Voir le remarquable essai de R. de Pury : « Éros et Aga
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e les personnalistes pour critiquer le régime des
partis
. Ils ont mené cette critique dès leurs débuts, dès les années 1930 à
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: 1. C’est le désir de « sortir du plan des vieux
partis
» qui rassemble ordinairement les premiers éléments d’un groupe local
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C’est l’impuissance à « sortir du plan des vieux
partis
» qui paralyse l’action de ce groupe, après quelques séances d’études
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isamment à ce qu’on affirme, à savoir la mort des
partis
. 4. On garde le secret désir — avoué parfois dans le feu de la discus
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, lors d’un congrès — de constituer enfin un vrai
parti
, un parti vrai, dont la doctrine soit plus complète et sympathique qu
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n congrès — de constituer enfin un vrai parti, un
parti
vrai, dont la doctrine soit plus complète et sympathique que celle de
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que celle des « formations traditionnelles », un
parti
où l’on puisse « militer » avec une bonne conscience intellectuelle i
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e nos doctrines. 6. On croit si peu à la mort des
partis
qu’on n’imagine pas d’autre action possible qu’au moyen des partis ex
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agine pas d’autre action possible qu’au moyen des
partis
existants, et l’on propose la colonisation du socialisme ou de la CGT
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ocialisme ou de la CGT — qui pratiquement vaut un
parti
— par les groupes ou par des « isolés ». 7. Ainsi l’écart entre actio
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eraient pas à l’échelle démesurée de l’action des
partis
politiques. 9. L’action des groupes personnalistes, en tant que tels,
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aurait être que réduite au regard de l’action des
partis
: elle veut être une action à hauteur d’homme, et non pas au niveau d
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nt de son efficace sont victimes de l’optique des
partis
. 11. Ceux qui demandent des directives au centre sont victimes de l’o
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rectives au centre sont victimes de l’optique des
partis
. 12. Et de même, ceux qui attendent pour agir que nous soyons « suffi
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sonnellement à ce qu’on affirme. 15. L’attrait du
parti
n’est qu’en apparence l’attrait de la plus grande puissance ; en réal
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e, qui est sa responsabilité personnelle. 16. Les
partis
sont mauvais non point parce qu’ils sont trop puissants dans l’État,
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réatrice. 17. Ce que l’on nomme la puissance d’un
parti
, c’est la somme des abdications de tous ses membres. 18. Lorsqu’un pa
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es abdications de tous ses membres. 18. Lorsqu’un
parti
— comme ils le désirent tous plus ou moins courageusement — s’empare
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ation des lâchetés de tous les citoyens. 19. Tout
parti
est totalitaire dans son essence, et préfigure l’État totalitaire, br
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térilisant. 20. D’où l’incapacité essentielle des
partis
à collaborer dans l’État : au lieu de se complémenter, ils s’excluent
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n prétendant « tout » régler selon son idéologie.
Partis
qui veulent se faire aussi grands que le tout. 21. L’injustice, c’est
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nt-mille mains qui se lèvent. 28. La critique des
partis
n’est stérile que dans la mesure où elle n’est pas radicale. ar. «
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et vous serez bientôt en plein délire : tous les
partis
nommeront des commissions pour savoir si l’usage du savon favorise so
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tous, et qui ne relevaient point de la lutte des
partis
. C’est pourquoi les partis ne s’en sont point occupés, et n’ont point
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point de la lutte des partis. C’est pourquoi les
partis
ne s’en sont point occupés, et n’ont point jugé nécessaire de proclam
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bouillantes interruptions de la jeune garde. Les
partis
, dans les commissions du Congrès et du Sénat, se sont bornés à des éc
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u importe : le travail était fait. En France, les
partis
s’arrangent en général pour rendre tous les problèmes aussi insoluble
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onduit à des crises mortelles. Alors les chefs de
partis
baissent le nez, font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvo
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s Européens soient unanimes à tenir activement le
parti
de cette Europe, de ses complexités vitales, de sa culture. Une analy