1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
1 elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un parti de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
2 inent à porter un titre désormais irrecevable. Ce parti peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
2 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
3 onc renoncer à chercher dans les choses, dans les partis , dans l’État ou dans la nation un principe de grandeur qui n’est plus
4 n’en jamais avoir, qui est sans doute le pire des partis pris. La littérature romanesque décrit depuis cent ans nos mœurs et n
3 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
5 lement abêtis par l’école, par la presse, par les partis et par le cinéma. Mais croyez-vous vraiment que mon bagnolard, mon le
4 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
6 ques, ce rappel d’une misère qu’ignorent tous les partis , voilà qui rend un son que nous reconnaissons. Voilà qui appelle enfi
5 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
7 les réalités immédiates ?38 Les clercs ont pris parti  : les uns avec la foule, les autres avec Pilate. Les uns trahissant g
8 qui sont bien méchants, savent à merveille tirer parti contre l’esprit de la liberté qu’il leur laisse. Ils le vénèrent offi
9 ils sont en assez grand nombre pour constituer un parti , préparent les voies d’un fascisme culturel, de droite ou de gauche,
10 vilèges pêle-mêle, entre les mains du bureau d’un parti , d’un dictateur ou d’un soviet. Cela n’est pas invraisemblable : abdi
6 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
11 nous possédons sur l’état d’esprit des membres du Parti communiste d’une part, sur la puissance de l’inquisition intellectuel
12 ntellectuelle, morale et policière exercée par ce Parti d’autre part, nous permettent d’affirmer que, de gré ou de force, le
13 appel permanent des fins dernières conçues par le Parti  : l’établissement dans cent ans ou mille ans d’un paradis universel.
14 ervateur étranger que je suis, mais aux chefs des partis dictatoriaux eux-mêmes. De là toute la passion avec laquelle ils parl
15 la misère et le chômage, nous avons supprimé les partis et leurs luttes épuisantes et stériles. Le corps social était malade,
16 norent de n’avoir plus ni presse d’opposition, ni partis , ni civils indifférents et inutilisables, ni chômeurs de profession,
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Défense de la culture (janvier 1937)
17 ignation. Crime contre la culture. Car c’était le parti communiste qui avait pris soin de cette œuvre d’art, après la fuite d
8 1937, Esprit, articles (1932–1962). Paul Vaillant-Couturier, Au service de l’Esprit (février 1937)
18 é approuvé à l’unanimité par le Comité central du Parti communiste français, le 16 octobre 1936. C’est donc un manifeste, et
19 11), sur « l’indépendance financière absolue » du Parti (p. 16) — curieusement appuyées par ce mot d’ordre qu’on lit p. 10 :
20 hure se termine ainsi : « C’est à l’Esprit que le Parti communiste français… fait confiance pour l’aider à résoudre les probl
21 rochure de Vaillant-Couturier fera plus de mal au parti stalinien que les livres de Gide et de Céline.   P.-S. — On a corrigé
9 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
22 x plus profonds que le jeu apparent et confus des partis ou des classes. Si Kierkegaard a été découvert, dans ce pays, très pe
10 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
23 d’ennemis à gauche parce que la gauche, c’est le parti de la Raison et du Progrès, qui naît de la Science. C’est ce mari-là
24 ts de lumière » ! 21 avril Voici les affiches des partis , pour la campagne d’élections municipales. Quelle bouillabaisse de te
25 roite n’ose pas dire son nom dans ce canton.) Les partis de gauche ont fait liste commune : cela s’appelle le front antifascis
11 1937, Esprit, articles (1932–1962). Brève introduction à quelques témoignages littéraires (septembre 1937)
26 le caractérisé par certaines formes, par certains partis pris, et par un certain ordre d’objets qu’elle se choisit, est aussi
27 e point asservis aux disciplines extérieures d’un parti , ne considèrent pas l’acte d’écrire comme un divertissement sans cons
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
28 ions de l’homme, de l’État, et des religions, des partis pris spirituels bien plus puissants que les armées. 75. Par exemple 
13 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
29 es enfants, puis les élever jusqu’au moment où le Parti s’en chargera (c’est-à-dire pendant 6 ou 7 ans). De là, on passe à de
14 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
30 oite qui abandonne Boileau pour Rimbaud, c’est un parti nouveau. Pourquoi faut-il qu’elle conclue une enquête sur le capitali
31 rès vive des auteurs de ce Manifeste à l’égard du Parti national Breton et de ses doctrines corporatistes et paternalistes. A
15 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
32 evables isolément. Et tous les trois supposent un parti pris96, une attitude fondamentale de créateur. Ainsi, dans la plus hu
33 ⁂ Une dernière fois pourtant nous reprendrons un parti de sobriété. Les mariés ne sont pas des saints, et le péché n’est pas
34 tion au sens devenu courant, de « préjugé », de «  parti imité ». 97. Voir le remarquable essai de R. de Pury : « Éros et Aga
16 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
35 e les personnalistes pour critiquer le régime des partis . Ils ont mené cette critique dès leurs débuts, dès les années 1930 à
36 : 1. C’est le désir de « sortir du plan des vieux partis  » qui rassemble ordinairement les premiers éléments d’un groupe local
37 C’est l’impuissance à « sortir du plan des vieux partis  » qui paralyse l’action de ce groupe, après quelques séances d’études
38 isamment à ce qu’on affirme, à savoir la mort des partis . 4. On garde le secret désir — avoué parfois dans le feu de la discus
39 , lors d’un congrès — de constituer enfin un vrai parti , un parti vrai, dont la doctrine soit plus complète et sympathique qu
40 n congrès — de constituer enfin un vrai parti, un parti vrai, dont la doctrine soit plus complète et sympathique que celle de
41 que celle des « formations traditionnelles », un parti où l’on puisse « militer » avec une bonne conscience intellectuelle i
42 e nos doctrines. 6. On croit si peu à la mort des partis qu’on n’imagine pas d’autre action possible qu’au moyen des partis ex
43 agine pas d’autre action possible qu’au moyen des partis existants, et l’on propose la colonisation du socialisme ou de la CGT
44 ocialisme ou de la CGT — qui pratiquement vaut un parti — par les groupes ou par des « isolés ». 7. Ainsi l’écart entre actio
45 eraient pas à l’échelle démesurée de l’action des partis politiques. 9. L’action des groupes personnalistes, en tant que tels,
46 aurait être que réduite au regard de l’action des partis  : elle veut être une action à hauteur d’homme, et non pas au niveau d
47 nt de son efficace sont victimes de l’optique des partis . 11. Ceux qui demandent des directives au centre sont victimes de l’o
48 rectives au centre sont victimes de l’optique des partis . 12. Et de même, ceux qui attendent pour agir que nous soyons « suffi
49 sonnellement à ce qu’on affirme. 15. L’attrait du parti n’est qu’en apparence l’attrait de la plus grande puissance ; en réal
50 e, qui est sa responsabilité personnelle. 16. Les partis sont mauvais non point parce qu’ils sont trop puissants dans l’État,
51 réatrice. 17. Ce que l’on nomme la puissance d’un parti , c’est la somme des abdications de tous ses membres. 18. Lorsqu’un pa
52 es abdications de tous ses membres. 18. Lorsqu’un parti — comme ils le désirent tous plus ou moins courageusement — s’empare
53 ation des lâchetés de tous les citoyens. 19. Tout parti est totalitaire dans son essence, et préfigure l’État totalitaire, br
54 térilisant. 20. D’où l’incapacité essentielle des partis à collaborer dans l’État : au lieu de se complémenter, ils s’excluent
55 n prétendant « tout » régler selon son idéologie. Partis qui veulent se faire aussi grands que le tout. 21. L’injustice, c’est
56 nt-mille mains qui se lèvent. 28. La critique des partis n’est stérile que dans la mesure où elle n’est pas radicale. ar. « 
17 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
57 et vous serez bientôt en plein délire : tous les partis nommeront des commissions pour savoir si l’usage du savon favorise so
58 tous, et qui ne relevaient point de la lutte des partis . C’est pourquoi les partis ne s’en sont point occupés, et n’ont point
59 point de la lutte des partis. C’est pourquoi les partis ne s’en sont point occupés, et n’ont point jugé nécessaire de proclam
60 bouillantes interruptions de la jeune garde. Les partis , dans les commissions du Congrès et du Sénat, se sont bornés à des éc
61 u importe : le travail était fait. En France, les partis s’arrangent en général pour rendre tous les problèmes aussi insoluble
62 onduit à des crises mortelles. Alors les chefs de partis baissent le nez, font appel à l’union sacrée, et délèguent tout pouvo
18 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
63 s Européens soient unanimes à tenir activement le parti de cette Europe, de ses complexités vitales, de sa culture. Une analy