1 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). La guerre est morte (5 septembre 1945)
1 s effectifs considérables. Il faut en prendre son parti  : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’arithmétiq
2 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le savant et le général (8 novembre 1945)
2 uerres considérées comme jeux réglés. Si l’un des partis en présence disait à l’autre : — Messieurs les Anglais, tirez les pre
3 1946, Le Figaro, articles (1939–1953). Les nouveaux aspects du problème allemand (30 mai 1946)
3 1946, ne réside plus dans un état-major, dans un parti , dans une doctrine de conquête, ou dans une religion du sang. Le dang
4 1947, Le Figaro, articles (1939–1953). Le droit d’opposition (3 avril 1947)
4 ou même la dictature, en l’occurrence celle d’un parti qui se fût nommé démocratique pour éviter toute confusion. C’était ce
5 différente. De même, l’opposition aux théories du parti au pouvoir, chez les totalitaires, se voit qualifiée non point d’opin
5 1953, Le Figaro, articles (1939–1953). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (25 juin 1953)
6 ique, non par la presse d’un seul pays, d’un seul parti , non par erreur ou exagération, ni par rien que l’on puisse « expliqu
7 ire devant ces morts, en bleus de travail, que le parti communiste a forcément raison, puisqu’il est le parti des travailleur
8 i communiste a forcément raison, puisqu’il est le parti des travailleurs ! On savait qu’il était le parti qui avait supprimé
9 parti des travailleurs ! On savait qu’il était le parti qui avait supprimé le droit de grève, sous l’impudent prétexte qu’en
10 on de s’en servir… On savait aussi qu’il était le parti du travail forcé, celui qui venait de « réaliser », par les mains de
11 is les journées de Berlin l’ont démasqué comme le parti de la répression sanglante et de la déportation massive des travaille