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e qui l’a opposé, seul ou à peu près, au puissant
parti
des Chrétiens allemands, fraction de l’hitlérisme qui prétend faire m
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« Enterrez-le ! Enterrez Kagawa ! », proclame le
parti
communiste de Kobé en 1925. Et quelques années plus tard, une ligue r
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ien protestant, Camille Jullian — avait adopté un
parti
tout différent, et c’est peut-être le seul reproche sérieux que je me
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persécution des protestants ne fut pas l’œuvre du
parti
catholique français, mais bien des conseillers étrangers des rois et
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deux bonnes raisons. D’abord Calvin était chef de
parti
; qui plus est, fondateur d’Église ; donc doublement conscient de la
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de marcher !) Le vrai « miracle », ici, c’est le
parti
romanesque que Selma Lagerlöf a su tirer du mythe. Et c’est aussi la
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n que tous les pays neufs imitent nos parlements,
partis
et syndicats, et même parfois nos dictatures. Et nous savons que ce m