1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Signes parmi nous, par C. F. Ramuz (janvier 1932)
1 iète ; non pas de ces questions ni de la prise de parti (antimarxiste) qu’elles déterminent chez Ramuz, mais bien au contrair
2 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
2 ui qui méritera la phrase de la Saison : « Pas de partis de salut violents. » Dès les premiers instants de son accession au mo
3 littéraires. « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce-toi ». Objurgation que l’on croirait tirée
3 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
4 crisie, refus. Qu’on trouve donc ici une prise de parti .   Nous sommes une génération comblée. Comblée de chances de grandeur
5 ent du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932 le parti compte deux millions de membres sévèrement contrôlés. « Mais, nous di
6 de créer une unité révolutionnaire au-dessus des partis existants. En Angleterre (New Europe Group de A. R. Orage ; New Engli
4 1934, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Procès, par Franz Kafka (mai 1934)
7 absolue de toute appréciation, de toute prise de parti , — de tout acte. C’est ce qu’on pourrait appeler la vision métaphysiq
5 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). De la propriété capitaliste à la propriété humaine et Manifeste au service du personnalisme, par Emmanuel Mounier (février 1937)
8 galvaudé depuis deux ans par toutes les ligues et partis , de La Rocque à Vaillant-Couturier ! (Je ne sais pourquoi, d’ailleurs
9 quatre ans plus tard, le porte-parole officiel du parti communiste français publie une sorte de discours-programme intitulé A
10 l’homme ». Et enfin que « c’est à l’Esprit que le parti communiste français fait confiance pour l’aider à résoudre les problè
6 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
11 sensible. Et je n’ai nulle envie d’en prendre mon parti . Dans ce qu’ils ont pu entrevoir de mon activité, une seule chose les
12 éresse plus guère à leurs affaires. J’ai pris mon parti de cet équilibre indifférent et cordial qui a fini par s’établir entr
7 1938, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Monastère noir, par Aladár Kuncz (janvier 1938)
13 es, casernes, discipline et épuration au sein des partis , arrestations en masse de suspects, procès de tendance faits à ceux m
8 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
14 pas un homme tout à fait plat, réduit à quelques partis pris éthiques ? Ce débat nous éloignerait de la réalité de Gide. Une
15 e lois fatales et collectives interprétées par un Parti . C’est pourquoi le problème religieux, tel qu’il se pose au monde chr
16 ance, — parce qu’un de plus vient renforcer notre parti , et qu’il n’est pas le premier venu. C’est usurper la place du Juge,
17 t justement le totalitarisme, qui est l’esprit de parti logiquement développé. Et d’abord dans la religion. Le vrai croyant d
9 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
18 te façon je n’y puis rien. Que le dictateur ou le Parti décrètent le vrai sens de ma vie, de toute façon je ne pourrais plus