1 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La Légion étrangère soviétique (juin 1933)
1 Non pas du point de vue de la politique, car les partis de gauche ne prennent guère au sérieux leur intelligentsia, mais du p
2 nnel, nos révoltés préfèrent l’engagement dans un parti . C’est bien plus sûr et c’est moins fatigant. « Il existe une doctrin
3 camarades qui s’excitent sur les mots d’ordre du parti , et avec pitié les idéalistes qui parlent encore de l’esprit et de la
2 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
4 vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition. Parti [r] des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
3 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
5 emiers à dénoncer la décadence bureaucratique des partis marxistes, et à déclarer que selon lui les « petits groupes » — qu’il
4 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
6 ais il y a plus. Montagnon se plaint de ce que le parti socialiste « meurt d’ignorance », et il s’écrie : « Avez-vous étudié
5 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Un exemple de tactique révolutionnaire chez Lénine (janvier 1935)
7 tes au congrès de Bruxelles en 1903 (fondation du parti bolchévique, c’est-à-dire majoritaire) ; puis à se séparer de Plekhan
6 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
8 avoir d’autre que ce que l’État, la classe, ou le parti dont ils dépendent les paie pour enseigner ou leur impose de savoir (
9 onne. Car la personne est choix, et donc prise de parti  : or c’est là ce que raille l’équipe des dilettantes ; mais elle est
7 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’édit de Nantes et sa révocation (mars-avril 1935)
10 faire catholique et, mal assuré dans son nouveau parti , il voyait ses anciens amis l’abandonner. L’homme qui venait d’« apai
11  ordre » imposé brutalement de l’extérieur à deux partis , sans tenir compte des exigences spirituelles fondamentales de chacun
12 l oblige les églises réformées à se constituer en parti politique. D’autre part, limitant l’exercice du culte (qui ne peut êt
13 tion « étatiste », plus ou moins contrôlée par le parti ultramontain, et dont l’absolutisme de Louis XIV sera l’expression ac
8 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
14 politique en France (octobre 1935)o 1. — Les partis bougent Nous n’avons guère parlé de la politique des partis, dans
15 t Nous n’avons guère parlé de la politique des partis , dans cette revue : c’est le sujet le plus vain, le plus stérile et l
16 ent les derniers soubresauts d’avant la mort, les partis se mettent à bouger. Ils se divisent, se déforment et se regroupent.
17 ançaise et du comte de Paris, la décomposition du parti radical, les dissidences communistes, l’apparition de formations extr
18 au sérieux par le pays. On l’a dit et redit : le parti radical, c’est la France. Il faut dire aujourd’hui : c’était la Franc
19 pôles de la nouvelle vie politique. La carte des partis parlementaires tend à recouvrir de plus en plus exactement la carte d
20 pas les leviers de l’action : c’est l’affaire du Parti communiste. Or, ce parti veut bien la liberté, mais d’une manière tan
21 ion : c’est l’affaire du Parti communiste. Or, ce parti veut bien la liberté, mais d’une manière tant soit peu différente. Il
9 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Conversation avec un SA (décembre 1935)
22 C’est actuellement l’activité la plus visible du Parti N.-S. dans la rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis
10 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Échos (janvier 1936)
23 u ». M. Léon Pierre-Quint en prend volontiers son parti . M. Brasillach, lui, le déplore. De son temps, les jeunes parlaient d
11 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Précisions utiles sur l’industrie des navets (mars 1936)
24 tiplier des centres de propagande au service d’un parti ou d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de défense depuis u
12 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plébiscite et démocratie (avril 1936)
25 l, soit comme une manifestation de puissance d’un parti , au moins superflue. Les « élections » au Reichstag du 29 mars ne con
26 currence libre de groupes ou d’opinions : un seul parti présentait des candidats, et le seul ministre de l’Intérieur était en
27 « lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du parti au pouvoir contre l’opposition secrète, informulée, des ennemis du ré
28 aner sur ce point, encore que certains membres du parti N.-S. reconnaissent qu’on a été « un peu fort » dans l’application de
29 e contre les procédés de pression utilisés par le parti N.-S. vient d’un malentendu sur le mot élections, lié chez nous au ré
30 oulez-vous vous faire une opinion quand il y a 46 partis qui sollicitent vos suffrages ? C’est difficile de faire comprendre c
31 re comprendre complètement le programme d’un seul parti aux électeurs. Mais c’est au-dessus des forces d’un simple mortel de
32 l’opinion a été formée et disciplinée par un seul parti dirigé par un seul homme. » (Je simplifie à peine le raisonnement : o
13 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
33 ères. a) Elle consiste d’abord dans la lutte des partis . Pour un très grand nombre de citoyens, le but à atteindre n’est pas
34 trices. Le but est d’abord de faire triompher tel parti dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. On
35 iompher tel parti dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. On encore : le but est simplement de mil
36 but est simplement de militer bruyamment dans le parti , moins par amour passionné pour son idéal que par haine des autres pa
37 passionné pour son idéal que par haine des autres partis , et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entret
38 res partis, et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur
39 ssimile volontiers [la] France, « la vraie », aux partis de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti a
40 gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va b
41 me, dans l’intervalle des crises économiques, les partis deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
42 Et quand tout va mal, quand la crise est là, les partis se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rap
43 larations des congrès —, la moderne féodalité des partis n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supéri
44 et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs. Partis  ! Bastilles à démolir ! Je dis ensuite qu’un honnête homme, et de plu
45 politique se confond avec le jeu et la lutte des partis , il doit se déclarer de toutes ses forces antipolitique. b) On appel
46 itique » la rumeur confuse des idéologies que les partis prétendent servir. Trahison républicaine conservatrice, « doctrine »
47 , également impurs et maléfiques, des rapports de partis à partis, ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas cel
48 nt impurs et maléfiques, des rapports de partis à partis , ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas celui des in
49 s du parlementarisme. Et encore moins de chefs de partis aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et proviso
50 aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les partis et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-dire qu’ils donneront e
51 trices de ce pays. 41. Prétendre entrer dans un parti — le moins mauvais ! — pour essayer de le réformer ou de l’influencer
52 s canons inoffensifs : c’est l’instrument même du parti qui est meurtrier. 42. Le gouvernement soviétique lutte contre le di
14 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du socialisme au fascisme (novembre 1936)
53 t du syndicalisme, et qu’il fut l’un des chefs du parti socialiste. On sait aussi quelles influences déterminantes exercèrent
54 vérité, les deux termes dont se compose le nom du parti hitlérien n’ont rien d’antinomique. Ils sont exactement complémentair
55 en montré M. André Siegfried dans son Tableau des partis en France. 54. Qui pourra nous expliquer en quoi la « nationalisatio
15 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Les jacobins en chemise brune (décembre 1936)
56 nal-socialisme, il n’est pas rare qu’un membre du parti d’Hitler réponde : « Vous êtes bien mal venu à critiquer ce qui se fa
57 ctionnaires, qui font passer les intérêts de leur parti ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ».
58 mmun, des haines communes, et pour cela fonder un parti unitaire qui s’appuiera sur une mystique renouvelée du pangermanisme.
16 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
59 ont compris. Aussi mettent-ils fin aux luttes des partis et des classes, par le moyen (aujourd’hui « classique ») de la dictat
17 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
60 s ; en février 500 Français et 1000 étrangers. Le parti communiste a fermé ses bureaux, à la suite de troubles intérieurs dan
61 forme d’État totalitaire, notons que la prise de parti des fascistes pour Franco, et des communistes pour Caballero, a total
18 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
62 ge politique d’aujourd’hui est un hommage que les partis rendent à la liberté. Il semble, dès maintenant, que, dans les cervea
19 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
63 nore ou répudie la loi interne : la tactique d’un parti par exemple. Ce n’est pas dans l’utilisation accidentelle et partisan
64 nte. Un libéral qui se soumet aux directives d’un parti ne devient pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas q
65 es philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique ! 79. Je fais exception pour deux ou trois d