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Non pas du point de vue de la politique, car les
partis
de gauche ne prennent guère au sérieux leur intelligentsia, mais du p
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nnel, nos révoltés préfèrent l’engagement dans un
parti
. C’est bien plus sûr et c’est moins fatigant. « Il existe une doctrin
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camarades qui s’excitent sur les mots d’ordre du
parti
, et avec pitié les idéalistes qui parlent encore de l’esprit et de la
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vidu n’a jamais existé qu’à l’état de définition.
Parti
[r] des conflits quotidiens, des conflits d’intérêts et d’idéaux, des
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emiers à dénoncer la décadence bureaucratique des
partis
marxistes, et à déclarer que selon lui les « petits groupes » — qu’il
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ais il y a plus. Montagnon se plaint de ce que le
parti
socialiste « meurt d’ignorance », et il s’écrie : « Avez-vous étudié
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tes au congrès de Bruxelles en 1903 (fondation du
parti
bolchévique, c’est-à-dire majoritaire) ; puis à se séparer de Plekhan
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avoir d’autre que ce que l’État, la classe, ou le
parti
dont ils dépendent les paie pour enseigner ou leur impose de savoir (
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onne. Car la personne est choix, et donc prise de
parti
: or c’est là ce que raille l’équipe des dilettantes ; mais elle est
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faire catholique et, mal assuré dans son nouveau
parti
, il voyait ses anciens amis l’abandonner. L’homme qui venait d’« apai
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ordre » imposé brutalement de l’extérieur à deux
partis
, sans tenir compte des exigences spirituelles fondamentales de chacun
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l oblige les églises réformées à se constituer en
parti
politique. D’autre part, limitant l’exercice du culte (qui ne peut êt
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tion « étatiste », plus ou moins contrôlée par le
parti
ultramontain, et dont l’absolutisme de Louis XIV sera l’expression ac
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politique en France (octobre 1935)o 1. — Les
partis
bougent Nous n’avons guère parlé de la politique des partis, dans
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t Nous n’avons guère parlé de la politique des
partis
, dans cette revue : c’est le sujet le plus vain, le plus stérile et l
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ent les derniers soubresauts d’avant la mort, les
partis
se mettent à bouger. Ils se divisent, se déforment et se regroupent.
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ançaise et du comte de Paris, la décomposition du
parti
radical, les dissidences communistes, l’apparition de formations extr
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au sérieux par le pays. On l’a dit et redit : le
parti
radical, c’est la France. Il faut dire aujourd’hui : c’était la Franc
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pôles de la nouvelle vie politique. La carte des
partis
parlementaires tend à recouvrir de plus en plus exactement la carte d
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pas les leviers de l’action : c’est l’affaire du
Parti
communiste. Or, ce parti veut bien la liberté, mais d’une manière tan
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ion : c’est l’affaire du Parti communiste. Or, ce
parti
veut bien la liberté, mais d’une manière tant soit peu différente. Il
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C’est actuellement l’activité la plus visible du
Parti
N.-S. dans la rue. 33. ? (Réd.) 34. Je vois le sourire de mes amis
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u ». M. Léon Pierre-Quint en prend volontiers son
parti
. M. Brasillach, lui, le déplore. De son temps, les jeunes parlaient d
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tiplier des centres de propagande au service d’un
parti
ou d’une ligue. (Nous voyons s’amorcer ce réflexe de défense depuis u
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l, soit comme une manifestation de puissance d’un
parti
, au moins superflue. Les « élections » au Reichstag du 29 mars ne con
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currence libre de groupes ou d’opinions : un seul
parti
présentait des candidats, et le seul ministre de l’Intérieur était en
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« lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du
parti
au pouvoir contre l’opposition secrète, informulée, des ennemis du ré
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aner sur ce point, encore que certains membres du
parti
N.-S. reconnaissent qu’on a été « un peu fort » dans l’application de
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e contre les procédés de pression utilisés par le
parti
N.-S. vient d’un malentendu sur le mot élections, lié chez nous au ré
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oulez-vous vous faire une opinion quand il y a 46
partis
qui sollicitent vos suffrages ? C’est difficile de faire comprendre c
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re comprendre complètement le programme d’un seul
parti
aux électeurs. Mais c’est au-dessus des forces d’un simple mortel de
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l’opinion a été formée et disciplinée par un seul
parti
dirigé par un seul homme. » (Je simplifie à peine le raisonnement : o
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ères. a) Elle consiste d’abord dans la lutte des
partis
. Pour un très grand nombre de citoyens, le but à atteindre n’est pas
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trices. Le but est d’abord de faire triompher tel
parti
dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. On
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iompher tel parti dont on est membre. On tient le
parti
pour plus grand que le tout. On encore : le but est simplement de mil
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but est simplement de militer bruyamment dans le
parti
, moins par amour passionné pour son idéal que par haine des autres pa
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passionné pour son idéal que par haine des autres
partis
, et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entret
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res partis, et souvent moins par haine des autres
partis
que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur
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ssimile volontiers [la] France, « la vraie », aux
partis
de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti a
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gauche, on fait volontiers passer la fidélité au
parti
avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va b
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me, dans l’intervalle des crises économiques, les
partis
deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
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Et quand tout va mal, quand la crise est là, les
partis
se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rap
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larations des congrès —, la moderne féodalité des
partis
n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supéri
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et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs.
Partis
! Bastilles à démolir ! Je dis ensuite qu’un honnête homme, et de plu
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politique se confond avec le jeu et la lutte des
partis
, il doit se déclarer de toutes ses forces antipolitique. b) On appel
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itique » la rumeur confuse des idéologies que les
partis
prétendent servir. Trahison républicaine conservatrice, « doctrine »
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, également impurs et maléfiques, des rapports de
partis
à partis, ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas cel
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nt impurs et maléfiques, des rapports de partis à
partis
, ou d’idéologies à idéologies, sur un plan qui n’est pas celui des in
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s du parlementarisme. Et encore moins de chefs de
partis
aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et proviso
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aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les
partis
et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-dire qu’ils donneront e
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trices de ce pays. 41. Prétendre entrer dans un
parti
— le moins mauvais ! — pour essayer de le réformer ou de l’influencer
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s canons inoffensifs : c’est l’instrument même du
parti
qui est meurtrier. 42. Le gouvernement soviétique lutte contre le di
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t du syndicalisme, et qu’il fut l’un des chefs du
parti
socialiste. On sait aussi quelles influences déterminantes exercèrent
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vérité, les deux termes dont se compose le nom du
parti
hitlérien n’ont rien d’antinomique. Ils sont exactement complémentair
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en montré M. André Siegfried dans son Tableau des
partis
en France. 54. Qui pourra nous expliquer en quoi la « nationalisatio
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nal-socialisme, il n’est pas rare qu’un membre du
parti
d’Hitler réponde : « Vous êtes bien mal venu à critiquer ce qui se fa
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ctionnaires, qui font passer les intérêts de leur
parti
ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ».
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mmun, des haines communes, et pour cela fonder un
parti
unitaire qui s’appuiera sur une mystique renouvelée du pangermanisme.
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ont compris. Aussi mettent-ils fin aux luttes des
partis
et des classes, par le moyen (aujourd’hui « classique ») de la dictat
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s ; en février 500 Français et 1000 étrangers. Le
parti
communiste a fermé ses bureaux, à la suite de troubles intérieurs dan
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forme d’État totalitaire, notons que la prise de
parti
des fascistes pour Franco, et des communistes pour Caballero, a total
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ge politique d’aujourd’hui est un hommage que les
partis
rendent à la liberté. Il semble, dès maintenant, que, dans les cervea
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nore ou répudie la loi interne : la tactique d’un
parti
par exemple. Ce n’est pas dans l’utilisation accidentelle et partisan
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nte. Un libéral qui se soumet aux directives d’un
parti
ne devient pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas q
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es philosophes libéraux — fût partiale, pleine de
partis
pris, et même politique ! 79. Je fais exception pour deux ou trois d