1 1951, Preuves, articles (1951–1968). Mesurons nos forces (avril 1951)
1 glise, n’est pas une doctrine du salut, comme les partis totalitaires voudraient le devenir à bon marché. L’Occident est une s
2 1951, Preuves, articles (1951–1968). Neutralité et neutralisme (mai 1951)
2 s et artistiques sont ceux qu’impose l’intérêt du Parti , intérêt confondu une fois pour toutes avec les intérêts d’une grande
3 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
3 ative. Quant au citoyen d’un pays totalitaire, le parti sait pour lui quel est son bien, et lui prouve au besoin qu’il le sai
4 n celle des autres, et non celle que l’État ou le Parti a décidé de m’imposer toute faite. Si je perdais cette liberté fondam
4 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le dialogue Europe-Amérique (août-septembre 1952)
5 ts lutte en retraite, médiocrement soutenu par le parti . Ses vedettes se taisent ou rompent avec lui, ses hebdomadaires péric
5 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
6 nce aux désirs de sa mère. Il ne peut prendre son parti de la commune condition humaine. Une incurable mélancolie le possède
7 as accepté l’invraisemblable, il ne serait jamais parti pour un pays dont il ne savait rien. Mais accepter l’invraisemblable,
6 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
8 groupes d’intérêts privés, et finalement certains partis . Admettons que le projet soit retenu. La délégation nationale votera
9 ’ajouter aux problèmes harassants de la lutte des partis , de l’économie, de la défense, et de la politique générale, — il est
7 1953, Preuves, articles (1951–1968). « Nous ne sommes pas des esclaves ! » (juillet 1953)
10 ique, non par la presse d’un seul pays, d’un seul parti , non par erreur ou exagération, ni par rien que l’on puisse « expliqu
11 edire devant ces morts en bleus de travail que le parti communiste a forcément raison, puisqu’il est le parti des travailleur
12 i communiste a forcément raison, puisqu’il est le parti des travailleurs ! On savait qu’il était le parti qui avait supprimé
13 parti des travailleurs ! On savait qu’il était le parti qui avait supprimé le droit de grève, sous l’impudent prétexte qu’en
14 on de s’en servir… On savait aussi qu’il était le parti du travail forcé, celui qui venait de « réaliser », par les mains de
15 is les journées de Berlin l’ont démasqué comme le parti de la répression sanglante et de la déportation massive des travaille
8 1953, Preuves, articles (1951–1968). Les raisons d’être du Congrès (septembre 1953)
16 inera la science ? Sera-ce l’État, l’idéologie du parti politique au pouvoir ? Sera-ce une sorte de sagesse nouvelle, encore
9 1954, Preuves, articles (1951–1968). De Gasperi l’Européen (octobre 1954)
17 e politique, en déposant sa charge de leader d’un parti qu’il avait su conduire à la victoire, et à la tête duquel il avait g
18 ique laïque et démocrate, et bien sûr un homme de parti , mais par esprit de dévouement, non par fanatisme sectaire. Je l’ai t
19 es esprits, non sur des textes marchandés par les partis dans les parlements excités. Il ne confondait pas l’action réelle ave
10 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
20 ns l’amour du prochain et du même Père. Il y a le Parti (mouvement, club, ou faction) et sa camaraderie conditionnelle13 dans
21 erme assurance des choses qu’on ne voit pas ». Le Parti au contraire est aux ordres d’un chef dont la présence visible et mat
22 est converti, donc changé ; mais on entre dans le Parti pour changer le monde d’abord et non d’abord soi-même. Il s’agit donc
23 est devenu le soldat politique embrigadé. Que le Parti révolutionnaire soit une exacte parodie (consciente ou non) de l’Égli
24 à Dieu. Mais qui peut en appeler des arrêts d’un Parti qui incarne la Révolution ? Il n’y a rien au-dessus de lui14. Il n’y
25 er au nom de tous contre une moitié du peuple, le Parti vit dans l’obsession des « ennemis de la liberté », appelant ainsi ce
26 J’attaque en fait leur religion. Non pas comme un parti adverse, mais comme une erreur pathétique. Ils rêvaient d’une communa
27 gie n’est pas le fait du peuple entier, mais d’un parti  ; et ce parti agit par le moyen de l’État. À l’intérieur du pays, la
28 le fait du peuple entier, mais d’un parti ; et ce parti agit par le moyen de l’État. À l’intérieur du pays, la première tâche
29 laisser subsister quelque instance supérieure au Parti , fût-elle humaine. 15. Ce personnage s’égale aux plus grands, dans l
11 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
30 e parlements modernes, ou même des conventions de partis en Amérique. Convoqués par l’empereur de Byzance, les évêques se rass
31 édoine, d’Égypte et d’Ibérie. Les chefs de grands partis , entourés de leurs tenants, les légats de l’empereur et du pape, font
32 ces démonstrations de la force et du prestige des partis en présence. Des troupes de moines fanatiques parcourent les rues. Pa
12 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
33 a portaient au crédit de la sagesse insondable du Parti . (Seul le Politburo peut la sonder.) L’hypocrisie était jadis l’homma
34 x yeux d’un Sartre, par exemple, c’est quitter le parti de la bonne foi. Ce lieu commun, solidement installé dans l’esprit de
35 llement déterminé par l’argent de la classe ou du parti dont il attaque les adversaires. Je suis certain que Sartre, par exem
36 u peuple » au nom des intérêts « historiques » du Parti  ; 7. que la politique du Kremlin approuvée par tous les PC, loin de s
37 ité et le mensonge. La bonne foi, c’est la foi du Parti . La mauvaise foi consiste à lui désobéir en vertu de convictions « ab
38 nifester sa volonté d’accorder leur autonomie aux partis communistes de l’Ouest. Ces derniers n’en demandaient pas tant. L’ord
39 u nom de l’Histoire, s’exprimant par la bouche du Parti . Mais dire que le despote était fou, en se fondant sur l’observation,
40 on, c’était « faux » parce que cela desservait le Parti . K. nous dit aujourd’hui que le despote était fou. Il dit vrai (selon
41 lon l’observation), mais au nom de ce qui sert le Parti . Que la « vérité du Kremlin », adoptée par tous les PC, coïncide actu
42 loin de prouver que K. et les PC aient rejoint le parti de la vérité. Cela prouve au contraire qu’ils persistent dans leur er
43 e dictée, non cherchée, et dépend de l’intérêt du Parti , non de l’examen libre des faits. Cette vérité qu’ils disent maintena
44 apte à durer dans notre âge. L’infaillibilité du Parti de Lénine. — Elle résultait de la triple identification des chefs sov
45 iple identification des chefs soviétiques avec le Parti , du Parti avec le Prolétariat, et de celui-ci avec le mouvement de l’
46 ification des chefs soviétiques avec le Parti, du Parti avec le Prolétariat, et de celui-ci avec le mouvement de l’Histoire,
47 é le Rapport, c’est dire, en d’autres termes : le Parti de Lénine (dont on souligne encore « l’autorité dans le mouvement ouv
48 i porteur ? Faudra-t-il dissocier les chefs et le Parti , sacrifier les premiers pour garder pur le second ? Ou dissocier le P
49 miers pour garder pur le second ? Ou dissocier le Parti et le Prolétariat ? (On recule encore devant le troisième blasphème…)
50 oir à quel point le PC se distingue de tout autre parti totalitaire, limité à une seule nation et privé de doctrine universel
51 ils tiraient de leur étroite dépendance envers un Parti au pouvoir, de leur appartenance bien visible et tangible à une Églis
52 te ne serait pas moins grave, car l’URSS sans ses partis ne serait plus que la Russie. Aussitôt, son impérialisme, dépouillé d
53 pondre K. 47. « Avec la démocratie intérieure au Parti , la direction collégiale grandit pas à pas. Prenez notre Comité centr
54 émocratiques et agissant collégialement que notre Parti ait jamais eus… » Discours de Staline au XVe Congrès du Parti, en 192
55 mais eus… » Discours de Staline au XVe Congrès du Parti , en 1927. 48. Les Temps modernes, n° 123, p. 1524. 49. Ce qui est
13 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
56 Nenni-Saragat… S. C’est donc sérieux ? Les grands partis s’en mêlent ? Mais dites-moi, c’est intéressant ! B. Plus ou moins. S
57 l’esclavagisme ne fera pas perdre une voix à son parti en France. En effet, l’URSS « représente historiquement » la volonté
14 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la honte et l’espoir de l’Europe (janvier 1957)
58 dents qui ont suivi (chahuts devant un journal du parti communiste et devant un hôtel où des diplomates russes célébraient le
59 après tout, de la Sainte Russie colonisée par un parti impérialiste ?) Je réprouve le massacre des Malgaches. Je trouve la g
60 es principes ne m’y oblige et nulle discipline de parti . Faut-il donc vous faire un dessin ? Que je n’aie rien dit cette fois
15 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
61 les communistes, les sectes ou religions par les partis , enfin la Compagnie par le PC. Le problème est de savoir si la vraie
62 r si la vraie tolérance permet que l’on tolère le Parti . Un Mandarin dit au jésuite et aux deux missionnaires protestants qui
63 s contre les jésuites60. Voici sur les méfaits du parti unique : « Les Japonais étaient les plus tolérants de tous les hommes
64 e est grande, que toutes les religions (lisez les partis ) sont les ouvrages des hommes, et que l’Église romaine est seule l’ou
65 notre religion est divine (lisez parce que notre Parti est socialiste), doit-elle régner par la haine, par les fureurs, par
16 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
66 froide. C’était pour se déclarer neutre entre un parti mondial soutenu par un énorme État, et la poignée d’intellectuels ind
67 els indiens qui avaient le courage de dénoncer ce parti  ; donc neutre entre une armée et un point de vue ; que dis-je, entre
17 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
68 ys de l’Est colonisés par l’URSS. 2. Une prise de parti militaire dans les conflits à prévoir disloquerait l’union existante.
18 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (fin) (mai 1957)
69 tralité européenne. Mais il faut craindre que des partis pris d’ordre sentimental plus qu’idéologique ne tranchent pratiquemen
19 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur deux écrivains politiques (juin 1957)
70 être reconnu comme camarade valable par aucun des partis , groupements ou groupuscules qui se réclament en fait du Socialisme.
71 uider l’arbitre, faut-il continuer la partie ? Le Parti communiste s’est toujours réclamé du socialisme, doctrine soucieuse d
72 e des exploités. En fait, chacun peut voir que le Parti communiste est celui des privilégiés dans tous les pays où il détient
73 ent le pouvoir. En France, il n’est encore que le parti privilégié, le seul auquel on laisse le droit de tricher, en se récla
74 épétant que cet ouvrage demande l’interdiction du Parti communiste, ou la promulgation de « lois d’exception » à son égard :
75 « Code de la vie civique », applicable à tous les partis y compris le Parti communiste, et comportant entre autres : une claus
76 ique », applicable à tous les partis y compris le Parti communiste, et comportant entre autres : une clause de répudiation du
77 et une clause fixant un plafond aux dépenses des partis . La meilleure preuve de l’efficacité probable de telles clauses est f
78 ndre que ces mesures n’ont rien de gênant pour le Parti , mais un point trop sensible vient d’être touché, les réflexes sont p
20 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
79 éduire le PC à l’observance des lois. Si un autre parti réclame une telle mesure, on le traite aussitôt de fasciste, c’est-à-
80 roche qu’on lui fait. Car il est clair qu’un vrai parti totalitaire a tous les droits, en régime libéral, y compris le droit
21 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (I) (août 1958)
81 tion. Deux sont purement internes : le régime des partis et la stabilité de l’exécutif. Le troisième porte sur le mode d’artic
82 d arrêter. Je n’ai pas encore parlé du statut des partis , de la stabilité de l’exécutif et de leur rapport intime avec l’antin
22 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le régime fédéraliste (II) (septembre 1958)
83 ptembre 1958)ap Tous uniques Le régime du Parti unique n’est pas vraiment le contraire du régime des partis : il en e
84 que n’est pas vraiment le contraire du régime des partis  : il en est plutôt l’origine, et il en demeure la nostalgie secrète.
85 urnirent à l’histoire occidentale le type même du parti unique. C’est en partant de l’État des jacobins que la France numérot
86 fut la Terreur jacobine. Je parle évidemment des partis d’opinion ou d’idéologie, à la française, non des partis anglais ou a
87 d’opinion ou d’idéologie, à la française, non des partis anglais ou américains, dont l’origine, les buts et la fonction n’ont
88 ocraties latines. Le fait qu’il y ait beaucoup de partis ne suffit pas à changer leur nature, mais la masque aux yeux de la ma
89 es ses virtualités, qui sont totalitaires. Chaque parti , s’il est né d’une idéologie, non d’une réalité bien définie et d’int
90 rêts bien déclarés, est candidat à la fonction de parti unique, parce qu’il prétend détenir les principes généraux de la véri
91 cruelle et scandaleuse nécessité, à laquelle les partis ne se plieront qu’à la dernière extrémité. C’est dire qu’ils ont horr
92 rence entre un régime totalitaire et un régime de partis multiples ne tient pas au libéralisme de ces partis, mais seulement à
93 rtis multiples ne tient pas au libéralisme de ces partis , mais seulement à leur impuissance. Cette « garantie des libertés » n
94 ait à préjuger de tout au nom de la doctrine d’un parti . On rencontrait chaque jour des gens qui vous disaient : « En tant qu
95 s. Car en supposant que l’idéologie de tel ou tel parti fût un peu cohérente, le simple fait d’appliquer cette idéologie à to
96 es invétérés, à dénoncer les manœuvres d’un autre parti sous le nom de « complot » si elles semblaient devoir être efficaces,
97 t quasi délirante, lorsqu’on voyait deux ou trois partis naître par scissiparité d’un parti plus ancien, non point pour tenter
98 deux ou trois partis naître par scissiparité d’un parti plus ancien, non point pour tenter d’imposer telle mesure jugée plus
99 uite de désaccords sur « la doctrine ». Or, qu’un parti pût naître d’un parti, non d’une réalité ni d’un groupe d’intérêts, n
100 « la doctrine ». Or, qu’un parti pût naître d’un parti , non d’une réalité ni d’un groupe d’intérêts, ni de l’apparition d’un
101 objectives de l’événement ou de l’évolution. Les partis renversaient très souvent le ministère, très rarement ou jamais une p
102 homas Mann intitulé Mario et le Magicien. Les partis dans une fédération Tout cela n’est pas imaginable dans un régime
103 te son existence des États membres et de quelques partis représentant des intérêts bien définis. Il n’a donc pas à confronter
104 es par nature, pour imposer à tous la loi du seul parti qui sait faire triompher sa « vérité » ; mais il doit au contraire co
105 sein de l’union est l’essence même du régime. Les partis dans une fédération étant bien moins des partis pris universels que d
106 s partis dans une fédération étant bien moins des partis pris universels que des parties constituantes, il en résulte pour cha
107 rière aux idéologies. Elle appelle et suscite des partis à l’image de celui qui d’abord l’unifia. La tolérance mutuelle entre
108 ord l’unifia. La tolérance mutuelle entre de tels partis est donc contraire à leur définition : elle est subie parce qu’il le
109 le pouvoir. Au contraire, dans une fédération, un parti de doctrine générale se verrait condamné à rester faible, manquant de
110 ant de racines dans chaque région, tandis que les partis régionaux savent d’instinct qu’ils ne resteront forts qu’autant qu’il
111 a d’imposer la fameuse « discipline civique » aux partis d’une nation centralisée, qui n’y voient guère qu’un pis-aller en tem
112 de crise, tandis qu’on n’aura pas à l’imposer aux partis d’une fédération, qui voient en elle la condition de leur succès.
23 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
113 its politiques sont garantis par le libre jeu des partis et de l’opposition ; et démocratie réelle (ou progressiste) un régime
114 démocratie réelle (ou progressiste) un régime de parti unique, si toutefois ce parti se dit de gauche et réussit à liquider
115 siste) un régime de parti unique, si toutefois ce parti se dit de gauche et réussit à liquider l’opposition. Cependant, le fa
24 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
116 s défendus sans scrupules par les élites des deux partis . Je ne vois guère d’autres interdits vraiment redoutables, aux yeux d
25 1960, Preuves, articles (1951–1968). Sur la détente et les intellectuels (mars 1960)
117 us, les autocritiques d’intellectuels quittant le parti communiste. Autant de motifs, pour nous, de penser que notre refus « 
118 URSS de ne pas distinguer entre les intérêts d’un parti au pouvoir et la recherche de la vérité. Aujourd’hui l’URSS accepte d
26 1960, Preuves, articles (1951–1968). Les incidences du progrès sur les libertés (août 1960)
119 oici le point important : ce Congrès n’est pas un parti , n’est pas un front discipliné mais un simple rassemblement d’hommes
27 1963, Preuves, articles (1951–1968). Une journée des dupes et un nouveau départ (mars 1963)
120 ses propres fondateurs, longtemps raillés par son parti , et à plus d’une reprise par lui-même… Qui a perdu, qui a gagné dans
28 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
121 ipes de technocrates en lieu et place des anciens partis et des équipes de politiciens professionnels. Certes, les tentatives
122 t comme on tient pour réaliste, en politique, les partis pris de la majorité et ses routines, le projet d’union de l’Europe pa
29 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
123 en de prévenir le péril de la colonisation par un parti ou par une monnaie. Le mythe du choix fatal et du partage du monde en
124 oires, quoique inégalement dosées. Rompre avec le parti des « sommités », qui dispose des moyens financiers et de la presse,
125  », c’est-à-dire de ce que l’on prévoyait que les partis politiques et leurs chefs admettraient ? Ce serait avouer que les féd
30 1970, Preuves, articles (1951–1968). Dépasser l’État-nation (1970)
126 ’union. Mais je ne crois pas qu’il y ait un tiers parti tenable. Je ne crois pas à cette « imposante Confédération » qu’évoqu
127 avec aucune frontière. Elles traversent aussi nos partis , nos confessions et nos régions, nos personnes mêmes ! Il y a dans ch