1 1934, Politique de la personne. Introduction — Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
1 n intellectuel hésite à s’engager. En ce temps de partis , de faisceaux et de fronts, opposer des doctrines, ce n’est plus fair
2 fâcher un jour et décréter la dissolution de nos partis de gauche. Qu’ils y prennent garde !
2 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
3 plier pour respecter en lui sa raison d’être. Les partis politiques ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune
4 t-être une raison suffisante pour estimer que ces partis sont tous également malfaisants. Beaucoup de gens commencent à sentir
3 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
5 es écrits leur possible valeur de témoignages, de partis pris accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de
6 ogrammes hitlériens avec les objectifs actuels du parti  ! Entre les deux il y a eu le « triomphe », c’est-à-dire qu’Hitler s’
4 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
7 s journaux d’opinion, dans tous les manifestes de partis ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, com
8 ne bien comprise serait impossible. Sans eux, les partis politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beauco
9 a jamais eu autant de ligues, de groupements, de partis et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord ré
10 le que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le parti que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fo
5 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
11 , que le chrétien prenne position en présence des partis politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
12 présence des partis politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau prendre parti. Comme le
6 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
13 elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un parti de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
14 nent à porter un titre désormais irrecevable. Ce parti peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
7 1934, Politique de la personne. Idoles — Antimarxiste parce que chrétien
15 né de « sabotage idéaliste » par les camarades du parti , — ou un de ces chrétiens incertains, dont justement l’incertitude a
8 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
16 ques professeurs, peut retarder la formation d’un parti ouvertement fasciste, et c’est très bien. Il peut aussi distraire les
17 e met fin aux luttes politiques : il supprime les partis et jugule la presse. L’État fasciste enfin résume et codifie officiel
18 l’authenticité n’est établie que par le décret du Parti , c’est à peu près le contraire de l’héroïsme personnel. L’État fascis
19 ) du marxisme. Ils croient que le fascisme est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit
20 ent symbolisé par la substitution de l’insigne du Parti aux anciennes couleurs nationales. La croix gammée, le faisceau du li
21 réciser. 55. Je ne reviens pas sur l’aventure du parti des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent
9 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
22 ent du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932 le parti ne compte encore que deux millions de membres, sévèrement contrôlés.
10 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
23 s. Bien plus, chez un même homme, ou dans un même parti , on trouve des revendications contradictoires : le réactionnaire allè
11 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Tactique personnaliste
24 e prévue dans un ordre nouveau. (Condamnation des partis , du Parlement, des moyens de propagande de masses, etc. Méfiance méth
12 1934, Politique de la personne. Appendice — Groupements personnalistes
25 proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » un parti négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui
26 i explique dans une large mesure l’impuissance du parti de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la Fr
27 non pas sur une mystique de race, de classe ou de parti , mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
28 nouveauté de leur point de départ. Alors que les partis aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
13 1934, Politique de la personne. Appendice — Ni droite ni gauche
29 lisme ou l’État, — comme si les parlements et les partis n’avaient jamais eu d’existence que dans la cervelle d’un fou. C’est
30 rmule critique. Elle signifie la condamnation des partis , plus encore : du parti, en tant que formation d’action, sur le plan
31 ifie la condamnation des partis, plus encore : du parti , en tant que formation d’action, sur le plan politique. D’où la conda
32 e (dans le cas le plus favorable) du programme du parti , des possibilités pratiques, et des risques personnels que courent le
33 et culturel, fondement sur le plan politique, des partis , considérés comme les organes indispensables de toute « réalisation p