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des événements, conforme aux vues générales d’un
parti
, ou tout au moins à l’opinion moyenne telle qu’elle se trouve préform
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n regard méfiant vers le voisin qui est membre du
Parti
. Morale de Sparte embourgeoisée. La Révolution ne serait-elle qu’une
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on quitte le plan de la polémique (relative à des
partis
pris opposés mais incommensurables, et par nature, indépendants de to
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gnée chaque semaine par l’organe universitaire du
Parti
, le Bewegung. Rien en France ne donnerait une idée de la violence dém
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anifeste pas une « joyeuse » ardeur au service du
Parti
. Voici la « Prière d’un Philistin » (Spiessers Nachtgebet) publiée pa
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la classe, corps étranger dans la nation. Et les
partis
bourgeois, sans qu’il nous en ait coûté beaucoup d’efforts, ont tourn
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ne inertie conservatrice que lutte aujourd’hui le
Parti
. Un « opposant ». — Je me promène avec un de mes étudiants. Il est
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d’ailleurs de n’en point trouver, n’étant pas du
Parti
. Il a fait beaucoup de psychanalyse : « Cela m’avait même complètemen
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s, deux de mes enfants sur trois sont pris par le
Parti
. Ma fille aînée a 18 ans. Elle est « Führerin » d’un groupe de jeunes
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z-vous que les parents gardent leur autorité ? Le
Parti
passe avant tout. Si nous voulions empêcher notre fils, qui a 15 ans,
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rions une mauvaise histoire avec les autorités du
Parti
. Nous ne sommes que des civils pour nos enfants. Eux, ils se sentent
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criaient une édition spéciale du journal local du
Parti
: « Convocation du Reichstag pour demain ! » Onze heures du matin. J’
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En l’honneur de la fête du Travail, le journal du
Parti
publie un photomontage qui couvre toute sa première feuille. Un marte
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ens : ils se figurent que le christianisme est un
parti
.) La vérité est autrement tragique. La vérité est que le très grand n
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aucoup de vieux membres du NSDAP d’avant 1933. Le
Parti
ne leur en sait aucun gré. Le Parti n’aime pas les chrétiens. Ils son
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vant 1933. Le Parti ne leur en sait aucun gré. Le
Parti
n’aime pas les chrétiens. Ils sont là comme l’œil de Caïn dans la tom
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ndards. Trois-mille « chefs » des Jeunesses et du
Parti
attendent, rangés sur les quatre côtés, que s’allume à minuit le feu
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à côté des porte-drapeaux de la Vieille garde du
Parti
, quatre civils honteux, à la hauteur des bottes. Derrière nous, la pl
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8. Völkischer beobachter, quotidien officiel du
Parti
. 9. (Note de 1938.) Cet étudiant vient d’entrer dans le Parti. 10.
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ote de 1938.) Cet étudiant vient d’entrer dans le
Parti
. 10. (Note de 1938.) C’est la tête de M. Seiss-Inquart et de M. Henl
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er les lois économiques, les forces relatives des
partis
et des classes avant 1933, les circonstances politiques de l’Europe,
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ommun que l’argent ou le défaut d’argent ; où les
partis
se multiplient et s’entredéchirent au hasard d’un jeu politique de su
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s. Il importe de distinguer entre les membres du
parti
et les nationaux-socialistes ou porteurs de notre conception du monde
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nde… Le Führer en effet a déclaré à la journée du
Parti
de 1935 : « Le national-socialisme est une conception du monde. » Cet
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me le christianisme… Le 24e point du programme du
Parti
n’entend parler que de « religiosité positive ». C’est uniquement par
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elle qu’il expose, mais la position officielle du
Parti
et du Führer. » À la suite de ce discours, l’étudiant et deux de ses
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que « le temps vient où beaucoup de camarades du
Parti
seront désillusionnés, qui avaient cru mener un combat purement polit
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currence libre de groupes ou d’opinions : un seul
parti
présentait des candidats, et le seul ministre de l’Intérieur était en
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« lutte électorale » revenait ainsi à la lutte du
parti
au pouvoir contre l’opposition secrète, informulée, des ennemis du ré
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aner sur ce point, encore que certains membres du
parti
N.-S. reconnaissent qu’on a été « un peu fort » dans l’application de
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oulez-vous vous faire une opinion quand il y a 46
partis
qui sollicitent vos suffrages ? C’est difficile de faire comprendre l
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ficile de faire comprendre le programme d’un seul
parti
aux électeurs. Mais c’est au-dessus des forces d’un mortel que de fai
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l’opinion a été formée et disciplinée par un seul
parti
dirigé par un seul homme. » (On peut retrouver les textes exacts dans
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nal-socialisme, il n’est pas rare qu’un membre du
parti
d’Hitler réponde : « Vous êtes bien mal venu à critiquer ce qui se fa
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ctionnaires, qui font passer les intérêts de leur
parti
ou de leurs personnes avant ceux de la nation et de son « honneur ».
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mmun, des haines communes, et pour cela fonder un
parti
unitaire qui s’appuiera sur une mystique renouvelée du pangermanisme.