1 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
1 implorent cette faveur. Seule, Pitié prend notre parti , car Dieu dit, et c’est de ma Dame qu’il entend parler : — Mes bien-a
2 ela, jusqu’alors, à rien ne m’a servi… Prends ton parti avec prudence ! Prends ! Et arrache de ton cœur toute racine De ce pl
3 sire pas comme une transfiguration : il a pris le parti du jour, la mort n’est plus que le châtiment de ses trop longues comp
4 ais d’une union, et rendront seuls « aimable » un parti soigneusement raisonné. Triomphe de la morale jésuite. C’est le baroq
2 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
5 ur la nation personnifiée. C’est la nation (ou le Parti ) qui a des passions. C’est elle (ou lui) qui assume désormais la dial
3 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe contre le mariage
6 es enfants, puis les élever jusqu’au moment où le Parti s’en chargera (c’est-à-dire pendant quatre ou cinq ans). De là, on pa
4 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
7 evables isolément. Et tous les trois supposent un parti pris199, une attitude fondamentale de créateur. Ainsi, dans la plus h
8 t. Une dernière fois pourtant nous reprendrons un parti de sobriété. Les mariés ne sont pas des saints, et le péché n’est pas
9 tion au sens devenu courant, de « préjugé », de «  parti imité ». 200. Voir le remarquable essai de R. de Pury, « Éros et Aga