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Oui ! Non ! Le curé. — Tu prends toujours le
parti
du pauvre ! Ce n’est pas juste non plus ! 1er juge. — Tu veux don
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s bientôt la fin de notre paix par le triomphe du
parti
des conquêtes. L’or de Bourgogne les rend fous, tous ceux des villes
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ssemblées n’ont pas suffi pour concilier les deux
partis
. C’est aujourd’hui notre suprême chance. De ce débat — songez-y tous
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— sortiront la paix ou la guerre ! Que chacun des
partis
déclare maintenant les sacrifices qu’il pourra consentir pour le salu
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trangère est interdite soit aux cantons, soit aux
partis
, et tout subside en nature ou argent, afin que nulle jalousie ne vien