1 s en plus vers les groupes agissant en dehors des partis . C’est l’action de ces groupes qu’il faut organiser si l’on veut fair

2 ion. L’esprit d’équipe doit remplacer l’esprit de parti . 10. Les plus grands obstacles à la rénovation de la Suisse sont : d

3 IV. La Ligue du Gothard sera-t-elle un parti  ? Ceux qui croient que nous entendons déclarer la guerre aux partis

4 croient que nous entendons déclarer la guerre aux partis , nous reprochent en même temps de vouloir en fonder un. Il y a là une

5 n. Il y a là une contradiction flagrante : Si les partis reflétaient l’opinion du peuple entier, nous aurions le droit, nous a

6 pter notre concurrence. Mais nous pensons que les partis , seuls, ne sont plus suffisamment représentatifs de la communauté nat

7 sans équivoque que nous ne voulons pas fonder un parti de plus, mais rassembler toutes les forces vivantes du pays. La Ligue

8 maintenant et en toute indépendance vis-à-vis des partis politiques et des influences ou même des pressions étrangères. La Su

9 anément que la Ligue était « payée » par les deux partis belligérants, par le grand patronat, par les « marxistes », par la Mi

10 poser une organisation qui aurait fait de nous un parti  : nous avons tenu à rester un « mouvement ».

11 ce a produit une émulation inattendue du côté des partis . Il est incontestable que sans la Ligue, les « communautés de travail