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t, ne se connaissait plus que comme race, peuple,
parti
, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et collective
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ez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le
parti
des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiend
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ses meilleures forces créatrices. Mais dès que le
parti
protestant relève la tête, en tous pays, nous le voyons adopter une p
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ut être que par les Églises seules, et non par un
parti
ou par une ligue. Une « Suisse chrétienne », ce serait une Suisse don
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il n’est pas question, ici, de confondre l’un des
partis
avec la cause de la culture, l’autre étant le parti de l’anti-culture
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tis avec la cause de la culture, l’autre étant le
parti
de l’anti-culture. Ce genre d’opposition est très tentant, je l’avoue
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es autres, uniquement les autres, ceux d’un autre
parti
, ceux d’une autre nation… Nous faisons tous comme les petits enfants
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, à la publicité des grandes firmes et des grands
partis
politiques. Il est prêt à se laisser « aimanter » comme limaille par
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ut faire quelque chose, qu’il entre dans un grand
parti
, dans une grande organisation. Mais alors, il subit une discipline qu
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st simplement un homme qui refuse de s’avouer ses
partis
pris. Il oublie que toute description ressemble autant à son auteur q
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tre formulés dès maintenant comme un programme de
parti
politique. Ils doivent mûrir, et lentement se dégager de l’ensemble d
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ions de l’homme, de l’État, et des religions, des
partis
pris spirituels bien plus puissants que les armées. 19. Par exemple
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est ramenée à sa mission exceptionnelle. Les deux
partis
renoncent aux appuis étrangers, et c’est le nouveau fondement de notr
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ion. Le personnalisme n’est pas une moyenne, un «
parti
du centre », un juste milieu entre l’individualisme atomisant et le c
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e stérile dont nous souffrons en Suisse, entre le
parti
des centralisateurs et le parti des régionalistes, le personnaliste e
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Suisse, entre le parti des centralisateurs et le
parti
des régionalistes, le personnaliste envisage la recherche en commun d
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le principe même dont ils forment le nom de leur
parti
. Convient-il d’insister encore ? Oui, car tout cela risquerait d’appa
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mble, il est absurde de nommer « fédéraliste » un
parti
qui n’a d’autre programme que la défense des intérêts locaux contre l
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a maladie collectiviste de notre État. À quand le
parti
de la santé fédéraliste ? Il ne sera ni de gauche ni de droite. Car s
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r les mœurs politiques françaises. L’idée même de
parti
, d’ailleurs, est antisuisse, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste
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e, dans ce sens qu’elle est antifédéraliste. Tout
parti
politique est en puissance un petit État totalitaire et unifié, qui v
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diculement, à avoir des idées sur tout. Les seuls
partis
qu’une fédération puisse tolérer sont les partis à programme restrein
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partis qu’une fédération puisse tolérer sont les
partis
à programme restreint, représentant une région, ou un groupe d’activi
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entre experts, se compléter, collaborer. Mais les
partis
unitaires actuels représentent des tendances trop vagues : ils ne pou
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e… Mais rien n’y fait, notre presse continue, nos
partis
continuent, nos arguments ne changent pas d’un demi-ton, nos philo-fa