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i a su vivre cette maxime de la Saison : « Pas de
partis
de salut violents ». Dès les premiers instants de son accession au mo
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littéraires. « Mon esprit, prends garde ! Pas de
partis
de salut violents. Exerce-toi. » Objurgation que l’on croirait tirée
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absolue de toute appréciation, de toute prise de
parti
, — de tout acte. Tous les efforts des hommes — y compris ceux des phi
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Elle se refuse aux simplifications convenues, aux
partis
pris de la morale, à ses silences intéressés, bref aux censures qui t
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ète ; non pas de ces questions, ni de la prise de
parti
qu’elles déterminent chez Ramuz, mais bien au contraire de ceci : qu’
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i a dit que sa vraie vie était entre les mains du
Parti
, d’un démiurge anonyme et obscur dont il n’a plus qu’à recevoir les o