1 1946, Lettres sur la bombe atomique. La guerre est morte
1 s effectifs considérables. Il faut en prendre son parti  : l’ère des militaires a pris fin le 6 août à Hiroshima. L’arithmétiq
2 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le savant et le général
2 uerres considérées comme jeux réglés. Si l’un des partis en présence disait à l’autre : — Messieurs les Anglais, tirez les pre
3 1946, Lettres sur la bombe atomique. Tous démocrates
3 anarchiste catholique ». (Je le crois seul de son parti .) Il avait l’air un peu nerveux. Voici notre conversation. Moi. — Co
4 pouvoir ! Une étiquette qui s’applique à tous les partis et à toutes les nations du globe ne signifie plus rien. Ou bien c’est
4 1946, Lettres sur la bombe atomique. Les quatre libertés
5 sous le tsarisme était plus libre qu’un membre du parti communiste sous Staline. Et George Washington était plus libre qu’un
5 1946, Lettres sur la bombe atomique. La pensée planétaire
6 siens ou Romains, avec nos clans, nos écoles, nos partis et nos disputes centenaires ou quinquennales, avec nos allusions perf
6 1946, Lettres sur la bombe atomique. L’État-nation
7 n’ose pas dire « étatiser ». On veut encore tirer parti du prestige qui s’attache à l’idée de nation… En fait, on étatise la
7 1946, Lettres sur la bombe atomique. Le goût de la guerre
8 ’est la mort sous les balles pour la Patrie ou le Parti . S’il n’y a plus de guerres, qui fera des héros ? Qui réveillera le s