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n intellectuel hésite à s’engager. En ce temps de
partis
, de faisceaux et de fronts, opposer des doctrines, ce n’est plus fair
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plier pour respecter en lui sa raison d’être. Les
partis
politiques ne possèdent, il est vrai, ni à gauche ni à droite, aucune
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t-être une raison suffisante pour estimer que ces
partis
sont tous également malfaisants. Beaucoup de gens commencent à sentir
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es écrits leur possible valeur de témoignages, de
partis
pris accidentels, plutôt que de leur imposer un style indépendant de
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s journaux d’opinion, dans tous les manifestes de
partis
ou de ligues, une expression revient comme une véritable hantise, com
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ne bien comprise serait impossible. Sans eux, les
partis
politiques seraient sans force, les luttes sociales perdraient beauco
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a jamais eu autant de ligues, de groupements, de
partis
et d’associations qu’aujourd’hui, mais aussi jamais moins d’accord ré
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le que nous pose l’époque. Vous avez pressenti le
parti
que j’embrasse. Il me reste à le définir en termes positifs, cette fo
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, que le chrétien prenne position en présence des
partis
politiques. S’il rejette les partis pris, c’est qu’il doit sans cesse
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présence des partis politiques. S’il rejette les
partis
pris, c’est qu’il doit sans cesse, à nouveau prendre parti. Comme le
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elle de la bourgeoisie capitaliste. Mais c’est un
parti
de gens qui, ayant peut-être été chrétiens, veulent en tirer des inté
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inent à porter un titre désormais irrecevable. Ce
parti
peut être aussi nombreux que l’on voudra, il peut représenter la gran
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né de « sabotage idéaliste » par les camarades du
parti
, — ou un de ces chrétiens incertains, dont justement l’incertitude a
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ques professeurs, peut retarder la formation d’un
parti
ouvertement fasciste, et c’est très bien. Il peut aussi distraire les
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e met fin aux luttes politiques : il supprime les
partis
et jugule la presse. L’État fasciste enfin résume et codifie officiel
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l’authenticité n’est établie que par le décret du
Parti
, c’est à peu près le contraire de l’héroïsme personnel. L’État fascis
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) du marxisme. Ils croient que le fascisme est le
parti
de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit
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ent symbolisé par la substitution de l’insigne du
Parti
aux anciennes couleurs nationales. 44. Voilà sans doute la raison po
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réciser. 48. Je ne reviens pas sur l’aventure du
parti
des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent
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nt du pouvoir sur toutes les Russies. En 1932, le
parti
ne compte encore que deux millions de membres, sévèrement contrôlés.
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s. Bien plus, chez un même homme, ou dans un même
parti
, on trouve des revendications contradictoires : le réactionnaire allè
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e prévue dans un ordre nouveau. (Condamnation des
partis
purement électoraux, des moyens de propagande de masses, etc. Méfianc
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proprement sociaux. Il a fait de la « gauche » un
parti
négatif, anticlérical d’abord. Il a créé dans le pays une coupure qui
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i explique dans une large mesure l’impuissance du
parti
de gauche à penser le monde moderne et la situation concrète de la Fr
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non pas sur une mystique de race, de classe ou de
parti
, mais sur un sens concret des responsabilités personnelles. Ces refus
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nouveauté de leur point de départ. Alors que les
partis
aux prises dans la presse évitent avec ensemble de poser les question
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ères. a) Elle consiste d’abord dans la lutte des
partis
. Pour un très grand nombre de citoyens, le but à atteindre n’est pas
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trices. Le but est d’abord de faire triompher tel
parti
dont on est membre. On tient le parti pour plus grand que le tout. Ou
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iompher tel parti dont on est membre. On tient le
parti
pour plus grand que le tout. Ou encore : le but est simplement de mil
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but est simplement de militer bruyamment dans le
parti
, moins par amour passionné pour son idéal que par haine des autres pa
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passionné pour son idéal que par haine des autres
partis
, et souvent moins par haine des autres partis que par besoin d’entret
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res partis, et souvent moins par haine des autres
partis
que par besoin d’entretenir de vieux débats dont on connaît par cœur
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assimile volontiers la France, « la vraie », aux
partis
de droite. À gauche, on fait volontiers passer la fidélité au parti a
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gauche, on fait volontiers passer la fidélité au
parti
avant la fidélité au bien commun de la nation. Ainsi, quand tout va b
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me, dans l’intervalle des crises économiques, les
partis
deviennent des académies ou des écoles de rhétorique vulgaire, et les
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Et quand tout va mal, quand la crise est là, les
partis
se mettent à déchirer la nation avec une absence de scrupules qui rap
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clarations des congrès — la moderne féodalité des
partis
n’agit pas autrement vis-à-vis de la nation et de ses intérêts supéri
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et que l’ancienne féodalité des grands seigneurs.
Partis
: Bastilles à démolir ! Je dis ensuite qu’un honnête homme, et, de pl
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t, de plus, patriote, se doit de rejeter tous les
partis
. Prétendre entrer dans un parti — le moins mauvais ! — pour essayer d
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rejeter tous les partis. Prétendre entrer dans un
parti
— le moins mauvais ! — pour essayer de le réformer ou de l’influencer
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s canons inoffensifs : c’est l’instrument même du
parti
qui est meurtrier. b) On appelle aussi « politique » la rumeur confu
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itique » la rumeur confuse des idéologies que les
partis
prétendent servir. Tradition républicaine conservatrice, « doctrine »
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s du parlementarisme. Et encore moins de chefs de
partis
aveuglés par les intérêts peut-être valables, mais limités et proviso
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aux efforts de tous les citoyens, par-dessus les
partis
et leurs pauvres vieilles idéologies. C’est-à-dire qu’ils donneront e
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nore ou répudie la loi interne : la tactique d’un
parti
, par exemple. Ce n’est pas dans l’utilisation accidentelle et partisa
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nte. Un libéral qui se soumet aux directives d’un
parti
ne devient pas pour si peu un penseur engagé. Et il ne faudrait pas q
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es philosophes libéraux — fût partiale, pleine de
partis
pris, et même politique ! 83. Je fais exception pour deux ou trois d
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t, ne se connaissait plus que comme race, peuple,
parti
, corporation, famille ou sous tout autre forme générale et collective
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ez un Philippe II d’Espagne, et en France dans le
parti
des Guise, dans la Ligue. Plus tard, c’est ce même esprit qui obtiend
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ses meilleures forces créatrices. Mais dès que le
parti
protestant relève la tête, en tous pays, nous le voyons adopter une p