1 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Le drame de la liberté, aujourd’hui
1 iale, c’est parce que le monde est divisé en deux partis , qui ne se définissent clairement que par rapport à la liberté. D’un
2 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
2 on du stalinisme. En conséquence, je m’inscris au Parti communiste. Car c’est précisément une discipline, une efficacité de c
3 ués « scientifiquement » où sont prescrits par le Parti et sa doctrine. En Occident, il faut sans cesse choisir, se décider p
4 a liberté. Il va se cacher derrière la règle d’un parti , la règle collective, la discipline rigide, l’infaillibilité d’un che
5 en vérités et en vertus, aussi longtemps que son Parti aura le pouvoir. Il existe, dans l’homme moderne, des tendances incon
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
6 urée de la cité moderne, alors que les États, les partis au pouvoir et les puissants du jour tiennent la radio, la presse et l
7 que, le droit d’avoir trop de journaux et trop de partis , et même le droit de s’en plaindre ou de s’en moquer ? Si nous perdio
4 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
8 glise, n’est pas une doctrine de salut, comme les partis totalitaires voudraient le devenir à bon marché. L’Occident est une s