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ur paraîtra convenable, et si l’un ou l’autre des
partis
méprisait leur sentence, les autres confédérés se déclareraient contr
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d’une telle emprise1. Les Habsbourg ayant pris le
parti
du pape, les « Waldstätten » cherchèrent l’appui de l’empereur. Frédé
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s idées de la Révolution gagnaient du terrain, le
parti
des « radicaux » réclamait une Constitution unique, une extension et
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espectifs des cantons et de la Confédération. Les
partis
de droite représentaient la tendance régionaliste — abusivement nommé
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— abusivement nommée fédéraliste4, tandis que le
parti
radical et les socialistes insistaient sur la nécessité d’étatiser et
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olitiques latines, l’éloquence, le sectarisme des
partis
, ne se manifestent guère que dans les parlements des cantons à prédom
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la religion, les mœurs, le droit, l’économie, le
parti
politique au pouvoir. En Suisse au contraire, toutes les combinaisons
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facteurs entrent en jeu pour la déterminer : les
partis
politiques, les cantons, la langue, la religion. Comme il n’y a que s
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et selon les personnalités disponibles. Quant aux
partis
, qui sont au nombre de sept, et très inégaux en force, ils doivent se
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me le souligne le juge fédéral P. Bolla18. Les
partis
et la vie politique Un certain nombre de partis n’existent que dan
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artis et la vie politique Un certain nombre de
partis
n’existent que dans un seul canton, ou même dans une seule région de
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, ou même dans une seule région de ce canton. Les
partis
qui ont acquis quelque importance sur le plan fédéral sont au nombre
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ans les anciennes familles patriciennes. Ces deux
partis
résistent à l’étatisme et à la tendance centralisatrice. Ils défenden
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reste, les différences de doctrine entre les deux
partis
conservateurs sont clairement indiquées par leurs noms : l’un est ava
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l’autre avant tout libéral. Le Centre comprend le
parti
radical, le parti agrarien (ou parti des paysans, artisans et bourgeo
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libéral. Le Centre comprend le parti radical, le
parti
agrarien (ou parti des paysans, artisans et bourgeois), et le parti d
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comprend le parti radical, le parti agrarien (ou
parti
des paysans, artisans et bourgeois), et le parti des Indépendants. Le
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parti des paysans, artisans et bourgeois), et le
parti
des Indépendants. Les radicaux ont été les plus nombreux aux Chambres
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uisse moderne, née de la Constitution de 1848. Le
parti
agrarien s’est formé aux dépens des radicaux, pour défendre les droit
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es droits des agriculteurs dans les cantons où le
parti
catholique est faible ou inexistant, comme Berne. Le groupe des Jeune
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lence politique, et l’on ne voit pas pourquoi les
partis
bourgeois persistent à se qualifier de « nationaux » pour se distingu
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et des membres des coopératives se rattachent au
parti
socialiste. Enfin, le parti du travail (communiste) dissous par le go
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ives se rattachent au parti socialiste. Enfin, le
parti
du travail (communiste) dissous par le gouvernement en 1940, a été au
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alistes des bourgeois. On le voit, le tableau des
partis
en Suisse ne présente rien de très typique, rien qui ne se retrouve à
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vironnants. Aussi bien, ce n’est pas la lutte des
partis
comme tels qui domine la vie politique fédérale. (Sur le plan cantona
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s remarqué plus haut.) Les programmes sociaux des
partis
ne présentent pas de différences aussi profondes que dans d’autres pa
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ribuns éloquents et qui passionnent les luttes de
partis
, tandis que des institutions saines et qui fonctionnent sans accroc s
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ajorité des membres appartiennent par ailleurs au
parti
socialiste, réputé centralisateur, se révèlent réfractaires à toute u
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il n’est pas le fait de toute une classe ou d’un
parti
. Passer pour un bon soldat ou un bon officier est généralement « bien
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luence, Zurich et Berne, qui prendront la tête du
parti
réformé et soutiendront la lutte, souvent sanglante, contre les canto
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omprendra dès lors qu’il n’y ait pas en Suisse de
parti
politique protestant. Il existe au contraire un parti catholique, nom
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i politique protestant. Il existe au contraire un
parti
catholique, nombreux et discipliné, de tendance conservatrice42 et «
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mais antiunitaires — ce qui n’empêche pas que les
partis
centralisateurs se recrutent surtout dans les villes protestantes — l
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outer toutefois que l’attitude des théoriciens du
parti
catholique n’est pas seulement inspirée par le statut minoritaire de
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n’est pas entravée par l’opinion publique ou les
partis
, bien au contraire. Et si la religion n’est présentée dans les discou
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Les syndicats catholiques sont indépendants de ce
parti
, et beaucoup plus progressistes.
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a langue, la culture, parfois même la doctrine du
parti
au pouvoir, coïncident, dans tous ces pays, avec les limites du terri
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crible plein de constitutions, de confessions, de
partis
, de souverainetés et de bourgeoisies, à travers lequel devait être ta
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éléments essentiellement divers, qu’une prise de
parti
belliqueuse ne manquerait pas de disloquer. Cette perspective n’est p